aminata gbane, Author at Journal du niger - Page 23 sur 28

Brigi Rafini face aux questions des enfants pour la journée des droits de l’enfant

Le Premier Ministre,  Brigi Rafini, s’est prêté, ce lundi 18 novembre 2019, aux questions des jeunes enfants présentés comme des journalistes. Cette cérémonie a été organisée en prélude à la célébration, le 20 novembre prochain, de la 30ème Journée internationale des droits de l’enfant.

La cérémonie s’est déroulée en présence notamment de la Ministre en charge de la Protection de l’Enfance, Mme El Back Zeinabou Tari Bako, et de la Représentante Résidente de l’UNICEF au Niger, Dr Félicité Tchibindat. Une dizaine d’enfants, âgés de 6 à 15 ans, ont, entre autres demandé au Premier Ministre où en est le Niger dans l’application de Convention relative aux droits de l’enfant adoptée par l’ONU le 20 novembre 1989, mais aussi comment son Gouvernement compte-t-il mettre les enfants du Niger dans leurs droits ?

Les « enfants-journalistes » ont, en outre, voulu savoir un peu plus sur les mesures que le Niger entend prendre relativement à la situation de leurs camarades qui ne vont pas encore à l’école, ceux qui sont confrontés à l’insécurité, notamment au niveau des Régions de Diffa, Tillabéry et Tahoua, ou encore sur la gratuité de l’école publique, etc.
En réponse, le Chef du Gouvernement nigérien a d’abord tenu à informer ces jeunes enfants que le Niger a pratiquement ratifié tous les textes relatifs aux droits de l’enfant, cela conformément à l’engagement pris le 19 janvier 2011 par le Président de la République Issoufou Mahamadou lors d’une rencontre avec les enfants du Niger, alors qu’il était candidat à l’élection présidentielle.

Après avoir rappelé que les parents aussi bien que l’Etat et la communauté internationale ont le devoir de veiller à la stricte application des droits de l’enfant, le Premier Ministre Brigi Rafini, leur a promis tout le soutien de son Gouvernement dans leur épanouissement, leur protection contre tous les abus, mais aussi leur égal accès à l’éducation, à la santé, au bien-être, etc.
Relativement à la situation des enfants en zones d’insécurité, le Chef du Gouvernement nigérien a assuré que des dispositions particulières ont été prises par l’Etat et ses partenaires humanitaires pour les protéger, les nourrir et les soigner, regrettant toutefois que d’autres enfants, dans diverses parties  du Niger, ne vont pas à l’école du fait de la volonté des parents ou parce que contraints à la mendicité.

Cette situation, a-t-il indiqué, sera résolue eu égard aux dispositions que l’Etat est entrain de prendre pour abolir la mendicité, mais surtout du fait de la gratuité de l’école déclarée obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans par le Président de la République Issoufou Mahamadou, le recrutement massif des enseignants et l’amélioration de la qualité de l’enseignement.
A ces enfants, « parce que vous êtes l’avenir de ce pays que nous voulons vous laisser en pleine croissance », le Premier Ministre, à son tour, leur a demandé de remplir leur devoir en obéissant aux parents et en travaillant bien à l’école.

Et enfin, pour réaffirmer l’engagement du Gouvernement nigérien à respecter et protéger les droits des enfants, M. Brigi Rafini a procédé à la signature d’un document qui commande de prendre des mesures concrètes et réalisables, assorties d’échéances précises pour l’application de la Convention Internationale des Droits des Enfants.

Le gouvernement travaille à l’amélioration du climat des affaires au Niger

Le Président de la République Issoufou Mahamadou a présidé ce lundi 18 novembre 2019 a son cabinet une réunion sur l’amélioration du climat des affaires ou «  Doing Business ».

Le Ministre Conseiller Spécial du Président de la République en matière du Doing Business M. Alma Oumarou  a indiqué que «le 5 novembre 2019 s’est tenue une réunion autour du Président de la République pour faire la Présentation du Doing Business 2020 et à cette occasion, nous avons dit a la nation que le Niger avait enregistré d’importants résultats. On était à la 143éme place et pour 2020 nous sommes désormais à la 132éme place ».

« Le Président de la République qui coordonne toutes nos actions sur le leadership sur lequel nous travaillons et son Excellence Mr le Premier Ministre Brigi Rafini qui suit au quotidien ce que nous sommes entrain de faire et  ils ont voulu  faire en sorte que le Niger, conformément   à  l’engagement du Président de la République fasse encore de bons plus importants » a-t-il annoncé.

« Pour le Chef de l’Etat il faut que précisément au cours des deux années à venir que nous fassions un minimum de 80 à 90 points avant que nous atteignions sur le 50éme au niveau mondial et le 5ème  au niveau africain » a notifié M. Alma Oumarou.
Le ministre Alma Oumarou a indiqué que le Chef de l’Etat leurs a demandé de présenter « un budget à la mesure de nos ambitions, et cette ambition étant celle de faire du Niger l’un  des premiers  pays réformateurs du monde ».

« C’est une obligation que nous avons d’atteindre le Top 50 au niveau mondial et le Top 5 au niveau Africain il faut que l’économie Nigérienne soit parmi les 50 économies les plus réformatrices dans le monde et la 5éme au niveau africain» a-t-il poursuivi.
« Nous avons examiné tous nos indicateurs principaux notamment  la création des entreprises, le commerce transfrontalier, le paiement des impôts, l’accession à des propriétés, le transfert, le permis de construire, pour l’ensemble de ces éléments le Chef de l’Etat les a passé en  revue et certains domaines ou le Niger a des grandes avancées notamment au niveau de la création des entreprises et en ce qui concerne l’obtention des prêts. On a fait une des Reformes les plus importantes du monde parce que le Niger a gagné sur ce point 96 points et pour la création des entreprises le Niger fait parti des 50 pays les plus réformateurs »a-t-il ajouté.

« Pour le reste le Chef de l’Etat, nous a donné des instructions indicateur après indicateur et en face de cette orientation il sera prévu des financements conséquent pour que nous puissions atteindre les  objectifs que nous sommes assignés » a  conclu le Ministre Alma Oumarou.

Les Etats-Unis saluent les progrès du Niger sur le plan sécuritaire

Les Etats-Unis ont apprécié les efforts réalisés par les autorités nigériennes dans la mise en œuvre des réformes sécuritaires, lors de la 6ème réunion du comité de pilotage sur l’initiative de gouvernance en matière de sécurité (SGI), ce 14 novembre à Niamey.

Notamment, à travers la validation de la directive de planification stratégique, la doctrine logistique conjointe et la politique de réforme dans la gestion des ressources humaines. Les gouvernements américain et nigérien représentés par le ministre d’Etat, ministre à la Présidence, Hassoumi Massoudou, et l’ambassadeur des Etats-Unis au Niger, Eric P. Whitaker, ont donc convenu de continuer sur cette lancée afin de s’assurer que les changements institutionnels opérés dans le cadre de l’initiative SGI soient soutenus.

Initiative du gouvernement américain, la SGI a pour but d’améliorer la gouvernance des institutions de défense et de sécurité, favoriser la collaboration interarmées et renforcer la capacité des partenaires africains à répondre aux besoins sécuritaires de leurs populations, conformément aux valeurs démocratiques. Le Niger est l’un des six pays à y participer. Cette initiative est régie au Niger par le Plan d’action conjoint pays (JCAP).

Le JCAP définit trois domaines prioritaires de collaboration entre les partenaires américains et les forces de défense et de sécurité nigériennes. A savoir : le développement d’un cadre national d’analyse stratégique en matière de sécurité, l’harmonisation des ressources humaines, matérielles et financières pour répondre plus efficacement aux besoins sécuritaires à court, moyen et long termes, ainsi que la promotion de la coordination et de la communication des politiques de défense et de sécurité auprès des populations.

Les lourdes conséquences économiques de la fermeture des frontières du Nigéria

Depuis le mois d’août, environ 500 camions sont bloqués à Konni dans la région de Tahoua, à quelques encablures de la frontière du Nigéria, rapporte le Sahel dimanche.

C’est la conséquence de la fermeture des frontières terrestres entre le Niger et le Nigeria, décidée par les autorités d’Abuja, avec la lutte contre la contrebande du riz, comme motif avancé.

Toutefois, les camions en questions appartiennent majoritairement aux opérateurs économiques nigérians entrés au Niger pour la livraison des cargaisons avant l’application de cette mesure. Cette situation est très mal vécue par les populations et notamment les opérateurs économiques du côté des deux pays. Le 12 novembre 2019, le ministre des Finances nigérien, Mamadou Diop annonçait que les recettes douanières avaient chuté de plus de 40 milliards de FCFA du fait de cette situation.

Espérons que la rencontre tripartite de ce 14 novembre à Abuja entre les autorités du Niger, Nigéria et Bénin permette de trouver une solution convenable pour tous.

Source : Niameyetles2jours.com

Fin de l’atelier de communication sur la réforme budgétaire à l’Assemblée Nationale

Les travaux de l’atelier de communication sur la réforme budgétaire au Niger organisé à l’intention des députés et du personnel technique de l’Assemblée ont pris fin ce jeudi 14 novembre 2019.

Au terme de cet atelier de deux jours, les élus les agents parlementaires ont été édifiés sur les thématiques axées sur les innovations du cadre harmonisé des finances publiques, le débat d’orientation budgétaire (DOB), la loi de finances, la nomenclature budgétaire de l’Etat et le rapport annuel de performance (RAP).

Ces différentes thématiques sont toutes liées aux huit (8) directives de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) dont le Niger a parachevé en 2014 la transposition effective dans son arsenal juridique sous forme de lois et décrets.

Rappelons que ces différentes directives viennent renforcer le rôle de l’Assemblée nationale en matière de contrôle parlementaire.
Pour mener à bien sa mission de contrôle ‘’l’Assemblée nationale doit s’appuyer sur des fonctionnaires parlementaires capables de lui apporter une expertise et une analyse technique de projets de lois de finances’’, a déclaré le Président de la commission des finances Adamou Namata    avant d’indiquer ‘’la nécessité de cette formation dans l’évolution de l’institution parlementaire’’.

Cet atelier a été organisé par la direction générale du budget en collaboration avec le Projet de capacité et de performance du secteur public pour la prestation de service (PCDS), indique-t-on.

Une croissance économique moyenne de 7% pour le Niger d’ici cinq années, selon le FMI

La cinquième revue du programme de facilité élargie de crédit (FEC) porté par le fonds monétaire international (FMI) au Niger prévoit une croissance économique moyenne de 7 pour cent pour les 5 prochaines années au Niger, a annoncé le chef de la mission du fonds, M. Christoph A.Klingen, lors d’une conférence de presse qu’il a co-animée le mardi 12 novembre avec le Ministre nigérien en charge des Finances, M. Mamadou Diop.

Cette conférence de presse s’est déroulée en présence du Représentant résident du FMI au Niger, M. Mehmet Cangul et des cadres centraux du Ministère des Finances.
Dans ses relevés de conclusions, la mission du FMI note que la mise en œuvre du programme de réformes du gouvernement nigérien a été satisfaisante malgré un environnement difficile. Quant à la croissance économique du Niger, elle est vigoureuse grâce à d’importants projets d’envergure lancés par le gouvernement.
En outre, les autorités nigériennes et l’équipe du FMI ont abouti à un accord de principe pour l’achèvement de la 5ème revue du programme appuyé par la Facilité Elargie de Crédit. L’examen de la proposition par le conseil d’administration du FMI pourrait avoir lieu début janvier 2020.
Par ailleurs, la mission du FMI a relevé que le gouvernement reste fermement engagé à la mise en œuvre des reformes de son Plan de Développement Economique et Social (PDES 2017-2021).

L’activité économique bénéficie du succès du gouvernement à attirer des investisseurs étrangers et de l’augmentation de l’appui des bailleurs de fonds, ainsi que de bonnes campagnes agricoles, malgré une situation sécuritaire tendue et la fermeture des frontières avec le Nigeria. Selon le rapport de cette mission, la croissance devrait atteindre 6,3% cette année et dépasser en moyenne 7% sur les cinq prochaines années. La construction de l’oléoduc pour le pétrole brut et le démarrage attendu des exportations de pétrole en 2022 constituent une manne pour l’économie.
S’agissant de la situation budgétaire, elle demeure dans l’ensemble satisfaisante et le déficit global devrait s’améliorer cette année pour respecter le plafond de 3% du PIB en 2020 fixé dans le cadre de l’UEMOA
Ainsi, l’équipe du FMI a félicité les autorités nigériennes pour avoir obtenu un accord pour la construction d’un oléoduc pour l’exportation de pétrole brut et le développement du gisement pétrolier associé. Les recettes budgétaires devraient augmenter d’au moins 2% du PIB à partir de 2022 et les fournisseurs et travailleurs locaux dans les activités liées au pétrole devraient également en bénéficier.

Par rapport à la fermeture des frontières du Nigeria, le ministre des Finances a reconnu que cette situation a impacté sur la mobilisation des ressources internes de l’Etat. « Le gouvernement a pris effectivement des dispositions pour minimiser les effets liés à cette fermeture des frontières du Nigeria. L’une des réponses du gouvernement par rapport à cette situation inattendue repose sur la mobilisation des régies financières afin de compenser cette baisse des recettes. Autrement dit les régies financières vont proposer des mesures nouvelles permettant de faire d’ici la fin de l’année de mobiliser des ressources plus que prévues. Pour y arriver, des mesures de contrôle seront intensifiées pour recouvrer plus de recettes », a déclaré le Ministre Diop, avant d’estimer à une quarantaine de milliards de F CFA la baisse des recettes due à la fermeture des frontières du Nigeria.
Selon lui, « la qualité des rapports du Niger avec ses partenaires a fait en sorte que nous avons pu obtenir des ressources supplémentaires par rapport à ce qui était prévu dans le budget 2019. Une partie de ces ressources viendra compenser la baisse des recettes que nous subissons aujourd’hui ».
« J’ajoute aussi que la question est prise en compte au niveau le plus élevé avec la tenue dans quelques jours d’une réunion à Abuja entre le Niger, le Benin et le Nigeria afin d’examiner toutes les difficultés et trouver des solutions. Et nous espérons qu’après cette réunion, les frontières trouveront leur ambiance d’antan », a souhaité le ministre Mamadou Diop.

En ce qui concerne la qualité des dépenses, le chef de mission du FMI, M. Christoph A. Klingen, a souligné qu’en dépit des efforts de mobilisation des ressources internes et l’appui budgétaire des partenaires extérieurs, les ressources du Niger sont encore maigres tandis que les besoins sont énormes. D’où la nécessite de prioriser les dépenses afin que celles-ci soient efficaces et efficientes.

Le Mena National aurait un nouveau sélectionneur

C’est le Chartes Football Club qui a annoncé par un post twitter, que son entraîneur Jean-Guy Wallemme est le nouveau sélectionneur du Niger.

 Le même tweet indique que l’entraîneur français remplira toujours ses fonctions au sein de son club, tout en assurant celle de sélectionneur du Mena National. L’ex-sélectionneur du Congo a également été à la tête de l’Union sportive Medinat Bel-Abbès de l’Algérie, et du KAC de Kénitra au Maroc.

Le Fenifoot n’a fait aucune annonce officielle à l’heure à laquelle sont écrites ces lignes. Nous y reviendrons donc si la fédération confirme cette information…

Rencontre entre le Niger, le Nigéria et le Bénin, sur la fermeture des frontières, ce 14 novembre

Dans le but de trouver une solution à la fermeture des frontières entre le Nigeria, le Niger et le Bénin, évoquée lors du sommet extraordinaire de Niamey le 8 novembre, consacré en grande partie à la situation politique en Guinée-Bissau, une rencontre tripartite va se dérouler à Abuja le 14 novembre 2019, a annoncé la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) dans le communiqué qui a sanctionné les travaux de cette rencontre politique sous-régionale.

« Les chefs d’Etat ont encouragé à poursuivre les concertations en vue d’aboutir à une solution acceptable pour toutes les parties », précise le communiqué. « En outre, des rencontres ultérieures, notamment avec les ministres en charge du Commerce et des Finances du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, du Niger, du Nigeria et du Togo sous l’égide du Président du Burkina Faso, Champion de la libre circulation des personnes et des biens, seront organisées pour consolider les échanges commerciaux entre les pays de la sous-région », poursuit le communiqué.

Rappelons que c’est depuis le mois d’août 2019 que le Nigeria a fermé ses frontières terrestres avec le Niger et le Bénin. Selon Abuja, cette décision vise à lutter contre la contrebande du riz. Dans la perspective d’une sortie de cette crise liée à la fermeture des frontières, le Nigeria exige de ses deux voisins (le Niger et le Bénin), entre autres, de prendre des mesures fortes pour le respect des normes, en ce qui concerne notamment les emballages de ce produit de grande consommation.

Le premier ministre reçoit une délégation de l’Union Africaine

M. Brigi Rafini, Premier Ministre, Chef du Gouvernement, a accordé hier après-midi, une audience à une délégation de l’Union Africaine conduite par le Conseiller principal, au Département des Affaires Politiques de l’Union Africaine, M. Robert Gerenge.

Cette délégation est au Niger dans le cadre de l’accompagnement de l’UA au processus électoral du pays. Elle est composée des membres de l’Union Africaine et ceux du Réseau des Structures de gestion Électorale en Afrique de l’Ouest.

Sur sollicitation de la Commission Électorale Nationale Indépendante, les membres de ces institutions sont présents au Niger dans le cadre d’une mission de travail notamment l’évaluation du processus électoral dans le pays.

Lancement des consultations pour un engagement citoyen à Niamey

Le Secrétaire général du 2iéme arrondissement M.Yacouba Saley a lancé ce lundi 11 novembre 2019 les consultations pour un engagement citoyen en matière d’eau et assainissement dans la salle de réunion de la commune 2 de Niamey.

L’objectif global de ces consultations est d’échanger avec les acteurs et les bénéficiaires sur la mise en œuvre du projet ; le rôle des différents acteurs dans cette mise en œuvre, et la définition des supports de communication.
Ce projet vise  à accroître l’accès à des services durables d’eau potable et d’assainissement en milieu urbain et de contribuer ainsi aux efforts du Niger vers l’atteinte des Objectifs pour le Développement Durables(ODD 2016-2030) et les objectifs spécifiques du projet seront mesurés par les indicateurs de développement suivants : Le nombre de personnes additionnelles ayant accès à l’eau par branchement ou bornes fontaines grâce au projet ; Nombre de personnes additionnelles ayant accès à des services améliorés d’assainissement à Niamey, Dosso, et Tillabéry et enfin le maintien de l’équilibre financier du sous-secteur de l’hydraulique urbaine.

Dans son discours d’ouverture le Secrétaire général M.Yacouba Saley a déclaré « Pour mieux communiquer avec l’ensemble des acteurs de mise en œuvre du projet, le ministère de l’Hydraulique et de l’assainissement organise une série d’ateliers d’échanges avec les mairies, l’administration scolaire, les populations bénéficiaires, les autorités coutumières, les leaders d’opinion et la société civile ». « Ce programme s’articule autour des ambitions profondes du Programme de la Renaissance Acte 2 du Président dela République, Chef de l’Etat son Excellence Issoufou Mahamadou traduit par la déclaration de Politique Générale du Premier Ministre, Chef du Gouvernement son Excellence Brigi Rafini »a-t-il souligné.

« A l’issue de ces consultations des comités de gestion de plaintes seront mis en place et former, ainsi ils seront outillés pour prendre en charge toutes les plaintes qui seront enregistrées au niveau notre entité communale » a-t-il indiqué.
La tenue de la consultation, la deuxième du genre au niveau de L’ arrondissement communal  2 sera un cadre d’échanges et de concertation nécessaires à la synergie des  interventions.

Pour sa part le Représentant du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement M.Assoumane Noma a souhaité la chaleureuse bienvenue aux participants et il a aussi rappelé que c’est la deuxième phase des  consultations publiques  en matière d’eau et assainissement  afin que  les citoyens bénéficient de ce projet Eau et Assainissement en Milieu Urbain (PEAMU).
La cérémonie s’est déroulée en présence du coordonnateur du Projet Eau Assainissement en Milieu Urbain M. Zibo Zakara