mai 2024 - Page 9 sur 10 - Journal du niger

GaFa: Un nouveau souffle pour l’hydratation de l’Afrique

Jigjiga, Éthiopie, 7 mai 2024 – Dans un élan de solidarité et d’innovation, le Mécanisme d’accès aux eaux souterraines en Afrique (GaFa) a été inauguré aujourd’hui à Jigjiga, marquant une étape décisive dans la lutte contre la crise hydrique qui sévit dans la Corne de l’Afrique.

Une Région Assoiffée en Quête de Solutions

La Corne de l’Afrique, souvent confrontée à une aridité extrême, souffre d’un manque criant d’eau. Les causes sont multiples : des ressources en eau de surface limitées, une dépendance excessive à des précipitations erratiques, une explosion démographique et des variations climatiques de plus en plus marquées. Cette crise dépasse le cadre environnemental et affecte la santé, l’économie et la sécurité de la région.

Face à des catastrophes naturelles telles que sécheresses et inondations, plus de 40 millions d’individus dépendent actuellement de l’aide humanitaire. Les convois d’eau, bien que vitaux, représentent une solution temporaire et onéreuse, laissant les communautés dans une précarité constante.

GaFa : Vers une Gestion Durable des Ressources Aquifères

Le GaFa se propose d’exploiter les vastes réserves d’eaux souterraines encore inutilisées, offrant ainsi une alternative pérenne au transport d’eau. Cette initiative souligne l’importance vitale de l’eau pour les habitants de la région.

En créant une plateforme collaborative, le GaFa permet aux pays membres de l’IGAD de mutualiser leurs efforts dans la cartographie et la gestion des eaux souterraines, favorisant ainsi le développement des zones frontalières.

Présenté lors de la Conférence des Nations Unies sur l’eau de 2023, le GaFa s’inscrit dans la poursuite des objectifs de développement durable. L’initiative bénéficie du soutien de partenaires de renom tels que la Banque mondiale et l’UNICEF, témoignant de son importance stratégique.

GaFa inaugure une ère de gestion durable des eaux souterraines pour transformer la crise hydrique de la Corne de l'AfriqueDes Infrastructures pour Renforcer la Résilience

Les régions frontalières, peuplées de plus de 40 millions d’âmes, souffrent d’un manque d’infrastructures. Le GaFa vise à pallier ce déficit, renforçant ainsi la capacité des communautés à faire face aux crises socio-économiques et climatiques.

Avec le lancement officiel du GaFa, une nouvelle ère s’annonce pour les populations de la Corne de l’Afrique. L’initiative promet de consolider les connaissances sur les eaux souterraines et de stimuler le développement à travers des partenariats public-privé, ouvrant la voie à une prospérité durable et à une paix régionale.

En somme, le GaFa incarne l’espoir d’un avenir où l’eau, source de vie, ne sera plus un luxe mais un droit accessible à tous, garantissant la résilience et la prospérité des communautés les plus vulnérables de la Corne de l’Afrique.

Afrique: Épicentre de la révolution industrielle future

La révolution industrielle mondiale se dessine autour des minéraux critiques et des terres rares, et l’Afrique se positionne comme un acteur clé de cette transformation. Lors du récent AIM Congrès 2024, Claver Gatete, Secrétaire exécutif, a souligné l’importance de la valeur ajoutée locale pour stimuler l’emploi, les compétences et les capacités sur le continent.

Valorisation des chaînes de valeur régionales et développement des infrastructures

Dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, l’AfCFTA (Zone de libre-échange continentale africaine) est un projet ambitieux visant à renforcer l’intégration économique. Gatete a mis en avant les efforts de la Commission Économique pour l’Afrique (ECA) pour exploiter les chaînes de valeur régionales, libérant ainsi des opportunités significatives dans le développement des infrastructures. La mise en œuvre réussie de l’AfCFTA pourrait augmenter le commerce intra-africain de 34 % d’ici 2045, comparativement à un scénario sans accord.

Renforcement des marchés de capitaux pour attirer les investissements

Les marchés des capitaux jouent un rôle crucial dans l’attraction des investissements directs étrangers (IDE) vers les secteurs non-entrepreneuriaux. Gatete a insisté sur la nécessité de consolider les marchés de capitaux africains pour assurer des flux d’IDE plus stables vers l’Afrique. L’amélioration des bourses africaines est déjà en cours, ce qui témoigne de la détermination du continent à attirer davantage d’investissements et à soutenir son développement économique.

En somme, l’Afrique se prépare à être un moteur de la prochaine révolution industrielle, en mettant l’accent sur l’exploitation de ses ressources naturelles et le renforcement de ses infrastructures économiques et financières.

L’Éloge de la démocratie tchadienne en marche

Dans les dernières étapes d’une transition historique, le Tchad se distingue par l’engagement civique exemplaire de sa population. Alors que l’échéance électorale approche,  le président de la transition Mahamat Idriss Déby Itno a rendu un hommage  à la nation tchadienne pour sa participation massive et paisible au scrutin présidentiel. Cette quiétude témoigne de la maturité démocratique d’un peuple souverain, désireux de tracer son propre destin.

Gratitude envers les artisans de la paix pour le bon déroulement du processus électoral 

La reconnaissance est de mise envers l’ensemble des acteurs ayant contribué à l’organisation irréprochable de ce moment décisif. Les membres de l’ANGE, observateurs dévoués, délégués consciencieux, organisations de la société civile, bénévoles altruistes, journalistes vigilants et candidats engagés saluent tous leur rôle dans cette réussite collective.

par ailleurs le président de la transition  a également adressé une mention spéciale aux Forces de Défense et de Sécurité, véritables piliers de l’ordre et de la sécurité nationale. Leur vigilance constante a permis d’assurer la tranquillité du processus électoral, protégeant avec efficacité la population, les frontières du pays, ainsi que la sécurité des réunions et des votants.

L’aspiration est forte pour que cet esprit de concorde et de responsabilité civique perdure jusqu’à l’aboutissement du processus électoral. Il reste à espérer  que cette étape marquera un tournant significatif dans l’ancrage des valeurs démocratiques au sein de la République du Tchad, ouvrant la voie à un avenir prometteur pour la nation.

Diplomatie et Panafricanisme : La tournée de Sonko

 Dans un élan de diplomatie proactive, le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé une ambitieuse tournée diplomatique au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES) ainsi qu’en Guinée. Cette initiative s’inscrit dans une démarche de renforcement des liens politiques et de promotion des idéaux panafricanistes et souverainistes portés par son parti, le Pastef.

Un itinéraire chargé d’enjeux pour le premier ministre Sonko

La tournée débutera par des visites stratégiques en Guinée, au Mali, au Niger et au Burkina Faso. Ces pays, acteurs clés de l’Afrique de l’Ouest, jouent un rôle prépondérant dans les dynamiques politiques régionales. L’objectif de ces rencontres est de tisser des partenariats politiques durables, susceptibles d’influencer positivement les relations entre les nations de la région.

Le Pastef accueillera également à Dakar une délégation des INSOUMIS français, menée par Jean-Luc Mélenchon, du 14 au 18 mai 2024. Cette réception illustre la volonté du parti de consolider ses alliances politiques au-delà des frontières africaines.

Le président Bassirou Diomaye Faye, figure de proue du Pastef, continue de défendre une vision panafricaniste et souverainiste, notamment sur des thématiques cruciales telles que les partenariats internationaux et la politique monétaire. Cette tournée reflète donc l’engagement du Pastef en faveur d’une coopération politique renforcée entre les pays africains et met en évidence l’importance qu’il accorde aux valeurs panafricanistes et souverainistes.

En somme, cette tournée internationale de Ousmane Sonko est un témoignage vivant de l’aspiration à une solidarité africaine plus marquée et à une intégration politique accrue au sein de l’Afrique de l’Ouest. Elle marque une étape significative dans la quête d’une autonomie régionale et d’une influence continentale affirmée.

Attaque Terroristes au Mali : Un Bilan lourd pour les FAMAs

Le 3 mai dernier, une attaque d’une ampleur sans précédent a secoué le Mali. Des terroristes affiliés au groupe JNIM ont lancé une offensive contre la caserne militaire de Diafarabé, située dans le cercle de Tenenkou, dans la région de Mopti.

Les Forces Armées Maliennes (FAMAs) ont subi de lourdes pertes lors de cette attaque. D’après les rapports officiels, 19 de leurs soldats ont été tués et 17 autres sont actuellement portés disparus. Cette attaque a non seulement coûté des vies humaines, mais a également entraîné la perte d’une quantité importante de matériel militaire.

Un bilan lourd pour les Forces Armées Maliennes suite à l'attaque des terroristes à Diafarabé, avec 19 soldats tués, 17 disparusLes terroristes ont réussi à emporter avec eux au moins 8 véhicules, dont un blindé, ainsi que de nombreuses armes et plusieurs centaines de caisses de munitions. Les FAMAs ont neutralisé les terroristes et emporté leurs corps ainsi que le matériel volé lors de la riposte.

Malgré la gravité de l’attaque, les FAMAs ont réussi à riposter et à neutraliser plusieurs terroristes. Cependant, la perte en vies humaines et en matériel souligne la nécessité d’une action plus déterminée contre le terrorisme dans la région.

Cette attaque met en lumière la menace persistante que représente le terrorisme pour la stabilité du Mali et de la région du Sahel dans son ensemble. Elle souligne l’importance de la solidarité internationale et de la coopération pour lutter contre cette menace.

La situation reste tendue et les efforts se poursuivent pour retrouver les soldats portés disparus et récupérer le matériel volé. Nos pensées vont aux familles des soldats tombés et disparus, qui ont fait le sacrifice ultime pour la sécurité de leur pays.

Tchad : Vote décisif pour une présidence post-transition

N’Djamena, Tchad – Les citoyens tchadiens sont appelés à participer à un moment historique aujourd’hui, alors qu’ils se dirigent vers les urnes pour choisir leur futur président. Cette élection cruciale marque la fin d’une période de transition politique entamée suite au décès de l’ancien président Idriss Déby Itno, le 20 avril 2021.

La campagne électorale, qui s’est déroulée sur une période intense depuis le 14 avril, s’est achevée samedi dernier dans un climat de fervente anticipation. Dix prétendants se disputent la magistrature suprême, parmi lesquels figurent des personnalités politiques de premier plan telles que Mahamat Deby Itno, actuel Président de la transition, Succes Masra, Premier ministre et ancien opposant, ainsi qu’Albert Pahimi Padacké, ex-Premier ministre. À noter également la candidature de Lydie Beassemda, la seule femme à briguer la présidence, ajoutant une dimension supplémentaire à cette course électorale.

Les bureaux de vote, éparpillés à travers le territoire national, accueilleront les électeurs de 6h00 à 17h00 (heure locale). Plus de 8,2 millions de Tchadiens inscrits sur les listes électorales auront l’opportunité de façonner l’avenir de leur pays, qui se caractérise par une géographie majoritairement semi-désertique ou désertique.

Tant sur la scène nationale qu’internationale, on attend avec impatience l’issue de ce scrutin, car elle déterminera le cap que le Tchad prendra dans les années à venir. La communauté internationale observe également avec intérêt, espérant que cette élection contribuera à la stabilité et au développement de la région de l’Afrique centrale.

Les Tchadiens  attendent les résultats préliminaires dans les jours suivant la clôture des votes. Le peuple tchadien espère que le processus électoral se déroulera dans la paix et la transparence. Cela ouvrirait la voie à une ère de prospérité et de démocratie renouvelée.

Initiative agropastorale : un tournant pour l’autosuffisance au Faso

Ouagadougou, 6 mai 2024 – Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Burkina Faso a franchi un pas significatif dans le renforcement de sa production alimentaire. Le Capitaine Ibrahim Traoré, chef de l’État, a procédé à la remise officielle d’un ensemble conséquent d’intrants et d’équipements agropastoraux et halieutiques au ministre de l’agriculture, Ismaël Sombié.

Le Burkina Faso, sous l'impulsion du Capitaine Traoré, lance une vaste initiative agropastorale pour accroître l'autosuffisance alimentaire Une cérémonie sobre pour un projet ambitieux

La cérémonie, empreinte de sobriété, a mis en lumière l’importance capitale de cette initiative pour le développement agricole du pays. En effet, le coût total de l’opération s’élève à 78 milliards 297 millions 426 mille 435 francs CFA, une somme considérable financée intégralement par l’État burkinabè.

Par ailleurs, les chiffres sont éloquents et témoignent de l’ampleur du projet:

  • 72 729 tonnes d’engrais
  • 10 000 litres de produits phytosanitaires
  • 10 000 tonnes d’aliments concentrés pour l’élevage
  • 18 000 tonnes de semences végétales
  • 1 000 tonnes d’aliments pour poissons
  • 400 tracteurs, 710 motopompes, 714 motos pour les agents de terrain
  • 239 motoculteurs
  • 77 500 000 alevins

Enfin, la distribution de ces ressources se déroulera en deux phases distinctes, la première coïncidant avec la préparation de la campagne humide et la seconde durant la saison sèche. Cette stratégie vise à optimiser l’utilisation des équipements en fonction des cycles agricoles.

Des tracteurs pour les vrais producteurs dans l’initiative agropastorale 

Le ministre Ismaël Sombié a souligné que les tracteurs seront réservés uniquement aux producteurs authentiques, regroupés en coopératives. De cette manière, cette politique assure une gestion prudente des ressources et permet, donc, de prévoir les besoins selon les changements climatiques.

D’autre part, cette démarche du gouvernement s’aligne avec une stratégie à long terme, visant l’autosuffisance alimentaire. En consolidant la production agropastorale, le Burkina Faso vise à garantir une production agricole abondante et, de ce fait, appuyer les communautés rurales dans leur recherche d’un niveau de vie amélioré.

Le Capitaine Ibrahim Traoré et son gouvernement marquent ainsi leur engagement en faveur d’un développement durable et inclusif, essentiel pour l’avenir du Burkina Faso et le bien-être de ses citoyens.

“Wa’azin Kassa” : L’écho de l’unité au Niger

Niamey, le 4 mai 2024 – Dans la capitale nigérienne, un événement d’une portée spirituelle et patriotique sans précédent s’est déroulé sous la présidence de Son Excellence Monsieur Ali Mahaman Lamine Zeine, Premier Ministre et Ministre de l’Économie et des Finances. La cérémonie d’ouverture de la pêche nationale, mieux connue sous le nom de “Wa’azin Kassa”, a marqué les esprits par son ampleur et sa profondeur.

“Wa’azin Kassa” : Un rassemblement sous le signe de la fraternité

Organisé par le Rassemblement des Associations Islamiques pour le Développement et l’Appel (RAIDA), le “Wa’azin Kassa” a vu la participation d’éminents oulémas de la sous-région. En effet, ces derniers ont convergé vers Niamey pour une cause commune : rappeler l’importance de l’amour de la patrie et renforcer les liens de fraternité entre les peuples.

Par ailleurs, le “Wa’azin Kassa” s’est distingué comme un moment privilégié de partage et de réflexion. Ainsi, les savants musulmans ont transmis leur sagesse et leurs enseignements, exhortant les fidèles à œuvrer pour le bien commun et à contribuer au développement harmonieux de leurs nations.

L’engagement des autorités pour la paix et le dialogue

La présence du Premier Ministre Zeine a souligné l’engagement des autorités nigériennes envers les valeurs de paix, de tolérance et de dialogue interreligieux. Cet engagement est perçu comme un pilier pour la promotion d’une citoyenneté exemplaire et le service de la patrie.

Des membres éminents du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) ont également assisté à l’événement, démontrant l’importance de la dimension spirituelle et de la cohésion sociale pour la stabilité et le progrès du Niger.

Cette prêche nationale acquiert une signification particulière dans le contexte de refondation de l’État et de consolidation de la souveraineté du Niger. Elle représente une opportunité de mobiliser les consciences autour des valeurs de patriotisme et d’unité.

Le RAIDA, à travers cette initiative, mérite des éloges pour son rôle dans le renforcement du tissu social et la promotion d’une citoyenneté responsable, contribuant ainsi au bien-être de la nation nigérienne.

En conclusion, la cérémonie du “Wa’azin Kassa” s’est imposée comme un vecteur de paix et de développement, reflétant l’esprit de résilience et d’unité indispensable à la prospérité future du Niger.

Impulsion pour l’opérationnalisation de l’AES

 Dans le cadre prestigieux du sommet de l’Organisation de la Coopération Islamique à Banjul, une rencontre décisive a eu lieu le 3 mai 2024. Les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso, du Mali et du Niger se sont concertés pour insuffler une dynamique renouvelée au processus d’opérationnalisation de l’Alliance pour l’Espoir au Sahel (AES).

Concertation tripartite pour l’opérationnalisation

Cette assemblée de haut niveau avait pour objectif de réévaluer les initiatives entreprises individuellement par les pays membres et, par conséquent, de discuter des stratégies à adopter à court terme pour stimuler cette entreprise commune. En effet, l’accent a été mis sur la nécessité d’une persévérance inébranlable ainsi que la mise en œuvre d’actions concrètes pour atteindre les objectifs de l’AES.

D’autre part, Son Excellence Monsieur Bakary Yaou Sangaré, ministre nigérien des Affaires étrangères, a insisté sur l’importance de la continuité et de la détermination. De même, ses collègues, Messieurs Abdoulaye Diop et Karamoko Jean Marie Traoré, ont souligné l’urgence d’initiatives symboliques et unifiées afin de préserver l’élan initial de l’Alliance.

 Concertation entre les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso, du Mali et du Niger pour dynamiser l'opérationnalisation de l'AES Propositions stratégiques et solidarité régionale

Le ministre burkinabè a proposé l’élaboration rapide d’une directive pour harmoniser les positions des communes des pays de l’AES dans les forums internationaux. Les Ministres ont suggéré des rencontres tripartites et des réunions techniques pour traiter les problèmes quotidiens des citoyens. Les ministres présents ont chaleureusement accueilli ces idées.

Les discussions ont également reconnu l’importance cruciale de l’implication de la diaspora et de la solidarité interne, avec des projets fédérateurs et un cadre de coordination efficace pour les actions de l’AES.

Vers la confédération : Prochaines étapes

Les ministres ont exprimé leur détermination à finaliser les textes régissant le projet de Confédération, qui constituera le point central du prochain sommet de l’AES.

En conclusion, la République du Mali et celle du Burkina Faso ont adressé une note de gratitude à la République du Niger en reconnaissance de son soutien en hydrocarbures.

 Par ailleurs,  avec ces engagements renouvelés et une collaboration étroite, l’Alliance pour l’Espoir au Sahel se dirige vers un avenir où la solidarité et l’intégration régionale seront les piliers d’un développement durable et inclusif pour ses États membres.

L’avenir durable de l’Afrique au cœur d’une rencontre stratégique

Dans une réunion cruciale pour l’avenir du continent, Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), a récemment rencontré le personnel de l’organisation en Afrique de l’Est. Cette rencontre a été l’occasion de discussions approfondies sur des sujets d’importance capitale tels que l’avenir durable, les stratégies innovantes pour le développement régional, et l’importance cruciale de la collaboration pour réaliser la transformation tant attendue de l’Afrique.

Cette rencontre stratégique avec Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la CEA, met en lumière l'engagement de l'Afrique pour un avenir durableLe dialogue a mis en lumière l’engagement indéfectible de la CEA à promouvoir l’intégration de l’action climatique et des technologies de pointe dans les stratégies de développement. Cette initiative vise à renforcer la résilience et à assurer une prospérité partagée à travers le continent. Les participants ont souligné que la réussite de ces objectifs ambitieux nécessitera une coopération étroite entre les gouvernements, le secteur privé et les communautés locales.

La rencontre a également servi de plateforme pour explorer des moyens innovants par lesquels l’Afrique peut surmonter les défis actuels et futurs liés au climat et à l’économie. L’ importance de l’adoption de technologies avancées et de pratiques durables qui peuvent transformer les économies africaines et améliorer la qualité de vie des citoyens étaient au cœur des préoccupations .

En conclusion, Claver Gatete a réaffirmé l’engagement de la CEA à travailler sans relâche pour un avenir où l’Afrique serait à l’avant-garde du développement durable et de l’innovation technologique.

Des défis pavent la route vers ce futur prometteur, mais d’immenses opportunités existent également. Si nous les saisissons, elles pourraient marquer le début d’une ère nouvelle et prospère pour le continent africain.