avril 2024 - Page 9 sur 11 - Journal du niger

Haïti : Vers une stabilisation politique 

Port-au-Prince, Haïti – Après des semaines de négociations intensives et deux mois de troubles exacerbés par la violence des gangs, un rayon d’espoir semble enfin percer le ciel politique haïtien. Les dirigeants politiques du pays ont annoncé un accord historique visant à former un conseil de transition présidentiel, dans l’espoir de mettre un terme à l’instabilité qui ravage la nation.

En effet, Ce nouveau conseil, composé de neuf membres, dont sept votants et deux observateurs, représente un éventail de la société haïtienne, incluant des figures des principaux partis politiques, du secteur privé et de la société civile. Par ailleurs, les haïtiens  perçoivent cette initiative comme un pas décisif vers la réconciliation et la gouvernance démocratique. Elle symbolise un engagement actif en faveur de l’unité et marque une étape importante dans le processus de consolidation de la démocratie.

En outre , le conseil détient un mandat de 22 mois qui se terminera le 7 février 2026. Sa mission principale est de succéder au Premier ministre Ariel Henry, qui a démissionné le 11 mars après avoir vu sa légitimité sérieusement remise en question.

Les yeux du monde sont désormais tournés vers Haïti, dans l’attente de voir si cet accord pourra effectivement apporter la paix et la stabilité tant attendues. Les citoyens haïtiens, épuisés par les conflits et l’incertitude, espèrent que cette transition marquera le début d’une ère nouvelle et plus prometteuse pour leur pays.

 

Lamine Zeine a participé à la réunion inaugurale de la BAD

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Premier Ministre, Ministre de l’Économie et des Finances, M. Mahaman Lamine Zeine, a marqué de sa présence la première réunion du comité Directeur de la Banque Africaine de Développement (BAD) ce lundi 8 avril 2024. La rencontre, qui s’est déroulée via visioconférence, a été l’occasion de jeter les bases de l’élection imminente du nouveau Président de la BAD.

Par ailleurs, l’ordre du jour de cette réunion historique comprenait plusieurs points cruciaux, notamment la fixation de la date de l’élection prévue pour mai 2025, l’annonce de l’ouverture des candidatures le 1er juillet 2024, ainsi que la mise à jour du système de vote électronique, un héritage technologique déjà mis en œuvre avec succès lors de l’élection présidentielle de 2020.

La Banque africaine de développement, pilier du progrès économique et social sur le continent africain, continue de se distinguer par son engagement indéfectible en faveur du développement des États membres. En outre,  Fondée en 1964 et ayant son siège à Abidjan, la BAD se positionne comme une institution de financement de développement multinationale, essentielle à la réalisation des aspirations africaines.

En somme, cette réunion du comité Directeur s’inscrit dans une continuité stratégique, préparant le terrain pour une transition de leadership fluide et transparente au sein de la BAD, tout en soulignant l’importance de l’innovation et de la modernisation dans les processus électoraux internes de l’institution.

Accord pour la mobilisation des ressources en Centrafrique

Bangui, le 8 avril 2024 – Dans un mouvement stratégique pour renforcer l’économie nationale, le Ministère des Finances de la République Centrafricaine et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) ont signé un accord révolutionnaire ce lundi.  Stimuler la mobilisation des ressources nationales, à travers un processus de numérisation approfondi constitue l’objectif principal de cet accord .

Signature d'un accord entre le Ministère des Finances de la République Centrafricaine et le PNUD, visant à mobiliser des ressources nationales

Cet accord marque un tournant pour le gouvernement centrafricain, qui prévoit de mobiliser une somme substantielle estimée entre 40 et 50 milliards de francs CFA (XAF). La numérisation de la gestion foncière et d’autres fonctions clés est au cœur de cette initiative. Ce soutien catalytique du PNUD est  un levier essentiel pour l’atteinte de cet objectif ambitieux.

La numérisation promet de simplifier les procédures administratives, de réduire la corruption et d’augmenter l’efficacité des services publics. En outre, elle devrait améliorer la transparence et la responsabilité dans la gestion des ressources nationales. Ce partenariat entre le Ministère des Finances et le PNUD est un pas en avant vers une gestion économique plus moderne et plus juste, qui bénéficiera à tous les citoyens de la République Centrafricaine.

Un nouveau chapitre de développement s’ouvre dans l’État du  Niger

Dans une démarche audacieuse vers la prospérité, le gouvernement de l’État du Niger a franchi un pas décisif en signant un protocole d’accord avec la Banque d’Investissement et de Développement de la CEDEAO. Ce pacte financier, d’une envergure de 114 millions de dollars, est destiné à catalyser quatre projets d’envergure qui promettent de transformer le visage socio-économique de la région.

Le Forum d’investissement de la CEDEAO: Un terreau fertile pour les projets d’avenir

C’est lors du prestigieux Forum d’Investissement de la CEDEAO, tenu dans la capitale togolaise Lomé, que la CEDEAO et l’État du Niger ont scellé cet accord. Cette rencontre de haut niveau, qui s’est déroulée les 4 et 5 avril 2024, a été le théâtre de cette alliance stratégique, ouvrant ainsi la voie à un avenir radieux pour le Niger.

Les projets concernés par cet investissement colossal sont d’une importance capitale pour l’essor de l’État:

  1. La Route de la Renaissance: La construction de la route à deux voies Madalla-Suleja -Maje, un investissement de 30 millions de dollars, promet de révolutionner le réseau de transport.
  2. Le Marché de l’Innovation: Avec 11 millions de dollars alloués, le marché économique vert de Madalla sera un modèle de développement durable.
  3. Le Temple du Savoir: L’ancien Secrétariat se métamorphosera en une École de Sciences médicales et de la santé grâce à un financement de 40 millions de dollars.
  4. Les Caravanes de la Connaissance: La construction de 8 caravanes internationales, pour un montant de 43 millions de dollars, s’annonce comme un vecteur de culture et d’échange.

Un accord de développement de 114 millions de dollars signé par l'État du  Niger et la BIDC, promettant une transformation socio-économiqueDes acteurs engagés pour le développement de l’ l’État du Niger

En outre, la délégation du Niger, menée par le commissaire aux finances, Lawal Adamu Maikano, et Sammy Adigun, président de Niger Foods, a fait preuve d’une vision stratégique. Face à eux, les éminents représentants de la Banque, Dr Olagunju M. Olalekan ASHIMOLOWO, George Agyekum DONKOR, et Dr Mory SOUMAHORO, ont scellé cet engagement mutuel.

Cette initiative s’inscrit dans une vision globale de transformation de l’État du Niger, visant à stimuler l’investissement, accélérer le développement des infrastructures, et générer des emplois. Elle reflète la quête d’un ‘Nouveau Niger’ envisagé par Son Excellence, le gouverneur Umaru Bago, et marque une étape cruciale vers la réalisation de cette ambition.

La BIDC: Un pilier de l’intégration Ouest-Africaine

La BIDC, pilier de la coopération régionale, continue de jouer un rôle clé dans l’intégration et le développement économique de l’Afrique de l’Ouest, renforçant ainsi les liens entre ses quinze États membres.

En résumé, cet accord historique est un témoignage de la détermination de l’Etat du Niger à forger son propre destin économique et à s’élever en tant que leader régional dans le concert des nations africaines.

Tensions Niger-Algérie : La diplomatie à l’épreuve des migrants

Dans le concert des nations, la discorde s’est invitée entre le Niger et l’Algérie, deux pays voisins dont les relations se trouvent aujourd’hui ébranlées par une controverse diplomatique de grande ampleur. Au cœur de cette tourmente, la gestion des migrants clandestins, sujet brûlant qui a conduit à la convocation des ambassadeurs respectifs des deux États.

Le gouvernement du Niger, avec une fermeté teintée d’indignation, dénonce les méthodes employées par les forces de l’ordre algériennes, qualifiées de “violentes”, lors du rapatriement de ses ressortissants. L’ambassadeur d’Algérie à Niamey, convoqué, a reçu les protestations véhémentes du Niger, qui réclame avec insistance le respect de la dignité et de l’intégrité physique de ses citoyens.

L’Algérie, prompte à réagir, réfute ces allégations avec vigueur, les jugeant “dépourvues de tout fondement”. Dans un geste miroir, l’ambassadeur du Niger à Alger est également convoqué, signe d’une volonté de dialogue mais aussi d’une tension palpable entre les deux nations.

L’Algérie entretient des relations tendues avec ses voisins du Sahel, notamment le Mali et le Niger, une situation qui rappelle cette escalade diplomatique. L’Algérie, se percevant comme un “acteur central” dans la région, fait face à des accusations récurrentes d’ingérence et de manquements à ses engagements internationaux.

La récente crise avec le Niger, suivie de près par une autre avec le Mali, soulève des interrogations légitimes sur le rôle de l’Algérie dans le Sahel. Comment ce pays, qui aspire à être un pilier de stabilité, peut-il naviguer entre les écueils de la diplomatie régionale tout en préservant les principes du bon voisinage ?

Éveil démocratique au parlement de la CEDEAO

Dans l’enceinte vénérable d’Abuja, capitale fédérale du Nigéria, s’est tenue une cérémonie d’une importance capitale pour l’avenir de l’Afrique de l’Ouest. Le jeudi 4 avril 2024, la sixième législature du parlement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a été solennellement installée, marquant une nouvelle ère de gouvernance régionale.

Une vision démocratique renouvelée du parlement 

Sous l’égide de Son Excellence Bola Ahmed Tinubu, Président de la République Fédérale du Nigéria et président en exercice de la CEDEAO, les élus ont prêté serment, s’engageant à servir avec dévouement les intérêts supérieurs des peuples de cette sous-région dynamique. En effet, cette première séance a non seulement symbolisé le commencement des travaux législatifs mais a également reflété l’engagement renouvelé envers les idéaux démocratiques.

la sixième législature du parlement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a été solennellement installée,L’Élection directe des députés: Un gage de démocratie

Par ailleurs, le président Tinubu, dans son allocution, a mis en lumière le défi relevé par la législature précédente – l’élection au suffrage universel direct des députés. « L’élection directe des parlementaires s’inscrit dans la continuité des principes démocratiques, valeurs que notre nation chérit et promeut », a-t-il affirmé, soulignant l’alignement de cette pratique avec le protocole de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance.

Le parlement au cœur de la stabilité régionale

Le Ministre des Affaires Étrangères, Yusuf Tuggar, a quant à lui, accentué sur le rôle crucial du Parlement dans la consolidation de la stabilité régionale. Il a exhorté les nouveaux membres à collaborer étroitement avec la Commission de la CEDEAO et les autres institutions, afin d’assurer une application efficace des politiques régionales.

L’honorable Sidie Mohamed Tunis, ancien président du Parlement, a rendu hommage aux succès de ses prédécesseurs, en particulier leur engagement indéfectible en faveur des droits humains, de la démocratie et de la transparence.

Le Togo à la Présidence: Une continuité dans le Changement

Enfin, il convient de noter que le Togo assume la présidence de cette nouvelle législature, conformément à un ordre alphabétique rotatif établi par l’Acte additionnel concernant le renforcement des prérogatives du Parlement. Cette tradition assure une représentation équitable et une opportunité pour chaque État membre de guider le destin commun de la région.

 

L’ONU appelle à cesser la vente d’armes à Israël

Genève, Suisse – Dans une décision sans précédent, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a adopté une résolution exhortant à un arrêt immédiat des ventes d’armes à Israël. Cette résolution, adoptée lors d’une session à Genève, marque la première fois que le Conseil prend position sur le conflit israélo-palestinien.

Une réaction mitigée a accueilli la résolution, avec certains membres du Conseil saluant la décision comme un pas nécessaire pour la protection des droits de l’homme, tandis que d’autres expriment leur inquiétude concernant l’impact potentiel sur la sécurité régionale.

En réponse, Israël a annoncé une mesure de bonne volonté, autorisant la livraison “temporaire” d’aide humanitaire dans la bande de Gaza. Cette aide transitera par le port d’Ashdod et le point de passage d’Erez, signalant une ouverture potentielle pour un apaisement des tensions.

Cette annonce fait suite à une mise en garde inhabituelle de la part des États-Unis, le principal allié d’Israël, soulignant la gravité de la situation et la nécessité d’une approche plus mesurée.

Le monde attend maintenant de voir comment cette résolution influencera les relations internationales et si elle mènera à un changement significatif dans la politique de vente d’armes à Israël.

Tisser l’avenir : Pathfinder International et l’émancipation des femmes

Ouagadougou, Burkina Faso – Dans le cadre de son engagement continu en faveur de l’autonomisation des femmes en Afrique, Lydia Saloucou, Présidente de Pathfinder International pour l’Afrique, a accueilli avec enthousiasme sa collègue, la Dr Tabinda Sarosh, Présidente pour l’Asie et le Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), pour une visite de trois jours à Ouagadougou, au Burkina Faso.

Pathfinder International renforce l'autonomie des femmes à Ouagadougou à travers l'art et le leadership communautaire.

Au cours de cette visite, les deux dirigeantes ont eu l’occasion de rencontrer et de s’inspirer du travail remarquable des femmes tisserandes de l’Association Zoodo. Ces artisanes, connues pour leur détermination et leur habileté, représentent un pilier central dans les efforts de Pathfinder International pour renforcer l’autonomie économique et sociale des femmes dans la région.

“Voir de mes propres yeux l’impact de notre travail sur la vie de ces femmes incroyables est une expérience profondément émouvante,” a déclaré Mme Saloucou. “Elles ne sont pas seulement des artisanes talentueuses, mais aussi des leaders communautaires qui montrent la voie vers un avenir plus équitable pour toutes les femmes.”

Pathfinder International renforce l'autonomie des femmes à Ouagadougou à travers l'art et le leadership communautaire.

La visite a également été l’occasion pour les présidents de discuter des stratégies futures et des initiatives visant à étendre l’influence de l’organisation dans la lutte pour les droits des femmes et leur autonomisation à travers l’Afrique et au-delà.

Pathfinder International est une organisation mondiale reconnue pour son travail acharné dans l’amélioration de la santé sexuelle et reproductive, ainsi que dans la promotion de l’égalité des sexes. Avec des projets comme celui de l’Association Zoodo, Pathfinder continue de prouver que l’investissement dans les compétences et l’entrepreneuriat des femmes est essentiel pour le développement durable des communautés à travers le monde.

 

Dialogue Niger-Allemagne : Vers une coopération renforcée

Niamey, 5 avril 2024 – Dans une démarche visant à consolider les relations historiques entre le Niger et la République Fédérale d’Allemagne, le Ministre d’État, Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire du Niger, le général Mohamed TOUMBA, a reçu hier l’ambassadeur allemand.

Rencontre stratégique Niger-Allemagne : un pas vers une collaboration sécuritaire et une politique renforcée.

Cette rencontre de haut niveau entre Dr. Olivier SCHNAKENBERG et le Ministre TOUMBA a permis d’aborder la situation sécuritaire et politique délicate du Niger. Les discussions ont également porté sur les stratégies pour renforcer la coopération bilatérale, notamment dans les domaines clés de la sécurité et de la décentralisation.

Par ailleurs, l’Allemagne, reconnue comme un partenaire stratégique du Niger, joue un rôle crucial dans la mise en œuvre de la politique nationale de décentralisation. Cette réunion souligne l’engagement continu des deux nations à travailler ensemble pour le développement et la stabilité de la région.

Les autorités  n’ont pas divulgué les détails spécifiques des initiatives à venir, mais ils reconnaissent que cette audience constitue une étape importante dans le partenariat entre le Niger et l’Allemagne.

Ils partagent l’objectif commun de promouvoir la paix et la prospérité. Cette collaboration s’inscrit dans une démarche de renforcement des liens bilatéraux et de soutien mutuel pour le développement durable et la stabilité régionale.

Niger : Réforme et transparence au cœur du secteur des ONG

Dans un élan de gouvernance renouvelée, le Général de brigade Mahamadou Ibrahim Bagadoma, Gouverneur de la région de Diffa, a affirmé la détermination des autorités nigériennes à instaurer une ère de transparence dans le secteur des Associations de Développement (AD) et des Organisations Non Gouvernementales (ONG). Lors de l’ouverture de la Réunion de partage, les participants ont clairement exprimé leur volonté concernant les dispositions et mesures réglementaires du Protocole d’Accord Type (PAT) 2022-226.

Le rôle pivot des ONG dans le développement national

En effet, le Général Bagadoma a reconnu l’importance des ONG de Développement et des Humanitaires comme partenaires stratégiques de l’État. Leur contribution est jugée déterminante dans la mise en œuvre des plans de développement harmonieux et équilibré du pays.

Malgré les avancées, le Général a pointé du doigt le faible respect des textes régissant le fonctionnement des ONG. Il a révélé des chiffres qui incitent à la réflexion : une minorité des ONG enregistrées ont effectivement soumis leurs rapports annuels d’activités, mettant en lumière un manque de conformité aux exigences réglementaires.

La transparence, pierre angulaire de la souveraineté

Par ailleurs, Le manque de transparence et de traçabilité des ressources est une préoccupation majeure pour le gouverneur. Ces lacunes entravent le contrôle des autorités sur les fonds et l’alignement des actions des ONG avec les priorités nationales et locales, à un moment crucial où le Niger s’engage dans la reconquête de sa souveraineté nationale.

La réunion a rassemblé des personnalités de marque, dont le Secrétaire général de la région, M. Daouda Bardé, le préfet de Diffa Hama Mamoudou, et Madame Barmou Asmaou Kanta, Maire de la commune urbaine de Diffa. Leur présence souligne l’urgence et l’importance de l’initiative de réforme.

Vers une régulation accrue du secteur des ONG

En réponse aux défis identifiés, le Ministère de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire s’est engagé à assainir le secteur des ONG. Le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, ainsi qu’Ali Mahamane Lamine Zeine, soutiennent cette démarche. Leur appui reflète l’engagement des plus hautes autorités à promouvoir une gouvernance à la fois transparente et efficace.

En conclusion, le Niger se positionne à l’avant-garde d’une réforme significative, visant à renforcer la transparence et la régulation des ONG. Cette initiative est cruciale pour la réalisation des objectifs de développement durable et pour l’affirmation de la souveraineté nationale dans un contexte de collaboration étroite entre l’État et les acteurs non gouvernementaux.