avril 2024 - Page 3 sur 11 - Journal du niger

Niger-Russie : Nouvelle alliance pour la sécurité Sahélienne

Dans un monde où les dynamiques géopolitiques évoluent rapidement, le Niger prend des mesures audacieuses pour renforcer sa sécurité nationale. Face à la menace persistante du terrorisme, le gouvernement du Niger a amorcé une initiative stratégique majeure : le renforcement de ses liens militaires avec la Russie.

Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration Territoriale, Mohamed Toumba, a récemment exprimé le désir du Niger de bénéficier d’une formation militaire dispensée par la Russie, ainsi que d’acquérir des armements russes. Cette déclaration marque un tournant significatif dans la politique de défense du Niger, qui cherche à diversifier ses alliances pour combattre plus efficacement le fléau du terrorisme.

Cette nouvelle orientation stratégique du Niger s’inscrit dans un contexte de recherche de solutions innovantes et robustes face aux groupes djihadistes qui déstabilisent la région du Sahel. “Il s’agit aussi de combattre, d’utiliser des armes. Nous sommes intéressés par l’achat d’armes”, a souligné M. Toumba, mettant en lumière la nécessité d’une collaboration étroite avec la Russie dans le domaine de la sécurité.

En se tournant vers la Russie pour la formation militaire et l’achat d’armes, le Niger espère non seulement améliorer sa capacité à sécuriser ses frontières, mais aussi à jouer un rôle plus actif dans la stabilisation de la région du Sahel. Cette démarche pourrait également signaler un changement dans l’équilibre des pouvoirs et des influences sur le continent africain, où la présence et l’influence russes semblent prendre une nouvelle ampleur.

Conscient des défis sécuritaires auxquels il fait face, le Niger ouvre un nouveau chapitre de coopération militaire et forme une alliance stratégique avec la Russie, dans l’espoir que ce partenariat marque un pas de plus vers la paix et la stabilité dans la région.

Niger-USA : Négociations pour un retrait militaire ordonné

Dans une démarche qui marque un tournant dans les relations militaires entre les États-Unis et le Niger, les deux nations ont entamé des pourparlers pour orchestrer un retrait ordonné des forces armées américaines du territoire nigérien. Aujourd’hui, une réunion de haut niveau se tiendra, réunissant des officiels américains et des représentants du gouvernement du Niger pour discuter des détails de cette opération délicate.

En effet, la rencontre d’aujourd’hui inaugure une série de dialogues visant à garantir un désengagement structuré des troupes américaines, dans le respect de la souveraineté nigérienne et de la coopération bilatérale historique entre les deux pays. La délégation des États-Unis, menée par l’ambassadrice Kathleen Fitzgibbon et le major-général Kenneth Ekman, directeur de la stratégie au sein de l’AFRICOM, s’entretiendra avec les membres du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) à Niamey.

Par ailleurs, les discussions se concentreront sur les modalités pratiques d’un retrait sécurisé et méthodique des quelque 1 100 militaires américains présents sur le sol nigérien. L’objectif commun est de mener ce processus en collaboration étroite avec les autorités nigériennes, afin de minimiser l’impact sur la sécurité nationale et la stabilité régionale.

Ce retrait s’inscrit dans une volonté de réajustement des priorités stratégiques américaines tout en affirmant le respect des engagements pris envers le Niger. Les résultats de ces pourparlers pourraient redéfinir les contours de la présence militaire internationale en Afrique de l’Ouest.

Le Ministre de la santé du Niger en mission d’évaluation à Agadez

Depuis le 22 avril, le Ministre de la Santé Publique du Niger a entrepris une mission cruciale dans la région d’Agadez. Cette visite s’inscrit dans le cadre d’une évaluation approfondie du Plan de Développement Sanitaire et Social (PDSS) pour la période 2022-2026. Accompagné par les Partenaires Techniques et Financiers (PTFs) de la santé au Niger, coordonnés par l’Organisation Mondiale de la Santé au Niger (OMS Niger), le ministre s’est engagé dans cette démarche stratégique.

Depuis le 22 avril, le Ministre de la Santé Publique du Niger a entrepris une mission cruciale dans la région d’Agadez.L’objectif de cette mission est double. D’une part, elle vise à mesurer l’impact des actions déjà entreprises dans le cadre du PDSS. D’autre part, elle cherche à identifier les défis persistants qui entravent l’atteinte des objectifs fixés. Selon le ministre, cette évaluation est une opportunité pour “appréhender la proportion des réalisations et des défis du PDSS afin d’améliorer les réponses aux besoins sanitaires de la population de cette région”.

La région d’Agadez, connue pour ses défis uniques en matière de santé publique, bénéficiera grandement de cette initiative. Le ministre souligne l’importance de cette mission, qui permettra d’ajuster les stratégies et de renforcer les interventions pour une meilleure couverture sanitaire.

Cette démarche témoigne de l’engagement du gouvernement du Niger à prioriser la santé de ses citoyens et à optimiser l’utilisation des ressources pour un impact maximal. Les résultats de cette mission d’évaluation sont attendus avec impatience, car ils détermineront les actions futures et les ajustements nécessaires pour le bien-être des habitants d’Agadez et, par extension, de tout le Niger.

Modernisation et jeunesse au cœur du développement

Dans un élan visionnaire, le Burkina Faso a posé les jalons d’une transformation infrastructurelle majeure. Sous la houlette du président de la transition, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, une commande historique de 500 moteurs de chantier a été passée à la Chine. Cette démarche sans précédent pour un État africain symbolise un changement de cap stratégique pour le développement du pays.

L’objectif est clair : accélérer la construction de routes et d’infrastructures à travers le Burkina Faso pour remodeler le paysage national. Ce projet d’envergure vise à stimuler la croissance économique, à renforcer la connectivité interrégionale et à générer des opportunités d’emploi pour la jeunesse.

En effet, le gouvernement burkinabè s’est fixé un défi de taille : bitumer 50 000 kilomètres de routes d’ici la fin de l’année 2029. Cette initiative cruciale désenclavera les zones rurales, facilitera le transport des biens et des personnes, et dynamisera le secteur agricole ainsi que le commerce.

Pour soutenir ce programme ambitieux, l’État prévoit le recrutement imminent de 1500 jeunes, qui seront formés à la conduite d’engins lourds. Cette mesure permettra de bâtir une main-d’œuvre locale qualifiée, prête à relever les défis des projets de construction et à insuffler une nouvelle énergie dans le marché de l’emploi.

En somme, le Burkina Faso se dresse à l’aube d’une révolution infrastructurelle, portée par une jeunesse prometteuse et une volonté politique de propulser le pays vers un avenir prospère.

Vers une couverture sanitaire universelle en Afrique

Ce mercredi 24 avril 2024, un événement d’une importance capitale pour l’avenir de la santé en Afrique a débuté. La réunion régionale sur le financement de la santé, qui se tient pour la première fois, rassemble des esprits éclairés et des leaders déterminés à forger des solutions durables pour les défis sanitaires du continent.

Un pont vers des solutions partagées pour la couverture sanitaire

En effet, l’objectif de cette réunion est clair : construire des ponts entre les nations et partager des solutions qui ont fait leurs preuves. Les pôles régionaux de Health Financing (RHFH), pierres angulaires de la stratégie de l’Union Africaine (UA) en matière de financement de la santé, incarnent l’engagement vers une coopération renforcée. Ces pôles sont le moteur d’une initiative ambitieuse visant à stimuler les investissements nationaux dans la santé, essentiels pour atteindre la couverture sanitaire universelle.

Une étape cruciale pour l’équité en santé

La réunion de ce jour marque une étape cruciale dans la quête d’une équité en santé à travers l’Afrique. Les dirigeants présents sont unis par une vision commune : celle d’un continent où chaque individu, indépendamment de sa situation économique, a accès à des soins de santé de qualité. C’est une vision audacieuse, mais réalisable grâce à la collaboration et à l’innovation.

Extension des programmes pilotes : un modèle de réussite pour la couverture sanitaire

Un des points forts de la réunion sera l’examen de l’extension des programmes pilotes qui ont connu un succès retentissant au sein de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC). Ces programmes sont la preuve vivante que des solutions adaptées aux réalités africaines peuvent transformer le paysage sanitaire du continent.

En somme, la réunion régionale sur le financement de la santé est plus qu’une simple conférence ; c’est un catalyseur de changement. Avec des leaders engagés et des solutions innovantes, l’Afrique est sur la bonne voie pour réaliser la vision d’une couverture sanitaire universelle. C’est un moment charnière, un appel à l’action pour tous les acteurs concernés, afin de garantir un avenir plus sain pour tous les Africains.

Terreur à Séguénéga : Un assaut brutal et un bilan douloureux

Le 23 avril 2024, la tranquillité de la ville de Séguénéga, située dans le nord, a été brutalement perturbée. Plusieurs dizaines de terroristes affiliés à Ansarul Islam (JNIM) ont lancé une attaque dévastatrice sur la ville. Après avoir tiré des coups de feu pour disperser la population, les terroristes ont pénétré dans la ville, s’en prenant aux habitants restés sur place.

Le bilan de cette attaque est terrible. Plus de 30 villageois ont perdu la vie, non pas par des balles, mais par des armes blanches – des couteaux et des machettes. Une violence inouïe qui a laissé la ville et ses habitants dans un état de choc et de deuil.

Le lendemain, les villageois ayant réussi à fuir ont demandé l’aide des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) pour récupérer les corps de leurs proches. Cependant, Les FDS ont refusé leur demande. Lors des échauffourées qui ont éclaté ensuite, les soldats ont tué deux autres villageois, aggravant la tragédie.

Malgré la peur et le deuil, ce sont les jeunes de Séguénéga qui ont fait preuve d’un courage remarquable. Armés de simples bâtons et à bord de leurs motos, ils sont allés libérer les habitants restants et récupérer les corps des défunts. Un acte de bravoure qui témoigne de la résilience de la communauté face à l’adversité.

Cette attaque soulève de nombreuses questions sur la sécurité dans la région et la capacité des forces de l’ordre à protéger les civils. Alors que la ville pleure ses morts, la quête de justice pour les victimes et la recherche de solutions pour prévenir de telles attaques à l’avenir restent plus pertinentes que jamais.

CEDEAO: Impulsion pour la sécurité féminine

Dans l’enceinte solennelle de la capitale nigériane, un événement d’une portée historique s’est déroulé : la première réunion annuelle de la Direction de la coordination régionale pour la promotion des femmes dans la paix et la sécurité en Afrique occidentale. Cette assemblée, sous l’égide de la Commission de la CEDEAO, a été inaugurée avec une vision renouvelée et un engagement ferme envers l’émancipation féminine.

La première réunion, sous l’égide de la CEDEAO, a été inaugurée avec une vision et un engagement envers l’émancipation féminine.Une initiative pionnière pour l’empowerment

Sous le thème ambitieux de “Soutenir l’impulsion pour la surveillance et l’élaboration de relations sur l’agenda des femmes, de la paix et de la sécurité en Afrique occidentale”, cette réunion a en effet  marqué un tournant décisif. Le Nigéria, par la présence de l’éminente Barr. Uju Kennedy-Ohanenye, a réaffirmé son rôle de leader dans la concrétisation de cet agenda crucial.

Par ailleurs , le ministère a proclamé avec assurance : “Grâce à des plans d’action nationaux robustes et des résolutions de sécurité locales, le Nigéria est à la pointe des efforts pour assurer un rôle non seulement participatif mais également dirigeant aux femmes dans le domaine de la paix et de la sécurité.”

Un plaidoyer pour la cohérence et l’inclusion

La commissaire de la CEDEAO pour le développement humain et social, Professeur Fatou Sow Sarr, a souligné l’importance cruciale de la cohérence entre action et plaidoyer pour l’inclusion de toutes les couches de la société dans les processus de paix à travers le continent.

En outre , les représentantes de l’Allemagne et de l’Union européenne ont exprimé avec force leur engagement . Susanne Schroeder et Sra. Eno Moma, qui ont toutes deux également  mis en lumière l’importance de la collaboration internationale pour renforcer la participation des femmes à la paix et à la sécurité en Afrique occidentale.

Vers une coopération régionale renforcée pour la sécurité féminine

La réunion a mis l’accent sur l’utilisation du Quadro Continental de Résultats pour assurer un suivi et une évaluation efficaces. Les participants ont axé les discussions sur le renforcement de la coopération régionale, ont identifié les meilleures pratiques et ont amélioré les stratégies d’action pour impliquer les femmes dans les initiatives de paix et de sécurité.

En somme, cette réunion a été un symbole d’espoir et de progrès, annonçant une ère nouvelle où la femme africaine occidentale est non seulement spectatrice mais actrice de la paix et de la sécurité de sa région.

Vol de carburant : Arrestation du chef de la centrale EDM S.A

Ménaka, Mali – Dans un contexte de crise énergétique sans précédent, la ville de Ménaka est secouée par un scandale de corruption et de vol de carburant impliquant des responsables de la centrale électrique EDM S.A. La police a arrêté le chef de la centrale et plusieurs de ses collaborateurs, suite à une opération qui a révélé un système de détournement de carburants. Ces carburants devaient fournir de l’électricité à la ville.

Le détournement de carburant : Une opération bien huilée

Les enquêteurs ont révélé que les auteurs du stratagème avaient une méthodologie parfaite due à des années d’expérience dans le domaine  : ils siphonnaient systématiquement les carburants livrés par citernes dans des barils et des bidons, puis les écoulait sur le marché noir. Exploitant ainsi la vulnérabilité de la région, un réseau de recéleurs vendait ce carburant à des tarifs défiant toute concurrence, oscillant entre 500 et 600 FCFA le litre, bien en deçà du prix officiel.

En outre, cette affaire prend une dimension particulièrement alarmante au regard de la situation sécuritaire de Ménaka, connue pour être un bastion du terrorisme au Mali. L’acheminement du carburant, provenant du Niger et escorté par l’armée, représente un périple périlleux qui a déjà coûté la vie à de nombreux chauffeurs.

Les autorités ont réagi rapidement, transférant le chef de la centrale, le responsable du dépôt, l’agent de dépotage et les receleurs à Gao pour un jugement. La population locale, appuyée par les autorités régionales, réclame des mesures punitives sévères contre ces acteurs qui ont non seulement profité indûment de la crise pour s’enrichir mais ont également compromis la sécurité énergétique et globale de la région.

Cette affaire pose d’importantes questions quant à l’intégrité des systèmes de distribution d’énergie et souligne l’urgence de renforcer la surveillance pour éviter de tels abus, surtout dans des zones déjà déstabilisées par des menaces extérieures. Les citoyens de Ménaka attendent le verdict avec impatience et ils espèrent que la justice se fera. Ils aspirent à ce que de tels actes ne se reproduisent plus.

Capitaine TRAORE mobilise les FDS à Cascades

Dans la région des Cascades, le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président de la Transition et Chef de l’État, a récemment galvanisé les Forces de défense et de sécurité (FDS) avec un discours empreint de détermination. Lors de sa visite, il a tenu à rencontrer personnellement les troupes en première ligne de la lutte contre le terrorisme.

Une reconnaissance méritée et un appel à la vigilance

Le Capitaine TRAORE a exprimé sa reconnaissance envers les forces combattantes pour leurs succès notables dans cette zone frontalière stratégique. Il a également souligné l’importance de leur mission et les a encouragées à maintenir leur élan dans le combat pour une “libération totale” du pays, qu’il qualifie de “guerre de décolonisation”.

Selon lui, le Burkina Faso ne se bat pas uniquement contre le terrorisme, mais aussi pour sa souveraineté et son intégrité territoriale. “Préparez-vous à la guerre de haute intensité”, a-t-il exhorté, adressant un avertissement clair aux ennemis du pays et à leurs alliés.

Des mesures opérationnelles renforcées

Pour faire face à ces menaces, le Capitaine TRAORE annonce que les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ont pris des mesures pour renforcer leurs capacités opérationnelles, logistiques, humaines et techniques. Par ailleurs, il a déclaré avec assurance : « Nous vaincrons ce terrorisme », rassurant la nation quant à la capacité de ses forces à relever les défis actuels.

En outre , les préoccupations relatives aux techniques de combat et aux conditions de travail des forces combattantes ne sont pas négligées. Des analyses sont en cours pour apporter des réponses significatives et adaptées, dans l’optique d’une victoire imminente.

Capitaine TRAORE: Un lien Armée-Nation indéfectible

Le Chef de l’État a aussi salué la solidité du lien entre l’Armée et la Nation, invitant les FDS à le renforcer davantage. Il a pareillement  mis en avant la collaboration avec les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), essentielle à la défense du territoire national.

En conclusion, le Capitaine Ibrahim TRAORE se positionne comme un leader engagé et conscient des enjeux sécuritaires majeurs auxquels son pays fait face. Sa visite dans la région des Cascades et son discours aux FDS témoignent de sa volonté de mobiliser toutes les ressources nécessaires pour assurer la paix et la sécurité du Burkina Faso.

Attaque terroriste à Diffa : projet agricole crucial compromis

Diffa, le 23 avril – Une attaque d’une violence inouïe a secoué la région de Diffa ce matin à 9 heures, lorsque des militants présumés de Boko Haram ont pris d’assaut le site de l’ONAHA de Lada. Cette  attaque éclair a gravement blessé quatre membres des Forces de Défense et de Sécurité (FDS), qui reçoivent actuellement des soins intensifs. De plus, les assaillants ont dérobé deux véhicules lors de cette attaque.

Le site visé est d’une importance capitale pour la nation, car il abrite des projets cruciaux d’aménagement agricole financés par le programme de grande irrigation du Fonds de Solidarité et de Soutien aux Populations (FSSP). Ces initiatives sont essentielles pour garantir la sécurité alimentaire et la souveraineté du pays.

Le 30 mars dernier, le colonel Mahaman Elhadj Ousmane, ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, avait inauguré un ambitieux processus de réhabilitation sur ce même site. Malheureusement, les travaux ont dû être suspendus suite à cette tragédie.

L’attaque s’est produite près des frontières avec le Tchad, le Nigeria et le Cameroun, dans la région du lac Tchad, une zone qui est depuis longtemps le théâtre d’une intense activité terroriste, en particulier du côté nigérian.

Cette nouvelle agression soulève des questions alarmantes sur la sécurité dans la région et met en lumière la vulnérabilité des projets vitaux pour le développement et le bien-être des populations locales. Les autorités sont actuellement en alerte maximale, et une enquête est en cours pour retrouver les auteurs de cet acte barbare et récupérer les biens volés.

La communauté internationale observe de loin la région dans ces moments difficiles, car elle a les mains liées par la transition. Les habitants de Diffa et des environs affrontent l’adversité avec courage et détermination.