septembre 2024 - Journal du niger

Un nouvel élan pour Dosso : Une initiative de paix et de sécurité

Dans une démarche participative, le Général de Brigade Iro Oumarou, Gouverneur de la région de Dosso, a présidé une réunion importante ce lundi 30 septembre 2024. La réunion a rassemblé un éventail d’autorités administratives et coutumières, des responsables des forces de défense et de sécurité, ainsi que des représentants influents des associations de jeunes et de femmes, des leaders religieux et des professionnels de divers secteurs.

Échange sur la sécurité : une initiative pour un développement durable

L’objectif principal de cette assemblée était de discuter de la situation sécuritaire actuelle de la région et de développer un plan d’action pour la sensibilisation et la mobilisation des citoyens en faveur de la paix durable, de la tranquillité et de la cohésion sociale. Ces derniers sont considérés comme essentiels pour le progrès socio-économique non seulement de la région de Dosso mais aussi du pays tout entier et de l’espace économique de l’AES.

Le Général de Brigade Iro Oumarou convoque une réunion stratégique pour renforcer la sécurité et promouvoir la paix dans la Région de Dosso,Le Gouverneur Oumarou a souligné l’importance de cette rencontre en tant que forum pour aborder des problématiques contemporaines, notamment la prévention des conflits entre agriculteurs et éleveurs, qui ont historiquement marqué la région. De plus, la réunion a servi de plateforme pour discuter des progrès de la campagne agricole en cours et des plans d’implantation d’un nouveau complexe industriel, promettant de stimuler l’économie locale.

Dans son appel à l’action, le Général Oumarou a encouragé tous les participants à contribuer activement en proposant des solutions pratiques et en s’engageant à diffuser les décisions, conclusions et recommandations issues de la rencontre. Il a insisté sur l’importance de relayer ces informations jusqu’aux échelons les plus bas de la société, y compris les villages, hameaux et rouggas, afin d’assurer une compréhension et une application larges des stratégies adoptées.

En conclusion, portée par les communautés locales et soutenue par les autorités, cette initiative marque une étape décisive vers la construction d’une paix durable dans la région de Dosso. En favorisant un environnement sûr et stable, elle ouvre la voie à un développement économique prometteur.

Le Niger se dote d’un plan pour financer la protection de sa biodiversité

Tahoua, 30 septembre 2024- Le Niger franchit une nouvelle étape dans la préservation de son riche patrimoine naturel. En effet, le lancement officiel de l’atelier sur l’Initiative Finance de la Biodiversité (BIOFIN) à Tahoua marque le début de la mise en place d’un plan de financement spécifique pour la protection de la biodiversité dans le pays.

Ce programme, soutenu par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et financé par le Royaume de Belgique, vise à identifier les sources de financement existantes et à développer de nouvelles stratégies pour mieux protéger la nature.

Par ailleurs, le programme BIOFIN a apporté son soutien à plus de quarante-deux pays. Ce programme a élaboré plus de cent cinquante solutions de financement, adaptées et mises en place en fonction des exigences spécifiques de chaque pays bénéficiaire. En plus, le Niger est le seul pays d’Afrique de l’Ouest à bénéficier de cette initiative à grande échelle.

Un processus participatif

Depuis le lancement de BIOFIN au Niger en mars 2023, de nombreux acteurs ont été impliqués dans un processus participatif. Des ateliers de consultation ont permis de recueillir les avis des populations locales, des experts et des décideurs politiques. L’objectif est de mettre en place un plan de financement qui réponde aux besoins spécifiques de chaque région du pays.

Des enjeux majeurs pour le Niger

La protection de la biodiversité est un enjeu majeur pour le Niger, un pays confronté à de nombreux défis environnementaux, notamment la désertification et la dégradation des terres. Grâce à BIOFIN, le Niger pourra mieux protéger ses écosystèmes fragiles et assurer la durabilité des ressources naturelles pour les générations futures.

Un partenariat fructueux pour la biodiversité

Le Gouverneur de la région de Tahoua, le Colonel-Major Oumarou Tawayé, a salué l’engagement du PNUD et du Royaume de Belgique dans la mise en œuvre de cette initiative. Il a souligné l’importance de ce projet pour le développement durable du Niger.

Le coordonnateur national de BIOFIN au PNUD, Dr Boureima Moundjo Boubacar, a, quant à lui, exprimé sa satisfaction quant à l’avancement du projet et a remercié tous les partenaires impliqués.

En somme, le lancement de l’atelier sur BIOFIN à Tahoua marque une étape importante dans la lutte contre la perte de biodiversité au Niger. Ce projet ambitieux permettra au pays de disposer d’outils financiers adaptés pour préserver son patrimoine naturel et assurer un avenir durable pour ses populations.

Ziniaré : Le volontariat au cœur des enjeux de l’AES

Ziniaré, Burkina Faso, 30 septembre 2024. Les ministres de la jeunesse de l’Alliance des États du Sahel (AES) ont bouclé, ce week-end, leur première Université d’été. En effet, un événement marquant qui a réuni les jeunes des trois pays fondateurs pour discuter de l’avenir de leur région et renforcer leur engagement citoyen.

Un élan de volontariat et de patriotisme

Sous l’impulsion des chefs d’État de l’AES, les jeunes ont été appelés à réfléchir sur leur rôle dans le développement de la région. «Cette université d’été a été l’occasion de formuler des recommandations concrètes pour renforcer l’engagement des jeunes dans le volontariat et le patriotisme», a souligné Anûuyirtole Roland SOMDA, Ministre burkinabé de la jeunesse.

Par ailleurs, les participants ont notamment appelé à une meilleure prise en compte de leurs propositions dans les politiques publiques de l’AES. « Les jeunes ont démontré leur détermination à soutenir les réformes majeures menées par les dirigeants », a assuré Abdourhamane AMADOU, ministre nigérien de la jeunesse.

Un partenariat pour un volontariat renforcé

En plus , pour concrétiser cet engagement, les structures de volontariat du Burkina Faso, du Niger et du Mali ont signé un mémorandum d’entente sous l’impulsion de Djourmité Nestor NOUFE, porte-parole des directeurs généraux en charge du volontariat de l’espace AES. Ce partenariat permettra de favoriser les échanges entre les jeunes volontaires des trois pays et  également de renforcer leur sentiment d’appartenance à une communauté.

Le soutien indéfectible du Président TRAORE

Le Président du Faso, Ibrahim TRAORE, a salué l’initiative de cette université d’été et a réaffirmé son soutien à la jeunesse. « L’AES est à la conquête de son identité propre, et les jeunes ont un rôle crucial à jouer dans cette dynamique », at-il déclaré. Le chef de l’État a également appelé à une relecture de la loi sur le volontariat pour mieux l’adapter aux réalités locales.

Vers une organisation semestrielle de l’Université d’été

Fort du succès de cette première édition, le Président TRAORE a proposé d’organiser l’Université d’été de manière semestrielle et tournante dans les trois pays de l’AES. Cette initiative vise à maintenir l’élan mobilisateur et à renforcer la cohésion régionale.

Au terme de leur rencontre Les ministres chargés de la jeunesse de l’Alliance des États du Sahel (AES) ont posé un acte symbolique fort. En remettant un chapeau de Saponé et un sabre au président TRAORE, les jeunes ont souligné l’importance de préserver les valeurs culturelles et de renforcer l’identité de l’AES.

En conclusion, l’Université d’été de l’AES a démontré que la jeunesse sahélienne est une force vive. Mais comment maintenir cet élan et transformer ces aspirations en actions concrètes ? C’est la question à laquelle les dirigeants de l’Alliance devra répondre .

Issoufa Ghoumour, alias Dogo, l’élu du cœur de Tégueur

Timia(Niger),le 27 septembre 2024 –C’est sous un soleil radieux que la communauté de Tegueur a célébré l’intronisation de son nouveau chef, Issoufa Ghoumour, plus connu sous le nom de Dogo. Des centaines de villageois, de sultans de l’Aïr, de dignitaires locaux et d’invités de marque venus des quatre coins de la région ont assisté à cette cérémonie empreinte de tradition, marquant ainsi un tournant important pour la localité.

Avec un vote historique de 72 sur 72, Issoufa Ghoumour, également connu sous le nom de Dogo, a été élu chef de Tegueur.Vêtu de ses atours traditionnels, Dogo a reçu les félicitations des autorités locales et des représentants de la communauté. Dans son discours, il a souligné l’importance de l’unité et de la solidarité pour faire face aux défis de l’avenir. Le nouveau chef a également annoncé plusieurs projets visant à améliorer les conditions de vie des habitants de Tegueur, tels que la construction d’une école et l’aménagement d’une place publique.

Dogo, le favori incontesté de Tégueur

Dogo, héritier des traditions nomades et figure emblématique de la culture touareg, a été choisi par un vote unanime, recevant 72 voix sur 72 , un soutien sans faille qui témoigne de la confiance et de l’estime que lui portent les habitants de Tegueur. La cérémonie d’intronisation a été l’occasion de célébrer les valeurs de la communauté, mettant en lumière l’importance de la transmission des coutumes ancestrales et du respect des aînés.

Avec un vote historique de 72 sur 72, Issoufa Ghoumour, également connu sous le nom de Dogo, a été élu chef de Tegueur.Cette intronisation n’est pas seulement la reconnaissance d’un homme pour ses qualités de leader, mais aussi l’affirmation de l’identité culturelle de Tegueur. Elle souligne l’importance de préserver les traditions tout en embrassant l’avenir, un équilibre que Dogo s’est engagé à maintenir en tant que chef de village.

L’unité manifestée lors de cette cérémonie est un message fort pour toute la région, rappelant que malgré les défis du monde moderne, les communautés peuvent rester soudées autour de leurs racines et de leurs valeurs partagées. L’élection de Dogo est un pas de plus vers un avenir où tradition et progrès vont de pair, pour le bien-être de tous les habitants de Tegueur et au-delà.

Journaliste ou complice ? Le dilemme de Wassim Nasr

Niamey, 27 septembre 2024 – Le parquet spécial nigérien chargé de la lutte contre le terrorisme a annoncé mercredi l’ouverture d’une enquête à l’encontre de Wassim Nasr, journaliste à France 24. En effet, le parquet  soupçonne le journaliste d’avoir tenu des propos tendancieux et d’avoir soutenu implicitement les groupes terroristes actifs dans la région du Sahel.

Selon Mme Hadiza Manzo, adjointe du procureur, les déclarations répétées de Wassim Nasr, notamment après les récentes attaques terroristes à Bamako, laissent penser qu’il aurait des contacts privilégiés avec les groupes jihadistes. « Il indiquait clairement être en contact avec les assaillants qui lui communiquaient en temps réel les objectifs de leurs attaques, leurs positions et le bilan humain », a-t-elle souligné.

Ces allégations extrêmement graves ont poussé le parquet à ouvrir une enquête pour « association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste », « apologie du terrorisme » et « complicité d’actes de terrorisme ».

Wassim Nasr, journaliste de France 24, fait l'objet d'une enquête au Niger pour ses déclarations jugées trop proches des groupes terroristes.Un soutien inconditionnel aux forces de défense

Parallèlement à cette annonce, le parquet a tenu à saluer le professionnalisme des forces de défense et de sécurité dans la lutte contre le terrorisme. « Une enquête diligente sera menée pour faire toute la lumière sur ces faits graves et mettre leurs auteurs, commanditaires et complices hors d’état de nuire », a également assuré Mme Manzo.

Par ailleurs, cette affaire suscite une vive polémique et interroge sur les limites de la liberté de la presse. Les autorités nigérienne accusent Wassim Nasr de franchir la ligne rouge en apportant un soutien indirect aux groupes terroristes. De son côté, le journaliste n’a pas encore réagi à ces accusations.

En bref, cette affaire s’inscrit dans un contexte régional marqué par la montée du terrorisme au Sahel. Les accusations portées contre Wassim Nasr mettent en lumière les enjeux géopolitiques complexes qui sous-tendent les conflits dans cette région. Comment les médias internationaux couvrent-ils ces conflits sans prendre parti et sans risquer de légitimer les groupes terroristes ?

Le Niger célèbre la Journée mondiale du tourisme sous le signe de la paix

Niamey, 27 septembre 2024 – Alors que le monde entier célèbre la Journée mondiale du tourisme, placée cette année sous le thème « Le tourisme et la paix », le Niger a marqué cette journée d’une tonalité particulière. Face aux défis sécuritaires et humanitaires qui secouent le pays, les autorités ont choisi de privilégier la solidarité envers les populations éprouvées plutôt que d’organiser de grandes festivités.

Hier, dans un message spécifique à la nation, Mme Sofiane Guichene Agaichata, ministre de l’Artisanat et du Tourisme, a souligné l’importance cruciale du tourisme en tant que vecteur de paix, de développement économique et de cohésion sociale. « Le tourisme, c’est bien plus qu’un simple secteur économique. C’est un pont qui relève les peuples, favorise la compréhension mutuelle et contribue à la stabilité », a-t-elle déclaré.

Un tourisme au service de la paix

Par ailleurs, le ministre a rappelé que le tourisme peut être un outil puissant pour lutter contre l’extrémisme violent et promouvoir la paix. « En créant des emplois, en favorisant les échanges culturels et en générant des revenus pour les communautés locales, le tourisme contribue à renforcer le tissu social et à offrir des alternatives à la radicalisation », a-t-elle expliqué.

Cependant, le ministre a également reconnu les défis auxquels le secteur touristique nigérien est confronté. Les attaques terroristes répétées, les inondations dévastatrices et les crises humanitaires ont porté un coup d’État à l’industrie touristique du pays. « Nous devons redoubler d’efforts pour faire du tourisme un moteur de développement durable et résilient », a-t-elle insisté.

Un engagement fort des autorités

Le gouvernement nigérien a affiché une volonté politique forte de relancer le secteur touristique. Ils ont élaboré un plan de relance ambitieux pour diversifier l’offre touristique, améliorer les infrastructures et promouvoir le Niger en tant que destination touristique de choix.

« Le tourisme est une priorité pour notre gouvernement », a assuré le ministre. « Nous sommes convaincus que ce secteur peut jouer un rôle clé dans la reconstruction de notre pays et dans l’amélioration des conditions de vie de nos populations ».

Un appel à la solidarité internationale

En cette journée mondiale du tourisme, le Niger lance un appel à la solidarité internationale pour soutenir ses efforts de développement touristique. « Nous avons besoin de l’aide de nos partenaires pour renforcer notre secteur touristique et promouvoir la paix dans notre région », a conclu la ministre.

En bref, le tourisme, c’est bien plus qu’un simple secteur économique au Niger. C’est un vecteur d’espoir, un moteur de développement et un outil de paix. Malgré les défis actuels, le potentiel touristique du pays est immense. Quelles stratégies mettre en œuvre pour faire du Niger une destination touristique incontournable en Afrique ? Les réponses à cette question détermineront en grande partie l’avenir du pays.

Nairobi, Nouvel Hôte du Sommet Afrique-France en 2026

Nairobi, Kenya – C’est une annonce qui a fait l’effet d’une bombe dans les cercles diplomatiques : le Kenya accueillera en 2026 le prochain sommet Afrique-France. Une première historique puisque cet événement, traditionnellement organisé en France ou dans un pays francophone, s’exporte pour la toute première fois au cœur de l’Afrique de l’Est.

En effet, cette décision, prise à l’initiative des présidents Emmanuel Macron et William Ruto, marque un tournant majeur dans l’histoire du sommet. En choisissant le Kenya, un pays non francophone, les organisateurs souhaitent insuffler un nouveau dynamisme à cet événement et l’ouvrir à de nouvelles perspectives.

Nairobi en 2026

Par ailleurs, le choix du Kenya n’est pas anodin. Ce pays, en pleine croissance, est devenu un acteur incontournable de la scène internationale. Son économie dynamique, sa stabilité politique relative et son engagement en faveur du développement durable en font un partenaire privilégié pour la France.

En plus, ce sommet, qui se tiendra à Nairobi, devrait être l’occasion de relancer le dialogue entre l’Afrique et la France sur de nouvelles bases. Les enjeux seront nombreux : transition énergétique, développement économique, gouvernance démocratique, sécurité… Autant de sujets qui seront au cœur des discussions entre les chefs d’État et de gouvernement, les représentants de la société civile et les acteurs économiques.

En sortant des sentiers battus, le sommet Afrique-France 2026 ambitionne de devenir un véritable laboratoire d’idées pour l’avenir du continent africain. Il s’agira de construire un partenariat plus équilibré et plus mutuellement bénéfique entre l’Afrique et la France, fondé sur le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant.

Les préparatifs sont déjà en cours et les attentes sont élevées. Tout le monde se concentrera sur Nairobi en 2026 afin de suivre les progrès de ce sommet qui s’annonce comme un événement clé dans les relations franco-africaines.

Le choix du Kenya comme hôte du prochain sommet Afrique-France ouvre une nouvelle ère dans les relations entre l’Afrique et la France. Les enjeux sont immenses, les défis nombreux, mais les opportunités sont tout aussi grandes. Ce sommet sera l’ occasion de redéfinir les termes de ce partenariat, de construire un avenir commun et de relever ensemble les défis du XXIe siècle .

Illimi-Nassiha A Missali »: Un projet pionnier pour la réhabilitation éducative à Tillabéry

Tillabéry, le 26 septembre 2024 – Dans une atmosphère empreinte de solidarité et d’engagement communautaire, Le comité directeur de l’Union Syndicale Nationale (USN) a lancé hier avec succès le projet Illimi-Nassiha A Missali à Tillabéry, marquant ainsi une première historique. Financé par le fond de solidarité pour la sauvegarde de la patrie, ce projet ambitieux vise à réparer les tables-bancs endommagées dans les établissements scolaires, à planter des arbres le long des routes et dans les enceintes des écoles, contribuant ainsi à l’amélioration du cadre éducatif et à la préservation de l’environnement.

L’initiative ne se limite pas à la rénovation matérielle; elle englobe également un volet éducatif crucial. Afin de favoriser l’émergence d’une jeunesse citoyenne et responsable, l’USN  par le biais du projet Illimi-Nassiha A Missali, organisera des ateliers de formation ciblés pour développer un sentiment d’appartenance à la nation. De plus, des campagnes d’éducation civique de grande ampleur, comme Focus Bus et Focus FADAS, permettront d’ancrer les valeurs citoyennes dans le cœur de chaque nigériens

Ce projet représente une étape significative dans l’effort collectif de réhabilitation des infrastructures éducatives et de renforcement des valeurs civiques. Il témoigne de la volonté de l’USN de jouer un rôle actif dans le développement durable de la région et de la nation. Avec Illimi-Nassiha A Missali, Tillabéry se positionne comme un modèle de progrès social et de participation citoyenne, inspirant d’autres régions à suivre cet exemple lumineux.

Les relations entre le Niger et l’Arabie Saoudite se renforcent

Niamey ,  le  26 septembre 2024 – Une rencontre diplomatique significative a eu lieu le 25 septembre 2024, marquant un moment fort dans les relations entre le Royaume d’Arabie Saoudite et la République du Niger.

Le Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur, M. Bakary Yaou Sangaré   a reçu  SEM  Dr. Zaid Alharbi, Ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite au Niger . Cette réunion a permis de discuter des voies de renforcement de la coopération bilatérale et d’autres sujets d’intérêt commun qui lient ces deux nations.

A cet  effet, l’ambassadeur d’Arabie Saoudite Alharbi et le ministre Sangaré ont eu un tête-à-tête fructueux, explorant un large éventail de sujets, de la coopération économique et culturelle à des enjeux géopolitiques. Par ailleurs, les deux personnalités ont réaffirmé leur volonté de renforcer les liens bilatéraux et de travailler main dans la main pour le développement de leurs pays.

Dans la foulée des célébrations de la Fête Nationale saoudienne, le ministre Sangaré a renouvelé ses félicitations au Royaume, soulignant l’importance de ces liens d’amitié. L’ambassadeur Alharbi a quant à lui salué l’esprit de fraternité qui unit les deux nations.

En plus, cette rencontre a été l’occasion de faire le point sur les projets communs et d’envisager de nouvelles perspectives de collaboration. Les deux pays ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leur partenariat stratégique.

En bref, cette interaction diplomatique entre le Niger et l’Arabie Saoudite illustre la profondeur des relations bilatérales et la volonté commune de construire un avenir meilleur pour les deux peuples. Elle témoigne de la solidarité et de l’amitié qui unissent ces deux pays, et de leur détermination à avancer ensemble sur la voie du développement et de la prospérité partagée.

Fête nationale saoudienne à Niamey : Un pont entre deux peuples

Niamey, le 26 septembre 2024 –  Dans une démonstration éclatante de diplomatie et de fraternité internationale, l’Ambassade d’Arabie Saoudite à Niamey a célébré le 94ème anniversaire de la Fête Nationale du Royaume d’Arabie Saoudite. En effet, le 24 septembre 2024, un dîner somptueux a été organisé, marquant non seulement une date historique mais aussi l’amitié profonde entre le Royaume et le Niger. Son Excellence, l’Ambassadeur saoudien, a prononcé un discours poignant, soulignant la position influente de son pays sur la scène mondiale, tant sur le plan politique que culturel et économique.

La Fête nationale saoudienne a été l'occasion de célébrer les fruits d'une coopération fructueuse entre l'Arabie Saoudite et le Niger. La fête nationale saoudienne scelle l’amitié entre le Niger et l’Arabie Saoudite

L’événement a vu la participation de nombreux dignitaires, y compris des membres du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, des ministres, des responsables gouvernementaux, ainsi que des chefs religieux et des universitaires. L’ambiance était celle d’une célébration de la coopération et du respect mutuel, avec des échanges de félicitations et des vœux de progrès continu et de prospérité pour le Royaume.

La Fête nationale saoudienne a été l'occasion de célébrer les fruits d'une coopération fructueuse entre l'Arabie Saoudite et le Niger. En marge de la cérémonie, l’Ambassade a inauguré une exposition de photos, mettant en lumière les relations étroites et la collaboration entre les deux nations. Cette exposition a servi  aussi de rappel visuel des nombreux accomplissements partagés et des ponts bâtis au fil des années. L’ambiance était à la fois solennelle et festive, reflétant la dualité des relations internationales: le sérieux des engagements et la joie de l’amitié.

La Fête nationale saoudienne a été l'occasion de célébrer les fruits d'une coopération fructueuse entre l'Arabie Saoudite et le Niger. Au-delà des protocoles diplomatiques, cette célébration a permis de renforcer les liens d’amitié entre les deux peuples. Cet événement a non seulement ravivé les liens historiques mais a également ouvert de nouvelles perspectives de collaboration. L ‘avenir s’annonce riche en promesses pour les générations futures.

En somme, l’anniversaire de la Fête Nationale saoudienne à Niamey a donc été l’occasion de célébrer non seulement un passé riche en histoire mais aussi un avenir prometteur, tissé d’ambitions partagées et de respect mutuel. Cet événement a été un exemple éloquent de la manière dont les célébrations peuvent servir de catalyseur pour le renforcement des relations internationales et le développement commun.