juillet 2020 - Page 6 sur 40 - Journal du niger

Mali : formation d’un gouvernement restreint

Le chef de l’État malien, Ibrahim Boubacar Keïta, a signé ce lundi soir le décret de nomination de six ministres.Conformément aux recommandations du sommet extraordinaire de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) tenu aujourd’hui par visioconférence, le président IBK a nommé six ministres qui vont s’occuper des affaires courantes du pays en attendant la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.

Le Général de Division, Ibrahima Dahirou Dembélé occupe le poste de ministre de la Défense et des Anciens combattants. Le département de l’Administration territoriale et de la Décentralisation a été confié à Boubacar Alpha Bah. Le Général de Division, M’Bemba Moussa Keïta aura en charge la Sécurité et la Protection civile.

Kassoum Tapo est le ministre de la Justice et des droits de l’Homme tandis que Tiébilé Dramé gère les Affaires étrangères et la Coopération internationale. Enfin, Abdoulaye Daffé est aux commandes du ministère de l’Économie et des Finances.

Cette nouvelle équipe, dirigée par le Premier ministre Boubou Cissé, a pour principale mission de négocier la formation d’un gouvernement d’union nationale, précise la Présidence de la République du Mali.

Sénégal : Cairn Energy cède la totalité de ses actifs dans les blocs pétroliers RSSD à Lukoil

La compagnie britannique Cairn Energy a cédé à la bourse de Londres, la totalité de ses intérêts et obligations (40 %) dans les blocs Rufisque Offshore, Sangomar Offshore et Sangomar Offshore Profond (RSSD) à la compagnie pétrolière russe Lukoil, annonce un communiqué du ministère sénégalais du Pétrole et des Energies, parvenu lundi soir à APA.Cette annonce intervient à la suite des discussions initiées depuis plusieurs mois après la publication par Cairn Energy de son intention de céder tout (farm out) ou partie (farm down) de ses parts dans les blocs RSSD, explique le document. 

Le montant de la transaction s’élève à 400 millions de dollars, soit environ 225 milliards de FCFA. Et selon le terme de l’accord, 300 millions de dollars seront versés en numéraire à Cairn Energy, en plus d’une prime allant jusqu’ à 100 millions de dollars après la première livraison des barils de pétrole. 

Au Sénégal, les processus de cession sont encadrés par des lois et règlements dont le Code pétrolier et ses textes d’application. Ainsi, dans le cadre de l’approbation de ladite cession, l’Etat du Sénégal veillera au respect des dispositions légales et réglementaires en la matière. En particulier, le Ministère du Pétrole et des Energies surveillera « de très près » les capacités techniques ainsi que la robustesse financière du futur partenaire à mener à bien les opérations pétrolières, signale le communiqué. 

L’Association RSSD est composée de Woodside Energy (35 %, Opérateur), Cairn Energy (40 %), FAR RSSD (15 %) et Petrosen (10 %). La décision finale d’investissement a été prise en janvier 2020 et le projet se trouve actuellement en pleine phase d’exécution pour un début de production prévu en 2023.

Af’Sud: Ramaphosa appelle à l’unité pour bâtir une économie inclusive

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa a exhorté lundi ses compatriotes à travailler collectivement à la construction d’une économie inclusive basée « sur des règles du jeu équitables ».Dans son message hebdomadaire à la nation, Ramaphosa a déclaré que la récession de son pays et l’économie touchée par le coronavirus devaient suivre ses propositions de développement visant à réduire son taux de chômage actuel de 30%.

Selon lui, le taux de chômage pourrait bientôt augmenter, à moins que l’Afrique du Sud ne donne plus d’élan à ses projets de recherche de « nouvelles sources de croissance dans un contexte fondamentalement différent ».

« Bon nombre des domaines que nous avions identifiés auparavant restent pertinents et urgents – comme le secteur des petites et moyennes entreprises en croissance et le secteur agricole qui assure la sécurité alimentaire.

« Certains secteurs ont pris une nouvelle signification. Nous devrions, par exemple, profiter de cette opportunité pour bâtir une économie plus verte, nos entrepreneurs pénétrant de nouveaux domaines, tels que les voitures hybrides, les piles à combustible, les batteries de stockage et la valorisation des déchets ».

Ramaphosa s’est dit convaincu que les plans mis en place en février (état du budget) avant que la pandémie ne frappe le pays, et ceux mis en place pour maintenir l’activité économique pendant le confinement, permettraient la reconstruction de l’économie.

Cependant, cela nécessiterait une aide extérieure au gouvernement et un engagement résolu à agir.

« Dans toutes les propositions de développement avancées ces dernières semaines, l’accent est mis sur l’amélioration de l’exécution.

« Nous devons regarder en dehors de l’Etat. Nous devons rassembler les meilleures compétences locales disponibles, que ce soit dans les affaires, le monde universitaire ou la société civile, pour soutenir notre programme de développement commun », a conclu le président.

Afrique : 300 personnes décèdent chaque jour des complications liées à l’hépatite B et C (responsable)

Sur les 71 millions d’Africains atteints d’hépatite virale chronique, « 300 personnes perdent la vie chaque jour » des suites du cancer du foie et d’autres complications liées à l’hépatite B et à l’hépatite C, affirme, dans un communiqué parvenu à APA ce lundi, la directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, Docteur Matshidiso Moeti.« L’hépatite B représente 85 % de la charge de morbidité due à l’hépatite dans la région africaine de l’OMS. La période d’infection la plus vulnérable se situe au cours du premier mois de vie et peut être prévenue par la vaccination contre l’hépatite B, précisément par l’administration d’une dose de naissance au cours des premières 24 heures de vie », explique Mme Moeti.

A en croire la responsable de l’OMS, le fait d’atteindre une couverture d’au moins 90 % dans la région devrait largement contribuer à la prévention de plus de 1,5 million de nouvelles infections et de 1,2 million de décès par cancer du foie d’ici à 2035. 

Malgré le faible coût de la dose de naissance du vaccin contre l’hépatite B, fait remarquer Dr Matshidiso Moeti, « seuls 13 pays africains l’ont introduit », ce qui est bien en-deçà de l’objectif de 25 pays fixé pour 2020. Jusqu’à présent, poursuit-elle, 15 pays ont lancé des plans nationaux de lutte contre l’hépatite. Le Rwanda et l’Ouganda étant les deux pays qui ont mis sur pied des programmes nationaux de dépistage et de traitement de cette maladie.

L’OMS collabore avec les pays et les partenaires pour accélérer les actions visant à réduire de 90 % les nouvelles infections par les hépatites B et C et à réduire de 65 % le nombre de décès liés à l’hépatite d’ici à 2030, rappelle la directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.

 En vue d’atteindre ces objectifs, souligne Mme Moeti, il est urgent d’introduire et de généraliser l’administration de la dose de naissance du vaccin contre l’hépatite B, de tirer le meilleur parti des infrastructures destinées à la lutte contre le VIH et la syphilis pour prévenir la transmission mère-enfant de l’hépatite et de veiller à ce que les mères aient accès aux services de dépistage et de traitement. 

« Au moment où nous luttons contre la COVID-19, une menace se profile à l’horizon : celle d’assister à de nouveaux retards à la fois dans l’administration généralisée de la dose de naissance du vaccin contre l’hépatite B et dans la prestation d’autres services essentiels de lutte contre l’hépatite », alerte la responsable sanitaire.

« Les personnes qui présentent des complications liées à l’hépatite courent un plus grand risque de développer une forme grave de la COVID-19 et doivent continuer de bénéficier des services essentiels de prévention et de traitement de l’hépatite pendant la pandémie et au-delà » conclut Dr Moeti.

Le 28 juillet de chaque année, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) célèbre la Journée mondiale contre l’hépatite afin de mieux faire connaître cette maladie qui « représente une menace » pour la santé publique. Le thème retenu pour cette année est : « Un avenir sans hépatite ». 

Des jeunes femmes leaders d’Afrique formées en stratégie de développement

Jely Group et la Fondation Expérience Pour Tous (EPT) ont offert, une séance de formation aux lauréates du programme African Women of the future Fellowship (AWF) sur le thème, « stratégie pour le développement d’une carrière enrichissante et d’une entreprise pérenne ».Ces jeunes femmes de divers pays africains, majoritairement entrepreneurs et/ou en situation d’emploi, et dont l’âge varie entre 22 et 33 ans, ont pu bénéficier au cours de cette formation intervenue le vendredi 17 juillet dernier, de stratégies et d’outils pratiques afin de mener avec succès aussi bien leurs carrières professionnelles que leurs entreprises actuelles et futures.   

M. Mamadou Kouyaté, Managing Partner de Jely Group, en sa qualité de conférencier a illustré sa présentation avec des cas pratiques issus de son expérience de salarié et d’entrepreneur. 

 «Le succès de toute entreprise, qu’elle soit personnelle, professionnelle ou entrepreneuriale, part de la définition d’objectifs. Avec une idée claire de la destination finale, l’on peut concentrer ses forces dans les activités qui l’y amèneront, et bâtir au plus tôt une stratégie efficace. », a-t-il expliqué.

AWF est un programme de leadership et de mentorat de la jeune femme leader initié par la Fondation SEPHIS en partenariat avec ONU Femmes et l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).

Ce programme intègre un accompagnement technique, l’organisation d’ateliers de formations intensives et la mise à disposition de personnes ressources avec pour objectif final de consolider les projets portés par les bénéficiaires.

La Libye a besoin du soutien permanent du Maroc pour poursuivre le processus politique et parvenir à un cessez-le-feu

Le président de la Chambre des représentants libyenne, M. Aguila Saleh a affirmé, lundi à Rabat, que son pays a toujours besoin du soutien du Maroc pour poursuivre le processus politique et parvenir à un cessez-le-feu.Dans un point de presse conjoint avec le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, le responsable libyen a apprécié « hautement » le rôle du Royaume dans son soutien à la Libye pour sortir de sa crise actuelle.

Selon lui, la Chambre des représentants libyenne ne veut pas la guerre dans le pays, a- notant que celle-ci a été imposée en raison des ingérences étrangères.

La solution en Libye doit être politique, entre les mains des Libyens et avec le soutien des pays arabes et à leur tête le Maroc dont « on ne peut jamais abandonner la position », a-t-il relevé.

Toutes les initiatives et annonces ne s’opposent aucunement à l’accord politique de Skhirat, signé en 2015, a-t-il estimé, notant que « si certaines dispositions de cet accord ont besoin d’amendements et de développements, l’accord est en lui-même dépourvu de dysfonctionnement ».

Pou lui, le dysfonctionnement est causé par ceux qui ont été chargés d’appliquer l’accord de Skhirat et qui « n’ont mis en oeuvre aucune de ses dispositions ».

« Le Royaume a fait tout ce qu’il faut pour la réussite de cet accord », a-t-il souligné, ajoutant que « le peuple libyen sortira de la crise à la faveur de son histoire, son unité et son tissu social cohérent.

Plus tôt, le président du Parlement libyen de Tobrouk (Est), Aguila Saleh a eu des entretiens avec le président de la Chambre des représentants marocaine, Habib El Malki, axés sur son initiative visant une sortie de crise en Libye.

Cette initiative préconise la formation d’un Conseil présidentiel ainsi qu’une solution politique à la crise, avec notamment la tenue d’élections législative et présidentielle.

La visite d’Aguila coïncide avec celle effectuée aussi par le président du Haut Conseil d’État libyen, Khaled Al Mechri, qui représente le gouvernement d’union nationale reconnu par la communauté internationale.

Présidentielle 2020: Affi N’Guessan a déposé son dossier de candidature à la candidature du FPI

Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Pascal Affi N’Guessan, a déposé lundi son dossier de candidature à la candidature du parti, au siège de la formation sis aux 2-Plateaux vallon, en vue de la présidentielle du 31 octobre 2020.Le dossier de candidature a été réceptionné par le président du Comité de contrôle du FPI, Wognin Honoré. Il a réceptionné les éléments constitutifs, les uns après les autres, à la suite de l’énumération de chaque document, devant quelques responsables du parti.

Il a fait savoir que le Comité de contrôle du Front populaire ivoirien, le parti de l’ex-chef d’Etat, Laurent Gbagbo, analysera lundi et mardi le dossier de candidature et transmettra le résultat aux instances compétentes à le divulguer. 

Au terme du dépôt de son dossier de candidature, M. Affi Nguessan, contesté par une autre frange du Fpi, a déclaré que sa « motivation principale, c’est la situation chaotique dans laquelle se trouve le pays », qui l’amène à se présenter à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

« Quand on aspire à gouverner un pays, c’est qu’ on a une ambition et notre ambition, c’est la renaissance de ce pays traumatisé, appauvri et affaibli, divisé (…) et c’est une situation qui nous afflige », a dit M. Affi Nguessan.

Il a ajouté avoir « les capacités de mettre fin à cette descente aux enfers (…) et donner foi aux jeunes et aux femmes pour bâtir une nation unie, puissante et une économie prospère pour sortir le pays du marasme». 

Le FPI, annoncera-t-il, désignera son candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, le samedi 1er août prochain, à travers son congrès. Visiblement, le seul candidat, portera le flambeau d’un parti qui reste encore gangrené par une dissension interne. 

Maroc : Le ministre de la santé met en garde contre l’augmentation en flèche des cas de contamination

Le ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb, a mis en garde contre la montée en flèche des cas de contamination au Maroc, soulignant que « la situation est inquiétante mais pas hors de contrôle ».La propagation de la pandémie de Covid-19 est intimement liée aux déplacements des individus, a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse tenue, lundi à Rabat, imputant la dégradation de la situation épidémique au relâchement dans le respect des mesures préventives.

« Les villes du Royaume les plus fréquentées ont été une cible facile du virus », a-t-il fait remarquer, mettant l’accent sur « l’augmentation inquiétante des taux de reproduction du virus dans certaines villes, pour atteindre 1,9 à Tanger, 1,7 à Fès ou encore 2,35 à Berrchid ». Et de préciser que près de 46% des personnes en réanimation se trouvent à Tanger.

En outre, le responsable gouvernemental a attiré l’attention sur l’augmentation constante du nombre des cas d’infection, des cas graves et de décès dans les huit villes du Royaume concernées par la récente décision gouvernementale.

Citant Casablanca-Settat pour exemple, le ministre a fait observer que la région ayant enregistré quelque 2.900 cas d’infection entre le 12 mars et le 14 juin, a recensé non moins de 2.162 cas en deux semaines. « Cette situation illustre la vitesse de propagation du nouveau coronavirus au Royaume », a-t-il affirmé, tout en appelant les citoyens à s’armer de prudence et à respecter les gestes barrières préconisés par le ministère.

Abordant le risque d’infection, M. Ait Taleb a affirmé que les jeunes ne sont pas moins exposés au risque que les personnes âgées, notant cependant que leur immunité est plus forte.

Dans un communiqué publié dimanche dans la soirée, les ministères de l’Intérieur et de la Santé avaient annoncé l’interdiction des déplacements de et vers les villes de Tanger, Tétouan, Fès, Meknès, Casablanca, Berrechid, Settat et Marrakech, eu égard à la hausse considérable ces derniers jours des cas de contamination à la Covid-19.

Côte d’Ivoire/Covid-19: nouveau report des dates limites des factures d’électricité

La Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) annonce un nouveau report des dates limites de paiement des factures d’électricité en vue de soutenir les ménages et les clients professionnels face à la pandémie de la Covid-19.Selon la compagnie, il s’agit d’un « délai exceptionnel » des dates limites des factures d’électricité, qui vise notamment à soutenir les populations face à la crise liée à la Covid-19, dans le cadre des mesures sociales de l’Etat de Côte d’Ivoire.

La CIE, en tant qu’entreprise citoyenne, engage cette mesure sociale qui offre des facilités de paiement avec suspension des pénalités. Ce délai exceptionnel se veut un accompagnement des clients dans le règlement de leurs charges d’électricité.    

Pour les clients ayant reçu des factures en mars et mai 2020, les pénalités pour impayés des factures sont suspendues jusqu’au 10 août 2020 avec aucune pénalité appliquée avant le 11 août 2020.  

En outre, « la date limite de règlement de la facture du mois de juillet 2020 est fixée au 10 septembre 2020 », souligne la société de service public. Un délai qui donne aux clients trois mois pour s’acquitter de leurs charges d’électricité.    

Concernant les clients abonnés ayant reçu des factures en avril et en juin 2020, les pénalités pour impayés des factures sont « suspendues jusqu’au 10 septembre 2020 » avec aucune pénalité  appliquée avant le 11 septembre 2020, ajoute la compagnie.  

Par ailleurs, la date limite de règlement de la facture du mois d’août 2020 est fixée au 10 octobre 2020. Toutefois, la société prévient qu’au terme de ces délais exceptionnels sa politique de recouvrement sera à nouveau appliquée.  

Le gouvernement avait, dans le cadre de la pandémie de la Covid-19, décidé du report des dates limites des factures d’électricité des mois de mars et avril 2020 pour l’ensemble des ménages respectivement au 15 juillet et au 17 août 2020.

Et ce, sans application de pénalité de retard sur lesdites factures et sans suspension de la fourniture d’électricité pour cause d’impayé, dans l’optique d’accompagner les ménages vulnérables et les entreprises à atténuer l’impact sur leurs portefeuilles.    

Des parlementaires zimbabwéens testés positifs à la Covid-19

Le parlement du Zimbabwe a suspendu ses sessions lundi après que deux parlementaires et deux autres personnes qui avaient eu des contacts avec les législateurs au cours des dernières semaines se sont révélés positifs au test du coronavirus.Le greffier du Parlement Kenneth Chokuda a déclaré que les quatre concernées faisaient partie d’une équipe parlementaire qui effectuait une visite sur le terrain à travers le pays au cours des dernières semaines.

« Ce matin, seuls deux membres du Parlement avaient été confirmés positifs. Un chauffeur de l’un de nos fournisseurs de services et un journaliste faisant partie de l’équipe ont également été testés positifs », a ajouté Chokuda dans un communiqué.

Il a en outre déclaré que d’autres membres de l’équipe avaient été placés en auto-quarantaine « pour protéger la santé des députés, du personnel et du public qui interagissent avec l’Institution parlementaire ».

A ce jour, le pays a enregistré 2.512 cas de Covid-19, dont 34 décès.