août 2020 - Page 36 sur 37 - Journal du niger

Cinq morts dans un accident de la circulation à Yamoussoukro

Un accident de la circulation impliquant un mini-car communément appelé Massa et un véhicule de type 504 est survenu lundi sur la voie principale de Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne (centre du pays) faisant un bilan provisoire de 28 victimes dont 05 décès certains. « Le lundi 03 août à 06h13 mn (heure locale et GMT), un accident de la circulation a impliqué un Massa et un 504 à Yamoussoukro sur la voie principale. Le bilan provisoire est de 28 victimes dont 05 décès certains parmi lesquelles 03 incarcérées », a annoncé le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) dans une note d’information.

En 2019 en Côte d’Ivoire,  les accidents de la circulation ont fait 24 907 victimes dont 537 morts dans le pays.  La surcharge, l’état des routes et l’imprudence des conducteurs sont généralement à l’origine de 94% des accidents de la route qui surviennent dans le pays, selon le gouvernement ivoirien.

Les décès de Mansour Kama et du Khalife de Médina Baye à la Une au Sénégal

Les quotidiens sénégalais, parvenus ce lundi à APA, traitent en priorité des décès survenus hier de Mansour Kama, président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) et de Cheikh Ahmed Tidjane Niass, Khalife de Médina Baye à Kaolack (centre). »Cheikh Ahmed Tidjane Niass tire sa révérence à l’âge de 88 ans. Mansour Kama, capital décès », écrit L’Observateur à sa Une.

Faisant état de « week-end de Tabaski macabre », Les Échos note que « la mort frappe en plein coeur de la religion et de l’économie ». Selon nos confrères, les Khalifes généraux de Médina Baye et de Mbeuleukhé (nord) sont rappelés à Dieu, tout comme « Mansour Kama et Gora Ngom de Khelcom bâches qui laissent le secteur privé orphelin ».

À propos de tous ces décès, La Tribune parle de « Tabaski noire » au Sénégal, là où Wafl Quotidien se focalise sur le décès de Mansour Kama et note que « le patronat perd un seigneur ».

Emboîtant le pas à Walf Quotidien, nos confrères du Quotidien estiment qu’avec la mort de Mansour Kama, c’est « un patriote économique (qui) s’en va ».

« La communauté musulmane en deuil: Le Khalife général de Médina Baye n’est plus ! », s’exclame Sud Quotidien à sa Une, qualifiant Mansour Kama d’icône économique.

« Rappel à Dieu hier du 4e Khalife de Cheikh Al Islam-Médina Baye perd son +Papeu Cheikh », renchérit Vox Populi, expliquant que Cheikh Ahmed Tidiane Niasse s’est éteint à l’hôpital général de Grand-Yoff à 88 ans.

De l’avis de Vox Populi, le défunt Khalife doit être succédé par  Cheikh Mouhammadou Mahi Niasse. « Décès de Mansour Kama-Le secteur privé perd un capitaine-défenseur », rapporte le journal, citant Macky Sall qui affirme: »Le Sénégal perd une icône du patronat ».

« Décès de six icônes dont Mansour Kama, le Khalife général de Médina Baye et (la journaliste) Reine Marie Faye-VSD de Tabaski macabre au Sénégal », titre L’As, faisant dire à EnQuête que « la faucheuse s’enhardit ».

« Décès de Mansour Kama: Une grande figure du patronat est partie. La Cnes orpheline de son président. Les hommages de Macky Sall et du monde du travail », titre Rewmi Quotidien.

Lors de la célébration de la Tabaski, le 31 juillet dernier, ce journal renseigne que les prêches des imams et des hommes politiques ont porté sur la Covid-19, pour laquelle Libération informe qu’au Sénégal, « le bilan passe à 209 morts » dont neuf nouveaux décès enregistrés entre jeudi et samedi.

Les journaux traitent également de la démolition du marché Sandaga, situé à Plateau, centre administratif et des affaires de Dakar.  « Sandaga refuse sa démolition: Trois des quatre bulldozers tombent en panne », informe Lii Quotidien.

Quoi qu’il en soit, Vox Populi écrit qu’après 75 ans au coeur de Dakar, « Sandaga, un pan de l’histoire du Sénégal à terre ». « Démolition du marché Sandaga: La fin d’une histoire. La reconstruction coûtera 70 milliards, pour 24 mois de travaux », détaille Le Quotidien à sa Une.

Revenant sur l’ouverture des frontières aériennes, Les Échos révèle que « le Sénégal (est) toujours black-listé par l’UE » qui a retiré de sa liste l’Algérie.

Une banque équipe la maternité du Centre hospitalier régional de Niamey

Une banque a équipé la maternité Poudrière II du Centre hospitalier régional (CHR) de Niamey, de plusieurs édifices pour améliorer les conditions sanitaires d’une frange de la population particulièrement vulnérable, notamment, les familles et accompagnatrices de femmes enceintes, optimisant le dispositif d’accueil au niveau de la maternité du CHR.Le soutien de la Banque internationale pour l’Afrique au Niger (BIA-Niger) s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat conclue le 31 décembre 2019, se traduisant par le financement de la construction et l’équipement d’un bâtiment composé d’un espace d’accueil et d’un bloc de quatre compartiments de toilettes, destinés en priorité aux familles des patientes de la maternité Poudrière II.

La cérémonie de remise officielle de dons a eu lieu le mardi 07 juillet dernier, au sein de la maternité Poudrière II, en présence de Dr Idi Illiassou Maînassara, ministre de la Santé publique, M. Issaka Hassan Karanta, Gouverneur de la région de Niamey, Mmes Fatouma Tari Bako,   Aïssa Nana Ango respectivement Directeur général du Centre hospitalier régional (CHR) et Directeur général de BIA-Niger.

L’action sociale menée par cette banque, vise à améliorer les conditions sanitaires d’une frange de la population particulièrement vulnérable, notamment, les familles et accompagnatrices de femmes enceintes, optimisant le dispositif d’accueil au niveau de la maternité du CHR.

BIA-Niger compte parmi les acteurs bancaires majeurs du Niger. Son engagement citoyen s’articule autour de 4 axes d’intervention à savoir le social, l’entreprenariat, l’environnement  et la culture qu’elle investit pour innover dans son modèle, faisant émerger les bases d’une économie responsable.

Côte d’Ivoire: l’UDPCI se retire du RHDP et invite Mabri à être son candidat à la présidentielle

L’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI, ex-allié au pouvoir) s’est retirée officiellement, dimanche, du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, parti d’Alassane Ouattara), invitant son président Albert Toikeusse Mabri à être son candidat à la présidentielle d’octobre prochain à l’issue d’un bureau politique extraordinaire, a constaté APA sur place.« Le bureau politique, à l’unanimité invite le Dr Abdallah Albert Toikeusse Mabri, président de l’UDPCI, à faire acte de candidature à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 conformément à l’article 22 alinéa 2 des statuts et règlements intérieur du parti », a rapporté Pr Dion Yodé Simplice, le porte-parole de ce parti.

 « Le bureau politique décide du retrait  pur et simple  de l’UDPCI de la coalition politique RHDP à compter de ce jour. Le bureau politique invite tous les militants du parti à cesser toute participation aux activités du RHDP à compter de ce jour… Le bureau politique invite le président du parti à convoquer la convention d’investiture du candidat du parti à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020», a ajouté Pr Dion.

Expliquant pour sa part, son retrait du RHDP, la coalition au pouvoir dont il est l’un des fondateurs, M. Mabri a expliqué qu’il « y a beaucoup de mépris, de suffisance et d’oubli» chez les militants du parti d’Alassane Ouattara. « Nous pensons que notre place n’est plus là-bas », a-t-il estimé.

« Je pense que nos chances sont très grandes (parlant de la présidentielle). Les données de 2010 ne sont pas celles de 2020 et ils vont vérifier cela très bientôt. Nous sommes candidats parce que nous pensons que les ivoiriens vont nous choisir», a soutenu le président de l’UDPCI.

Pour M. Mabri qui dit être l’un des meilleurs profils pour la présidentielle prochaine, il « peut beaucoup faire pour la Côte d’Ivoire ».

Membre-fondateur du RHDP, la coalition au pouvoir,  M. Mabri est en froid avec le président Alassane Ouattara depuis la désignation (sans élection)  en mars dernier lors d’une réunion, de feu Amadou Gon Coulibaly comme le candidat du parti au pouvoir à l’élection présidentielle d’octobre prochain.

 A cette réunion M. Mabri qui  ambitionnait lui-aussi de porter les couleurs du RHDP à la prochaine présidentielle,  a émis des réserves quant au choix de l’ancien premier ministre, appelant le président Alassane Ouattara au dialogue.

Quelques mois après ce conclave du RHDP, le président de l’UDPCI a été démis de son poste de ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et écarté des instances du RHDP dont il était le 2ème vice-président.

Bars et boîtes de nuit: les opérateurs invités à préserver la survie du secteur avec responsabilité

Les opérateurs des bars et boîtes de nuit ont été invités, samedi, à préserver la survie de leur secteur avec responsabilité suite à la décision du Conseil national de sécurité (CNS) du 30 juillet dernier, autorisant la réouverture de ces établissements après plus de quatre mois de fermeture liée à la pandémie de la Covid-19.Le ministre ivoirien du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana a conduit une visite inopinée dans les night clubs, bars et lounges, dans la nuit de samedi pour sensibiliser les acteurs de ces établissements au respect des mesures barrières prises pour la lutte contre la Covid-19.

De Yopougon, Rue princesse, avec les escales de ‘’L’internat night-club » et du ‘’Rex bar »,  à ‘’La 5è avenue », en passant par l’espace ‘’Acoustic », ‘’La Sangria », ‘’Le VIP » et le ‘’George V », dans la commune de Cocody, la délégation ministérielle a pu se rendre compte des aspects positifs et des écueils à rectifier pour une reprise efficiente, rapporte une note d’information transmise dimanche à APA.

M. Fofana, accompagné du préfet d’Abidjan, Vincent Toh Bi et des représentants municipaux, a visité des établissements de loisirs et de divertissement nocturne pour constater, in situ, le dispositif des mesures de sécurité sanitaire  qui y est déployé. 

Il s’agit notamment la distanciation physique, la mise à disposition de gels hydroalcooliques, la prise de températures des clients  et l’ergonomie desdits espaces conformément aux protocoles définis d’un accord concerté au fil des différentes rencontres menées sous la houlette de la tutelle avec le Mouvement des opérateurs économiques de la nuit et des débits de boisson  (Mopen-Db).

Ce secteur, souligne-t-on, offre plus de 10 000 emplois directs  dans quelque 2000 établissements dans le Grand Abidjan.

Sénégal : Mansour Kama n’est plus

Le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) est décédé ce dimanche à l’hôpital Le Dantec de Dakar où il était hospitalisé.Mansour Kama, membre actif du patronat sénégalais, a aussi été le président du Conseil d’administration de la Sénégalaise des Eaux (SDE).

Entre 2014 et 2018, cet homme d’affaires a dirigé la Fondation du Secteur privé pour l’Education (FSPE).

Mansour Kama a également été à la tête du collège des Directeurs de la Banque régionale de marchés (BRM).

Côte d’Ivoire : une association équipe le CHU de Cocody pour lutter contre la Covid-19

Le Comité des alumni de Management et développement d’entreprise (MDE) Business School, une école qui forme des cadres des organisations, a offert des équipements sanitaires d’une valeur de 11 600 000 FCFA au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody, l’un des plus grands hôpitaux ivoiriens, pour lutter contre la Covid-19.Selon une note d’information transmise samedi à APA,  ce don est essentiellement composé d’éléments de protection individuelle. Il s’agit de  6000 surchaussures,  plus de 660 blouses jetables   plus de 1000 sur blouses réutilisables,    3000 charlottes,    200 visières et une dotation pour location de 2 chapiteaux pendant 2 mois.

« A travers ce geste, MDE Business School et l’association des alumni veulent  soutenir et renforcer la capacité des agents de santé afin de leur permettre de répondre efficacement à la lutte contre la Covid-19», rapporte la note.

Ce don permettra entre autres,  d’entrevoir la réouverture de certains services  de cet hôpital, qui restaient fermés compte tenu du niveau de risque important lié à la situation de la Covid, notamment, les blocs chirurgicaux.

 Au cours de cette cérémonie de remise de don, Martin Frigola, le directeur général de MDE a soutenu que l’homme est au coeur des actions de son institution. « Nos formations et toutes nos actions visent toujours à apporter un plus à nos sociétés, à nos organisations et à notre pays», a dit M. Frigola.

De son côté, Dr Méité  Issoufou, le directeur général du CHU de Cocody qui est lui-même l’un des membres de ce réseau des alumni MDE,  a exprimé sa gratitude aux donateurs, assurant un bon usage des équipements reçus par son établissement.

Depuis quelques mois, le comité des alumni de MDE Business School a initié une mobilisation solidaire à l’effet de venir en aide au personnel soignant de CHU de Cocody, acteurs de premier rang dans la lutte contre la Covid-19 en Côte d’Ivoire où à la date du 1er août, le pays compte 16 109 cas confirmés avec 11 750 personnes guéries, 102 décès et 4 257 cas actifs. 

Présidentielle 2020: désigné candidat du FPI, Affi promet une nouvelle Constitution s’il est élu

Désigné, samedi, candidat du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, Pascal Affi N’Guessan, a promis une nouvelle Constitution s’il est élu, lors du 5è Congrès extraordinaire éclaté du parti.Cette nouvelle Constitution, la Constitution de la IVe République, vise à « fonder un nouveau contrat social », a déclaré Affi N’Guessan qui propose un « régime présidentiel modéré » avec la suppression de la vice-présidence.

Il propose également la suppression du Sénat et la restauration du monocaméralisme, ainsi que le renforcement du rôle et des prérogatives de l’Assemblée nationale. M. Affi veut à travers la Constitution de la IVe République, renforcer l’indépendance de la justice.

Elle devrait,  selon lui, consacrer l’autonomie du Conseil supérieur de la magistrature et du Conseil constitutionnel. Dans cette optique, il mettra en place un système pour encadrer l’action du procureur de la République afin de mettre fin à son instrumentalisation et aux abus.

« Sous la IVe République, le cumul de mandat sera interdit au nom de l’ouverture démocratique et de l’efficacité », a-t-il poursuivi, assurant par ailleurs une indépendance de l’organe chargé d’organiser les élections.

M. Affi veut aussi engager une nouvelle répartition des compétences de l’Etat et une nouvelle loi d’orientation de l’administration du territoire et du développement local, soulignant que le pays sera découpé en 12 Districts administratifs comme pôles de coordination.

Dans ce discours-programme, M. Affi s’est engagé à faire de la Côte d’Ivoire une puissance régionale en matière de sécurité,  au regard des menaces terroristes dans la région, via une stratégie de défense axée sur l’anticipation,  la rapidité et une réaction massive.

« Avec moi comme président, il n’y aura ni mort, ni prisonniers politiques, ni exilés », a lancé M. Affi qui veut soigner les « plaies de l’émergence (slogan du pouvoir actuel)», martelant que le pays est malade, et l’espérance exige une alliance nouvelle autour d’un leadership nouveau.

« Je suis candidat pour gagner et nous allons gagner », a-t-il déclaré,  soutenant que le Rhdp  (pouvoir),  a « échoué » et est « désespéré », car n’ayant pas de candidat après le décès de Gon Coulibaly est « réduit à appeler Alassane Ouattara au secours ».

Pour M. Affi, président du Parti de Laurent Gbagbo, « on ne fait pas une nouvelle génération avec une ancienne génération ». En outre, « quand un parti est obligé de faire appel aux vétérans c’est qu’il est aux abois ».

L’élection présidentielle ivoirienne est fixée le 31 octobre 2020. Le dépôt  des candidatures est ouvert depuis le 16 juillet et devrait durer 45 jours. Les candidats devront solliciter le parrainage des électeurs, une condition d’éligibilité.

Les candidats actuellement connus sont Marcel Amon-Tanoh, ex-chef de la diplomatie de Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) et Affi Nguessan. M. Ouattara annonce pour bientôt le dévoilement de son intention s’il sera candidat du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp).

Coupe de la CAF : Les demi-finales programmées pour les 22 septembre à Rabat et Casablanca

Les demi-finales de la Coupe de la confédération africaine de football (CAF) auront lieu les 22 septembre prochain à Rabat et à Casablanca au Maroc, a annoncé la CAF.Selon la CAF, ces confrontations auront lieu en un seul match, au lieu de l’ancien format aller retour.

Dans ces demi-finales, l’équipe égyptienne Pyramides affrontera son homologue guinéenne Horoya Conakry au complexe Mohammed V de Casablanca, alors que l’autre demi-finale, qui sera 100% marocaine, mettra aux prises la Renaissance sportive de Berkane au Hassania d’Agadir.

Cette demi-finale se déroulera au complexe sportif Moulay Abdallah à Rabat, qui accueillera également la finale le 27 du même mois, précise la CAF.

Maroc : 14 décès liés à la Covid-19 en une seule journée, le plus lourd bilan depuis le début de la crise sanitaire

Journée triste ce samedi au Maroc avec 14 décès liés à la Covid-19, le plus lourd bilan enregistré depuis le début de la crise sanitaire.Selon le ministère de la santé, ces décès ont été déclarés à Tanger (7 décès), à Marrakech (3), à Casablanca (3) et 1 décès enregistré à Fès.

S’agissant des cas de contamination, 693 nouveaux cas ont été signalés ces dernières 24 heures portant à 25.015 le cumul des cas déclarés au niveau national.

La répartition régionale fait ressortir 330 nouveaux cas à Tanger-Tétouan-Al Hoceima, 209 à Fès- Meknès, 80 à Rabat-Salé-Kénitra, 41 à Casablanca-Settat, 13 à Marrakech-Safi, 13 dans l’Oriental, 5 à Beni Mellal-Khenifra et 2 à Drâa-Tafilalet.

En parallèle, 302 guérisons ont été enregistrées ce samedi soit un cumul de 17.960 rémissions depuis le déclenchement de la crise sanitaire. Le taux de guérison se situe pour sa part à plus de 72%.

S’agissant des cas actifs, leur nombre s’élève à 6.688 cas, dont 2.012 à Tanger-Tétouan-Al Hoceima, 1.660 à Casablanca-Settat, 1.634 à Fès-Meknès, 608 à Marrakech-Safi et 409 à Rabat-Salé-Kénitra.

Par ailleurs, le nombre des cas critiques à grimpé à 88 cas, dont 12 sous respiration artificielle.

Le ministère invite les citoyens à porter les masques de protection, à respecter les règles d’hygiène et de sécurité sanitaire ainsi que les mesures préventives prises par les autorités marocaines en faisant preuve de responsabilité et de patriotisme.