janvier 2024 - Page 4 sur 4 - Journal du niger

Burkina Faso : Nouvelle Ère Diplomatique avec le Niger et Maurice

Le Burkina Faso, sous la direction éclairée du président de la transition, Ibrahima Traoré, persiste dans sa volonté de renforcer les liens diplomatiques avec ses voisins africains. Deux décisions majeures ont été prises lors du conseil des ministres du 5 janvier 2024, traduisant l’engagement continu du pays en faveur de la coopération régionale.

Ambassade Résidente au Niger : Un Symbole de Solidarité Renforcée

La décision d’élever le consulat général du Burkina Faso au Niger au statut d’ambassade résidente s’inscrit dans une démarche visant à consolider les liens historiques et fraternels entre les deux nations. Cette mesure va au-delà de l’aspect symbolique en offrant une protection accrue aux Burkinabè résidant au Niger, tout en renforçant la présence diplomatique pour mieux défendre les intérêts communs.

Cette initiative s’articule également autour de la coopération militaire, soulignant l’unité entre le Burkina Faso et le Niger dans la lutte commune contre le terrorisme dans la région du Sahel. En élevant le statut du consulat, le Burkina Faso montre sa volonté de collaborer plus étroitement sur les défis sécuritaires et les enjeux stratégiques de la région.

Consulat Honoraire à Port-Louis, Maurice : Un Nouveau Chapitre dans les Relations

Simultanément, le Burkina Faso a annoncé l’ouverture d’un consulat honoraire à Port-Louis, capitale de la République de Maurice. Cette démarche, également datée du 5 janvier 2024, vise à intensifier les liens d’amitié et à ouvrir de nouvelles perspectives de coopération entre les deux nations.

Le consulat honoraire devient une plateforme pour dynamiser les échanges économiques, culturels et scientifiques entre le Burkina Faso et Maurice. Cette initiative stratégique offre un cadre propice à la croissance des relations bilatérales, particulièrement dans des domaines tels que le commerce, le tourisme, et la recherche.

En conclusion, ces développements diplomatiques récents attestent de la volonté du Burkina Faso d’asseoir sa présence sur la scène internationale et de renforcer ses relations avec des partenaires clés, dans un contexte où la coopération régionale et mondiale est plus cruciale que jamais.

Soutien indéfectible : Opérations Antiterroristes au Niger et au Burkina Faso

Dans une série de communiqués émis  le 6 janvier 2024, le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) et le Ministère de la Défense Nationale ont partagé des informations cruciales sur les opérations récentes au Niger et au Burkina Faso, visant à contrer les groupes armés terroristes.

Les forces armées du Niger, représentées par les Armees Niger, ont déployé des efforts considérables pour neutraliser les menaces terroristes opérant parmi les populations civiles. Ces opérations ont bénéficié du soutien déterminant des pays de l’Alliance des États du Sahel, avec une mention spéciale pour la République du Togo.

L e Togo, dirigé par le Président Faure Gnassingbé, a joué un rôle clé en ouvrant le Port de Lomé pour faciliter les importations au Niger. Cette initiative témoigne d’une solidarité proactive, soulignant l’engagement du Togo en faveur de la paix au Sahel et dans le monde.

Les actions concertées au Niger et au Burkina Faso démontrent la ferme détermination des forces armées à éradiquer les groupes terroristes, même lorsque ces derniers se camouflent parmi les civils. Ces opérations mettent en avant la nécessité d’une coopération régionale et internationale pour contrer une menace qui transcende les frontières nationales.

 

En conclusion, les succès opérationnels au Niger, conjugués au soutien international, renforcent l’idée que la collaboration entre nations demeure essentielle dans la lutte antiterroriste au Sahel. Le Togo, par son geste concret, émerge comme un exemple de solidarité active, soulignant la pertinence d’une approche unie pour assurer la stabilité dans cette région complexe du globe.

Incident Hélicoptère Militaire Nigérien : Précision et Réactions

Dans un communiqué émis par le ministère de la Défense nationale samedi 07 janvier, des détails supplémentaires ont été apportés concernant l’incident survenu lors de l’atterrissage d’un hélicoptère MI 171 de l’armée de l’air nigérienne à Kantchari, Burkina Faso, le vendredi dernier.

L’incident, survenu vers 12h15 lors d’une mission conjointe avec les forces armées burkinabé, a été causé par une panne technique de l’hélicoptère de type MI171 immatriculé 5UHH. Bien que l’atterrissage difficile ait occasionné des dégâts matériels importants, la bonne nouvelle réside dans l’absence de pertes humaines, malgré la blessure légère d’une personne, rapidement prise en charge.

Le ministre d’État à la Défense nationale, agissant au nom du Président du CNSP et Chef Suprême des Armées, a salué le courage exceptionnel de l’équipage qui, par son expérience, a réussi à éviter le pire. Un appel a également été lancé aux forces de défense et de sécurité pour maintenir leur engagement dans la pacification de notre espace.

Ce nouvel éclairage sur l’incident vise à apaiser les inquiétudes du public et à souligner le professionnalisme constant des Forces armées nationales dans leur mission de défense de l’intégrité territoriale et de protection des citoyens et de leurs biens. Une enquête est en cours pour déterminer les causes exactes de cette panne technique, démontrant ainsi la transparence du ministère dans la gestion de cet événement.

Réforme Pénale au Niger : Le Président du CNSP accorde des remises de peines judicieuses

En commémoration de la fête nationale du 18 décembre, marquant solennellement la proclamation de la République du Niger, le Général Abdourahamane Tiani, en tant que Chef de l’État à la tête du CNSP, a promulgué, ce mardi 3 janvier, un décret instaurant des remises de peines pour les individus condamnés pour crimes et délits, à l’exception des cas gravissimes. Les réductions de peine, modulées en fonction de la durée initiale de la sentence, oscillent entre 3 et 24 mois. Une remise totale est accordée aux femmes enceintes ou allaitantes, aux mineurs, ainsi qu’aux personnes âgées et malades.

Selon les déclarations émanant du cabinet présidentiel du CNSP  (https://www.journalduniger.com/wp-content/uploads/2024/01/Niger-grace-.pdf ), cette mesure clémente est envisagée dans le but de soulager les établissements pénitentiaires de leur surpopulation tout en offrant une opportunité de réhabilitation aux détenus jugés dignes de cette clémence. Toutefois, il est impérativement souligné que des procédures de vérification rigoureuses seront instaurées afin de prévenir tout abus. Le décret met en garde les individus qui useraient de faux documents pour bénéficier de cette grâce présidentielle, les privant ainsi des avantages induits par cette mesure de clémence.

L’Épineuse Situation d’Ousmane Sonko : Un Tournant dans la Course Présidentielle Sénégalais

Dans l’effervescence politique qui prévaut à l’approche des élections présidentielles sénégalaises, les regards se tournent avec une attention particulière vers les développements récents au sein de la sphère judiciaire. À deux mois du scrutin, une décision de la Cour suprême vient semer le doute quant à la candidature de l’opposant éminent, Ousmane Sonko.

La plus haute instance judiciaire sénégalaise a, en effet, entériné la condamnation de Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis, assortis d’une amende de 200 millions de francs CFA (305 000 euros). Cette sentence, prononcée en appel au mois de mai dernier, résulte d’une affaire complexe de  « Diffamation, Injures et Faux »  qui l’oppose au ministre du tourisme, Mame Mbaye Niang.

L’origine de cette confrontation judiciaire remonte à la fin de l’année 2022, lorsque Sonko avait publiquement accusé le ministre du tourisme d’avoir fait l’objet de remarques critiques dans un rapport de l’inspection générale des finances. Ce document pointait des irrégularités de gestion pendant sa coordination d’un programme agricole d’État.

La décision de la Cour suprême, confirmant cette condamnation, intervient à un moment critique, à seulement deux semaines de la publication définitive de la liste des candidats à la présidentielle. Selon les dispositions du Code électoral, toute personne condamnée à une peine avec sursis inférieure ou égale à six mois se voit déclarée inéligible pour une période de cinq ans.

Dans l’effervescence politique qui prévaut à l’approche des élections présidentielles sénégalaises, les regards se tournent avec une attention particulière vers les développements récents au sein de la sphère judiciaire. À deux mois du scrutin, une décision de la Cour suprême vient semer le doute quant à la candidature de l’opposant éminent, Ousmane Sonko.

La plus haute instance judiciaire sénégalaise a, en effet, entériné la condamnation de Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis, assortis d’une amende de 200 millions de francs CFA (305 000 euros). Cette sentence, prononcée en appel au mois de mai dernier, résulte d’une affaire complexe de  « Diffamation, Injures et Faux »  qui l’oppose au ministre du tourisme, Mame Mbaye Niang.

L’origine de cette confrontation judiciaire remonte à la fin de l’année 2022, lorsque Sonko avait publiquement accusé le ministre du tourisme d’avoir fait l’objet de remarques critiques dans un rapport de l’inspection générale des finances. Ce document pointait des irrégularités de gestion pendant sa coordination d’un programme agricole d’État.

La décision de la Cour suprême, confirmant cette condamnation, intervient à un moment critique, à seulement deux semaines de la publication définitive de la liste des candidats à la présidentielle. Selon les dispositions du Code électoral, toute personne condamnée à une peine avec sursis inférieure ou égale à six mois se voit déclarée inéligible pour une période de cinq ans.

Le Renaissance Militaire du Mali : Un Pas de Géant sur la Scène Mondiale

Le Mali, jadis épinglé comme l’une des nations les plus vulnérables d’Afrique de l’Ouest, écrit une nouvelle page de son histoire militaire avec un bond impressionnant dans le classement des forces armées mondiales. Selon les données émanant de Global Fire Power pour l’année 2022, le Mali se hisse fièrement en tant que la troisième puissance militaire d’Afrique de l’Ouest, talonnant de près le Nigeria et le Ghana.

Ce succès fulgurant, s’apparentant à une véritable renaissance, trouve son origine dans la vision stratégique et la détermination sans faille du président Assimi Goïta, prenant les rênes du pouvoir en 2021. En un laps de temps remarquablement court, le Mali a su transcender les prévisions les plus pessimistes pour devenir un acteur militaire majeur.

La rupture décisive avec l’influence française, ancienne puissance coloniale, a marqué un tournant majeur. Optant pour une coopération étroite avec la Russie, sous la direction de Vladimir Poutine, le Mali a ouvert les portes à une modernisation militaire d’envergure, se traduisant par l’acquisition d’armements de pointe et des formations spécialisées.

Les résultats concrets de cette alliance ne se font pas attendre. L’armée malienne, désormais revitalisée et renforcée, remporte des victoires significatives contre les groupes armés terroristes qui ont longtemps semé l’instabilité dans le pays. Cette ascension fulgurante propulse le Mali au-devant de la scène internationale, témoignant d’une transformation majeure et prometteuse dans l’arène militaire mondiale.

Le Ministre d’État, artisan de l’entente Civilo-Militaire, reçoit une distinction méritée

Dans un élan solennel ce matin, la coordination du projet civilo-militaire a accordé une distinction de haute estime au Ministre d’État, Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, le général de brigade Mohamed TOUMBA. Cet hommage officiel témoigne de la gratitude et de la reconnaissance envers le Ministre d’État pour son rôle déterminant et son engagement actif dans le succès de la récente caravane civilo-militaire de sensibilisation, étendue sur les huit (8) régions du Niger.

La distinction octroyée au Ministre d’État sert à saluer son leadership éclairé, qui a été instrumental dans la concrétisation de cette initiative novatrice visant à renforcer la collaboration entre les secteurs civil et militaire. La caravane a représenté un catalyseur essentiel, établissant des ponts et favorisant une compréhension mutuelle entre ces deux composantes cruciales de notre société.

La coordination du projet civilo-militaire en entretien avec le Ministre d’Etat, le général de brigade Mohamed TOUMBA

La vision stratégique du général de brigade Mohamed TOUMBA a été un moteur essentiel dans la création d’un environnement propice à la coopération civilo-militaire. Son implication active a été un facteur déterminant dans la réussite de cette entreprise, démontrant ainsi un profond attachement à la sécurité publique et à l’administration territoriale.

Cette distinction sert également à souligner l’importance de la collaboration intersectorielle dans la consolidation de la stabilité nationale. Le Ministre d’État, par son leadership visionnaire, a contribué de manière significative à la construction d’un dialogue constructif entre les autorités civiles et les forces armées, favorisant ainsi un climat de confiance et de compréhension mutuelle.

En conclusion, la remise de cette distinction honorifique constitue un hommage mérité au général de brigade Mohamed TOUMBA, un fervent défenseur de l’excellence dans la coopération civilo-militaire. Son dévouement exceptionnel a laissé une empreinte positive, renforçant la sécurité et la stabilité nationales tout en établissant un précédent éloquent pour la promotion de l’harmonie entre les sphères civiles et militaires.

Audience notable entre le Premier Ministre Nigérien et le Secrétaire Exécutif sortant de l’ABN

Le mercredi 3 janvier 2024, le Premier Ministre du Niger, Ali Mahaman Lamine Zeine, a accordé une audience distinguée à Abderahim Biréme, Secrétaire Exécutif sortant de l’Autorité du Bassin du Niger (ABN), qui achève son mandat dans le pays. Cette réunion de haut niveau s’est déroulée en présence du Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement.

À l’issue de cette rencontre, M. Abderahim Biréme s’est exprimé devant les micros de la Radio Télévision Nigérienne, soulignant : « Nous sommes venus, accompagnés du Ministre de l’Hydraulique, pour présenter nos respects, signifiant ainsi la fin de ma mission depuis ma nomination au gouvernement tchadien. Nous avons saisi cette opportunité avec le Ministre Mahaman Zeine pour exprimer notre reconnaissance envers le peuple nigérien pour son hospitalité légendaire. »

Le Premier Ministre du Niger, Ali Mahaman Lamine Zeine & Abderahim Biréme, Secrétaire Exécutif sortant de l’ABN

Il a profité de ce moment pour dresser un bilan de la mission accomplie au Niger, mettant en lumière les réalisations et les défis surmontés. La discussion avec le Ministre a également porté sur les perspectives d’avenir de l’Autorité du Bassin du Niger (ABN), soulignant l’importance cruciale de la gestion durable des ressources hydrauliques dans la région

Cette audience revêt une importance stratégique, témoignant de la coopération fructueuse entre le Niger et l’ABN. Le Premier Ministre Zeine a exprimé sa reconnaissance pour le travail accompli par M. Biréme et a souligné l’engagement continu du gouvernement nigérien envers la préservation des ressources du Bassin du Niger

En conclusion, cette audience a permis de renforcer les liens entre le Niger et l’ABN, tout en jetant les bases d’une coopération future fructueuse pour le Bassin du Niger.

 

Agadez : Lancement officiel des concertations régionales en prélude au dialogue national Nigérien

 Lundi, dans la pittoresque ville d’Agadez, le Premier ministre nigérien, Ali Mahaman Lamine Zeine, a initié avec éclat les concertations régionales. Cet événement marque l’amorce des discussions cruciales préalables au dialogue national inclusif, destiné à déterminer la durée de la transition pour les militaires ayant pris le pouvoir à la suite d’un coup d’État fin juillet.

Consensus et Inclusivité : Les Mots d’Ordre

Sous le ciel azur d’Agadez, M. Zeine a donné le ton pour les assises régionales qui s’étendront sur les huit régions du pays. À la télévision publique nigérienne, il a affirmé que le dialogue national débutera « très bientôt ». Il a également exhorté les débats régionaux à être le reflet d’une volonté consensuelle et inclusive.

Une Assemblée Hétéroclite

La cérémonie a réuni des officiers du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), des membres du gouvernement, ainsi que des représentants des chefs traditionnels et religieux. Un mélange éclectique de 300 participants, incluant des élus, des chefs traditionnels, d’anciens combattants des rébellions touareg, des organisations de jeunesse, des syndicats et des ONG, a marqué le début des concertations pour la région d’Agadez.

Des Axes de Débat Sensibles

Les propositions soumises lors de ces concertations portent sur les quatre axes majeurs du prochain dialogue national. Parmi les sujets délicats figurent la durée de la transition, les principes fondamentaux, les axes prioritaires, mais aussi des questions complexes telles que l’exploitation de l’uranium par des sociétés étrangères, la présence d’une base militaire américaine, l’immigration clandestine, et l’insécurité dans les zones aurifères artisanales.

Des Réserves sur la Transparence

Toutefois, des voix se sont élevées pour exprimer des préoccupations quant à la transparence du processus. Certains participants ont reproché au comité régional de ne pas avoir inclus certaines propositions dans ses travaux, alimentant ainsi des doutes sur la sincérité de l’équipe rédactionnelle.

Questionnement sur la Composition du Comité

Des interrogations persistent également concernant la composition du comité régional, suscitant des interrogations sur son alignement avec les idéaux du CNSP et les aspirations nationales. Le comité a répondu aux critiques en promettant des amendements dans les jours à venir.

Responsabilité et Consensus

Le gouverneur de la région, le Général Ibrah Boulama, a souligné la mobilisation en tant que manifestation de l’intérêt porté aux impératifs de justice, de bonne gouvernance, de paix, de sécurité et de développement socio-économique au sein de la région d’Agadez. Le Premier ministre a chaleureusement salué les échanges fructueux avec les forces vives de la nation. Néanmoins, l’intervention de la chefferie traditionnelle et des ulémas demeure prédominante, marquant les esprits, car ils n’ont pas hésité à rappeler aux participants que, quels que soient nos labeurs, un jour nous aurons à rendre compte devant Allah, l’omnipotent, le clément et le miséricordieux. Chacun d’entre nous, a renchéri le Premier ministre, est un berger auquel Dieu exigera des comptes, le jour où nul ne sera lésé lors du jugement.

Orientations Gouvernementales pour la Transition

Ali Mahaman Lamine Zeine a appelé le comité régional à enrichir le mémorandum présenté lors des assises nationales pour garantir son caractère consensuel et inclusif. Il a également annoncé l’engagement du gouvernement de transition en faveur de la réhabilitation de la RTA, de l’achèvement de la transsaharienne, de la mise en œuvre de la fibre optique, et du renforcement des relations avec l’Algérie. Des partenariats avec l’Algérie et la Libye ont été évoqués pour favoriser le développement socio-économique et assurer la paix et la sécurité.

Vers une Refondation Nationale

Le Général Ibrah a félicité le président du CNSP, le Premier ministre, et l’ensemble des membres du CSP pour l’initiative louable du dialogue national. Il a souligné son rôle dans l’intégration des réflexions nécessaires à la refondation nationale basée sur les valeurs fondamentales du pays. Un pas significatif vers la stabilité et le progrès pour le Niger.