avril 2021 - Page 23 sur 52 - Journal du niger

Perturbation de la desserte en eau potable dans plusieurs quartiers d’Abidjan

Des travaux réalisés par une entreprise de voirie ont causé un incident technique entraînant une perturbation de la desserte en eau potable dans plusieurs quartiers, a annoncé la Société de distribution d’eau de Côte d’Ivoire ( SODECI) dans un communiqué transmis vendredi à APA.

ll s’agit notamment des quartiers d’Abobo-Baoulé, Djibi, 8è tranche Angré, Abobo Dokui, Aboboté, Bessikoi, Djibi, Chu d’Angré et Djorogobité. 

Poursuivant, la société a assuré que «nos équipes sont mobilisées et à pieds d’œuvre pour un retour à la normale dans les meilleures délais ». Depuis quelques jours, en raison de cet incident, plusieurs foyers des quartiers sus-cités sont privés d’eau potable.

La police ivoirienne lance un appel à témoins contre un violeur en série

La police nationale ivoirienne a lancé vendredi un appel à témoignages contre un individu déjà interpellé et qui est suspecté de meurtres et de viols en série.

Dans une note d’information diffusée sur son compte officiel Facebook, la direction générale de la police nationale a publié la photo de ce suspect sollicitant  « la population et toute personne susceptible d’avoir été victime de viol à l’effet de fournir toute information utile à l’enquête  ».

Le Maroc et l’Italie soulignent l’importance de poursuivre leur coordination au sujet des questions d’intérêt commun

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, s’est entretenu vendredi, en visioconférence, avec le ministre italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Luigi Di Maio.Lors de cet échange qui s’inscrit dans le cadre des contacts permanents et des échanges réguliers entre les deux ministres, Nasser Bourita et Luigi Di Maio ont salué l’excellence des relations entre les deux pays et convenu de les développer davantage, à travers l’opérationnalisation de la déclaration sur le partenariat stratégique multidimensionnel et ce, en mettant en place les mécanismes de dialogue et de coopération y afférents, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Au niveau de la coopération économique, les deux responsables ont marqué l’importance de prendre en considération les nouvelles priorités imposées par le contexte de pandémie, en termes de promotion d’investissement et de développement de nouvelles chaines de valeurs.

Ils ont mis en avant l’intérêt de promouvoir les mécanismes et les outils d’échange et de coopération entre les communautés d’affaires des deux pays, dans la perspective de l’organisation d’un forum économique, précise la même source.

Les deux ministres ont loué l’excellence de la coopération en matière de sécurité, en insistant sur l’intérêt de la renforcer davantage et l’étendre pour en faire bénéficier d’autres partenaires et d’autres régions, notamment en Afrique.

Luigi Di Maio, poursuit le communiqué, a mis en avant l’engagement de l’Italie à accompagner et soutenir le renforcement du partenariat stratégique entre l’UE et le Maroc. Il a ainsi réitéré l’appui de son pays aux efforts sérieux et crédibles du Maroc en tant que pôle régional de stabilité et relais de développement et de croissance en Afrique.

Lors de cet entretien, les deux ministres ont souligné l’importance de poursuivre leur coordination au sujet des questions d’intérêt commun, notamment en Libye et au Sahel, ainsi qu’au sein des instances internationales.

Environ 500 milliards Fcfa d’échanges commerciaux entre la Côte d’Ivoire et la Suisse en 2020

Les échanges commerciaux entre la Côte d’Ivoire et la Suisse se sont établis à environ 500 milliards Fcfa en 2020 contre 378 milliards Fcfa l’année précédente, soit une hausse de plus de 100 milliards de Fcfa.

« On est dans le top 5 des investisseurs bilatéraux de la Côte d’Ivoire », a dit jeudi l’ambassadeur de la Suisse en Côte d’Ivoire, Anne Lugon-Moulin, en marge de l’inauguration d’une usine suisse de transformation et de séchage de fruits à Assé (Bonoua), à 60 Km au Sud-est d’Abidjan. 

Les investissements des entreprises helvétiques en Côte d’Ivoire, fera-t-elle, savoir, se chiffrent à « plusieurs dizaines ou centaines de milliers d’euros qui sont investis chaque année » par les opérateurs suisses dans le pays.  

« Le Département fédéral des Affaires étrangères, dans sa stratégie Afrique, place la Côte d’Ivoire comme un lion économique sur le continent et en Afrique de l’Ouest », a indiqué la diplomate suisse, Anne Lugon-Moulin.  

Une quarantaine d’entreprises suisses sont implantées sur le sol ivoirien et opèrent dans différents secteurs, entre autres, le transport, les BTP et l’agriculture, ce qui représente en termes d’échanges globaux un « volume d’environ 500 milliards Fcfa en 2020 ».

Les relations diplomatiques entre la Confédération Suisse et l’Etat ivoirien ont été officialisées depuis le 26 juillet 1961.  Cette année, marque la commémoration du 60e anniversaire de la coopération entre les deux pays. 

Maroc : Vers la création d’un Institut de formation professionnelle dans les métiers de l’industrie pharmaceutique

La cérémonie de signature d’une convention-cadre pour la création de d’un Institut de formation professionnelle dans les métiers de l’industrie pharmaceutique ce centre a été présidée ce vendredi à Casablanca par le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement Supérieur de la Formation Professionnelle et de la Recherche Scientifique Saaid Amzazi.Inscrite dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle feuille de route pour le développement de la formation professionnelle, cette convention répond à l’objectif d’améliorer la formation professionnelle axée sur les métiers de l’industrie pharmaceutique tout en rapprochant l’offre (de formation) des besoins en compétences du secteur, lit-on dans un communiqué du Département de la Formation Professionnelle.

« La mise en place de cet Institut va renforcer le dispositif des établissements de nouvelle génération, déjà mis en place dans le cadre du partenariat public privé dans les secteurs à forte valeur ajoutée, tels que l’Aéronautique, l’Automobile, le textile habillement et les énergies renouvelables, et qui ont montré leur efficacité en matière de l’adéquation formation emploi », a souligné M. Amzazi.

Pour sa part, le ministre de l’industrie, du commerce et de l’économie numérique et verte, Moulay Hafid Elalamy a expliqué que « ce partenariat porte sur la réalisation d’un projet fort important visant la formation des jeunes désirant faire carrière dans l’industrie pharmaceutique. C’est un secteur prometteur qui regorge de débouchés, grâce au savoir-faire de nos entreprises, à la qualité de la production nationale et à la proximité avec les marchés potentiels ».

Tout en mettant l’accent sur la dynamique que connaît l’industrie pharmaceutique au plan national, à travers notamment le lancement de projets d’envergure dans la production locale de médicaments biosimilaires et génériques et la création d’unités de production de vaccins et sérums pour le marché local, il a précisé que «cet institut sera appelé à accompagner et à accélérer le développement de cette industrie visant à assurer l’autosuffisance et à renforcer le positionnement de la production locale ».

Outre la création d’un Institut de formation professionnelle dans les métiers de l’industrie pharmaceutique, cette convention vise aussi l’élaboration d’un répertoire emploi/métier (REM) et d’un référentiel emploi/compétence (REC) pour déterminer les compétences nécessaires aux postes et fonctions de travail identifiés et la mise en place d’une offre de formation professionnelle adaptée aux besoins du secteur (formation initiale, formation qualifiante et continue …).

Af’Sud : pas de report des élections locales

Les élections locales sud-africaines vont se tenir cette année, malgré les inquiétudes liées à la Covid-19.Le président Cyril Ramaphosa qui s’exprimait, hier jeudi lors d’un meeting, a promis que les locales vont se dérouler comme prévu en octobre 2021.

Le président a fait cette déclaration suite à une réunion de la Commission électorale indépendante (IEC) du pays pour discuter d’un éventuel report des élections d’octobre, suite aux appels du parti d’opposition « Economic Freedom Fighters (EFF) ».

Le leader de l’EFF, Julius Malema, a demandé l’annulation des élections locales en raison de l’état d’urgence actuel du pays, dû au coronavirus, qui empêchera les partis de faire campagne efficacement et librement en raison des interdictions de rassemblement.

Faisant campagne pour les élections locales partielles qui se tiendront la semaine prochaine dans plusieurs circonscriptions du pays, M. Ramaphosa a déclaré que les suggestions visant à reporter les élections locales d’octobre ne sont pas justifiées.

« Allons aux urnes. Car c’est là que nous pourrons choisir le Congrès national africain qui nous fera avancer », a déclaré M. Ramaphosa.

En ce qui concerne les prochaines élections locales partielles, le président a appelé à voter pour l’ANC au pouvoir à Durban et « tout au long des six autres élections partielles ailleurs ».

Le président a déclaré que son gouvernement a « travaillé plus dur » pour le peuple sud-africain pendant la période éprouvante de la Covid-19, soulignant la nécessité de tenir les élections locales, malgré la pandémie qui a tué plus de 54.000 personnes dans le pays.

Ethiopie: l’Onu doute du retrait des soldats érythréens du Tigré

Le Sous-Secrétaire général des Nations unies aux affaires humanitaires a déclaré qu’il n’y a aucune preuve que les troupes érythréennes ont commencé à se retirer de la région de Tigré.« Malheureusement, je dois dire que ni l’ONU ni aucune des agences humanitaires avec lesquelles nous travaillons n’ont vu de preuve du retrait des Erythréens de la région du Tigré en Ethiopie », a déclaré Mark Lowcock lors d’une réunion à huis clos du Conseil de sécurité de l’Onu.

La réunion de jeudi était la dernière d’une série de sessions similaires depuis le début du conflit dans la région éthiopienne du Tigré, où des milliers de personnes ont été tuées depuis novembre dernier.

L’Érythrée va retirer ses troupes d’Éthiopie près de cinq mois après le début du conflit dans cette région du Nord du pays, avait promis le Premier ministre Abiy Ahmed il y a deux semaines.

Pendant des mois, Addis-Abeba et Asmara ont nié la présence de troupes érythréennes dans le Tigré, contredisant ainsi les récits des habitants, des travailleurs humanitaires, des diplomates et même de certains responsables civils et militaires éthiopiens.

Congo : Denis Sassou Nguesso investi

Le président réélu pour un cinquième mandat a prêté serment, ce vendredi 16 avril, au Palais des congrès de Brazzaville.C’est parti pour cinq nouvelles années de règne pour Denis Sassou Nguesso. « L’empereur », surnom donné par son pair Alassane Ouattara, cumule 37 ans de pouvoir absolu. Vainqueur dès le premier tour de l’élection du 21 mars dernier, le chef de file du Parti congolais du Travail (PCT) a déclaré qu’il a été et sera « le président de tous les Congolais sans exclusive ».

Sassou Nguesso pour qui, « le travail ne s’arrêtera pas », a décliné les grands axes de son action pour ce quinquennat : consolider l’Etat de droit, améliorer le climat des affaires, lutter contre les antivaleurs, diversifier l’économie et valoriser le capital humain.

Dans son discours d’investiture, le président congolais s’est engagé « à promouvoir une gouvernance sociale et solidaire ». Celle-ci devrait prendre forme avec l’avènement d’ « un Etat protecteur » qui va notamment travailler en faveur de « l’électricité et l’eau pour tous, l’assurance maladie universelle et l’éducation inclusive ».

Séance tenante, Denis Sassou Nguesso a promis de « doter tous les villages de plus de 100 habitants de l’électricité, de l’eau potable et de centre de santé ». Selon les résultats définitifs publiés par la Cour constitutionnelle, il a remporté le scrutin présidentiel en recueillant 88,40 % des suffrages valablement exprimés.

Félix Tshisekedi, Macky Sall, Bah N’Daw, Umaro Sissoco Embaló, Roch Marc Christian Kaboré, Alassane Ouattara, Mohamed Bazoum, Idriss Déby Itno, Evariste Ndayishimiye, respectivement présidents de la République démocratique du Congo, du Sénégal, du Mali, de la Guinée Bissau, du Burkina, de la Côte d’Ivoire, du Niger, du Tchad et du Burundi, ont assisté à l’investiture de leur homologue congolais.

L’insécurité alimentaire guette l’Afrique occidentale et centrale (étude)

Dans ces deux parties du continent noir, plus de 31 millions de personnes pourraient souffrir de la faim durant la saison de soudure de juin-août 2021 selon le Programme alimentaire mondial (Pam).C’est une alerte pour parer à un danger imminent. Car « ce chiffre est supérieur de plus de 30 % à celui de l’année dernière et représente le niveau le plus élevé depuis près de dix ans d’après les données du Cadre Harmonisé, une analyse conjointe de la sécurité alimentaire publiée sous les auspices du Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (Cilss) ».

La possible insécurité alimentaire résulterait, à en croire le Programme alimentaire mondial (Pam), de la flambée des prix des denrées alimentaires dans ces régions en proie à des conflits et à l’impact socio-économique de la pandémie de la Covid-19.

De ce fait, l’organisation humanitaire mondiale de lutte contre la faim estime, dans un communiqué reçu ce vendredi à APA, qu’ « une action immédiate est nécessaire afin d’éviter une catastrophe  » pendant la période de soudure « précédant la prochaine récolte et au cours de laquelle les réserves alimentaires sont épuisées ».

En Afrique de l’Ouest, explique Chris Nikoi, le Directeur du Pam dans cette région, « les conflits alimentent déjà la faim et la misère. La hausse incessante des prix agit comme un multiplicateur de pauvreté, plongeant des millions de personnes dans l’insécurité alimentaire et le désespoir ». 

De plus, signale M. Nikoi, « même lorsque les denrées alimentaires sont disponibles, les familles n’ont pas les moyens de s’en procurer et la flambée des prix met un repas de base hors de portée de millions de familles pauvres qui avaient déjà du mal à s’en sortir ».

Dans les pays ouest-africains, note le Pam, les prix des denrées alimentaires sont en hausse. « Par rapport à la moyenne des cinq dernières années, les produits locaux ont augmenté de près de 40 % et dans certaines zones, les prix ont grimpé de plus de 200 % », précise le programme du système des Nations unies.

Poursuivant, le Programme alimentaire mondial fait savoir que « cette situation est due en partie à l’impact économique des mesures contre la propagation du coronavirus au cours de l’année dernière, mais aussi à la baisse des revenus des populations en raison de la réduction des activités commerciale, touristique et informelle ainsi que des transferts de fonds ».   

En Sierra Leone, par exemple, « la dépréciation de la monnaie locale a eu des répercussions sur le prix des denrées importées ou produites localement », indique le Pam. Dans le pays dirigé par Julius Maada Bio, rapporte l’organisation onusienne, « le prix du riz, l’aliment de base, est supérieur de 60 à 70 % à la moyenne quinquennale ».

C’est pourquoi l’insécurité alimentaire aiguë y a connu un pic puisqu’elle touche 23 % de la population (1,8 million de personnes) contre seulement 2 % en 2019. « En attendant que les marchés se stabilisent, l’assistance alimentaire est peut-être la seule source d’espoir pour des millions de familles. Les besoins sont immenses et si nous ne parvenons pas à réunir les fonds (indispensables), nous ne pourrons tout simplement pas faire face. Nous ne pouvons pas laisser 2021 devenir l’année de la réduction des rations », avertit le Directeur régional du Pam.

En outre, le rapport fait remarquer que « dans le Nord du Nigeria, au Sahel central (Burkina, Mali et Niger), en Centrafrique et dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun, l’escalade de la violence oblige les populations à se déplacer, à abandonner leurs champs et leurs sources de revenus ».

C’est la raison pour laquelle « près de 10 millions d’enfants, de moins de 5 ans, souffrent de malnutrition aiguë cette année dans la région et le Sahel représente la moitié de ce chiffre à lui seul ». Au vu de la situation, le Pam prévoit cette année d’aider en Afrique occidentale et centrale « près de 18 millions de personnes » dont 68 % sollicitent une assistance « d’urgence ».

Pour les six prochains mois, le Programme alimentaire mondial a chiffré ses besoins à « 770 millions de dollars » pour mener « ses opérations dans 19 pays ». En 2020, l’organisation humanitaire mondiale et ses partenaires ont aidé « près de 17 millions de personnes en Afrique de l’Ouest à travers des approches intégrées combinant des interventions alimentaires et nutritionnelles vitales mais aussi des activités qui renforcent la résilience des communautés », conclut le document.

Côte d’Ivoire: sortie officielle de 133 commissaires de police

Cent trente-trois commissaires de police dont 11 femmes, issus de la 43e promotion « 2019-2021 », ont reçu vendredi le baptême et les épaulettes de leur grade, lors d’une cérémonie à l’École de police d’Abidjan.

Cette promotion s’est donnée pour devise « loyauté-probité-rigueur », dont le triptyque a été dévoilé lors de la cérémonie, présidée par le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, le général Vagondo Diomandé. 

A l’endroit de ces 133 nouveaux commissaires qui viennent renforcer les effectifs de la police nationale, le général Vagondo Diomandé a fait observer qu’ils arrivent dans un contexte sécuritaire particulièrement difficile, car ils devront faire face à la menace terroriste.

« A ceux parmi vous qui tenteront de suivre les traces des rares brebis galeuses, celles qui jettent le discrédit sur la noble corporation de la police nationale, je promets toute la rigueur, je serai sans état d’âme quand il s’agira d’appliquer des sanctions » », a-t-il déclaré.

Le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Ibrahime Coulibaly-Kuibiert, a été choisi comme parrain de la promotion 2019-2021. Il les a exhorté à l’application et au respect du pacte social qu’est le Code pénal. 

« Chers filleuls, sachez que j’attends le meilleur de vous. Pour cela, vous devez vous rappeler tous les jours votre devise, tourner le dos à toutes les pratiques décriées au quotidien par la population ivoirienne ». 

« Si vous venez à la police pour vous enrichir, vous vous en sortirez pauvres, à contrario, si vous venez à la police pour servir la nation avec abnégation, je puis vous assurer chers filleuls que vous en sortirez riches…riches du respect de vos concitoyens », a-t-il conseillé. 

La formation de l’élève commissaire est jalonnée par l’enseignement de 27 disciplines assortis de contrôles continus de connaissance et de deux évaluations partielles. Elle est suivie d’un stage pratique et s’achève par la soutenance d’un mémoire de fin de formation.

Parmi ces impétrants, 61 sont issus de concours directs comprenant 57 hommes et quatre dames, 68 issus du concours professionnel dont 61 hommes et sept dames, soit un total de 118 hommes et 11 dames auxquels s’ajoutent quatre hommes recalés de la promotion 2018-2020.

Mme Coulibaly Clotilde, major de la promotion, a obtenu 14,89 de moyenne sur 20.