Helene Sourou, Author at Journal du niger - Page 30 sur 197

UNESCO : le retrait américain ne freine pas sa mission mondiale

L’UNESCO face au retrait américain : un coup dur, mais une détermination intacte

 

Paris, 22 juillet 2025 Une onde de choc a traversé les couloirs de l’UNESCO ce mardi, alors que le Président américain Donald Trump a officialisé sa décision de retirer une nouvelle fois les États-Unis de l’organisation internationale. Cette mesure, qui entrera en vigueur fin décembre 2026, marque un revers significatif. Néanmoins, face à ce coup dur, l’UNESCO réaffirme sa résilience et son engagement inébranlable à promouvoir la paix, la culture et l’éducation à travers le monde.

 

Multilatéralisme sous attaque : Les conséquences d’un départ lourd de sens

 

Cette annonce, bien que prévisible pour certains observateurs, frappe de plein fouet les valeurs du multilatéralisme que l’UNESCO incarne avec force. En effet, ce départ menace directement les nombreux partenaires américains de l’organisation, qu’il s’agisse des sites aspirant à rejoindre la prestigieuse liste du Patrimoine mondial, des villes intégrées au réseau des villes créatives, ou encore des chaires universitaires collaborant activement avec l’UNESCO. Ce choix, qui fait tristement écho à celui de 2017, suscite une profonde déception, d’autant plus que l’organisation a multiplié les efforts pour prouver son rôle central sur la scène mondiale.

 

L’organisation plus forte que jamais : Une organisation financièrement blindée face aux tempêtes

 

Anticipant cette décision potentielle, l’UNESCO a su se réinventer au fil des années. Ainsi, depuis 2018, des réformes structurelles d’envergure ont permis de diversifier ses sources de financement, réduisant la part de la contribution américaine à seulement 8 % de son budget, contre parfois 40 % pour d’autres agences onusiennes. Grâce à une hausse spectaculaire des contributions volontaires, doublées depuis 2018, et au soutien massif de nombreux États et acteurs privés, l’UNESCO se trouve aujourd’hui dans une position financière plus solide que jamais. Par ailleurs, aucune suppression d’emploi n’est à ce jour envisagée, un signe manifeste de la robustesse et de la capacité d’adaptation de l’organisation.

 

Malgré les obstacles, l’UNESCO multiplie les succès et les engagements mondiaux

 

L’UNESCO n’a pas attendu ce retrait pour faire ses preuves. Ces dernières années, elle a orchestré des projets d’envergure, tels que la reconstruction de la vieille ville de Mossoul à partir de 2018, l’une des plus grandes opérations de son histoire. Elle a également adopté un cadre normatif unique au monde sur l’éthique de l’intelligence artificielle et lancé des initiatives majeures pour soutenir l’éducation et la culture dans des zones de conflit, comme l’Ukraine, le Liban ou le Yémen. La protection de la biodiversité, la sauvegarde du patrimoine naturel et l’éducation des filles figurent également parmi ses priorités absolues.

De surcroît, l’organisation s’est imposée comme un acteur clé dans la lutte contre l’antisémitisme et le négationnisme, notamment à travers l’enseignement de la Shoah. En collaborant avec des institutions prestigieuses comme le Musée mémorial de l’Holocauste à Washington, le Congrès juif mondial ou l’American Jewish Committee, l’UNESCO a formé des enseignants et développé des outils pédagogiques dans 85 pays. Ces efforts, largement salués internationalement, contredisent avec force les arguments avancés par Washington pour justifier ce retrait.

 

Un futur d’action : L’UNESCO, phare de la coopération, malgré les départs

 

Malgré la réduction inévitable de ses ressources, l’UNESCO reste déterminée à poursuivre ses missions essentielles. L’organisation, fidèle à sa vocation universelle, continuera d’accueillir toutes les nations, y compris les États-Unis, dont elle espère ardemment le retour. En attendant, elle maintiendra ses partenariats solides avec les acteurs privés, académiques et associatifs américains, tout en poursuivant un dialogue constructif avec l’administration et le Congrès.

Ce nouveau départ des États-Unis, motivé par des raisons similaires à celles invoquées il y a sept ans, intervient dans un contexte pourtant transformé, où l’UNESCO s’est affirmée comme un espace rare de consensus et d’action concrète. Mais loin de se décourager, l’organisation promet de redoubler d’efforts pour bâtir un monde plus juste, éduqué et uni, prouvant que sa mission transcende les aléas politiques et demeure plus vitale que jamais.

Agadez : Le Général Toumba honore le Sultan de l’Aïr

Le Ministre d’État rend hommage au Sultan de l’Aïr lors d’une visite empreinte de tradition

 

Agadez, 22 juillet 2025 Dans un geste fort de respect envers les traditions nigériennes, le Ministre d’État chargé de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, le Général Mohamed Toumba, a achevé sa mission de travail de deux jours dans la région d’Agadez par une visite symbolique au Sultan de l’Aïr, Son Altesse Oumarou Ibrahim Oumarou, ce mardi 22 juillet 2025. Cette démarche, bien plus qu’un simple protocole, illustre l’attachement profond du Niger à l’harmonie entre pouvoir administratif et autorité coutumière.

En visite officielle à Agadez, le Général Mohamed Toumba clôture sa mission par une rencontre symbolique avec le Sultan de l’Aïr, illustrant l’harmonie entre pouvoir étatique et tradition coutumière.

Une délégation de haut rang au cœur de la tradition

 

Pour cette visite significative, le Général Toumba n’était pas seul. Il était entouré de plusieurs personnalités de premier plan, notamment des membres du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), des représentants du gouvernement, ainsi que des responsables administratifs de la région, parmi lesquels le Gouverneur d’Agadez, le Général Ibra Boulama Issa. Ensemble, ils ont marqué cette étape importante au Sultanat de l’Aïr, un lieu chargé d’histoire et de signification culturelle profonde.

Sultan de l’Aïr: Quand la coutume forge le quotidien nigérien

 

Au Niger, en effet, rendre visite aux chefs coutumiers en fin de mission officielle est une coutume solidement établie. Ce geste, qui se répète à chaque déplacement d’un représentant de l’État dans une localité, traduit une reconnaissance mutuelle entre les autorités administratives et les leaders traditionnels. Ces derniers, gardiens des coutumes et des valeurs locales, occupent une place essentielle dans le tissu social et la gouvernance communautaire. Par conséquent, la rencontre entre le Ministre d’État et le Sultan s’inscrit parfaitement dans cette volonté de renforcer les liens entre l’État et les institutions traditionnelles.

Agadez et le Sultanat de l’Aïr : Un patrimoine vivant et influent

 

La région d’Agadez, célèbre pour son passé historique et sa richesse culturelle, abrite le Sultanat de l’Aïr, un symbole de stabilité et de leadership traditionnel depuis des siècles. Le Sultan, figure respectée et influente, incarne la continuité des traditions dans une société où elles cohabitent avec les structures modernes de l’État. Ainsi, cette visite officielle met en lumière l’importance accordée à ces figures emblématiques, dont le rôle dépasse largement le cadre symbolique pour s’ancrer dans la réalité socio-politique.

 

Un message d’unité : Le Niger, entre modernité et racines profondes

 

D’ailleurs, en saluant le Sultan de l’Aïr, le Général Mohamed Toumba et sa délégation envoient un message clair : le respect des coutumes reste également  un pilier fondamental pour bâtir la paix et le développement au Niger. En dépit du départ du Ministre et de son équipe d’Agadez, cette initiative sonne comme une incitation puissante à maintenir cet équilibre précieux entre modernité et tradition, au service d’une nation unie. En définitive, cette démarche est une affirmation de l’identité nigérienne, ancrée dans ses valeurs et tournée vers un avenir de cohésion et de progrès.

 

 

Niger : Un pas de géant vers l’autonomisation des femmes et des jeunes

Niamey : 173 femmes et jeunes éclairent le chemin de l’indépendance économique

 

Niamey, 22 juillet 2025 Une vague d’espoir a déferlé ce jour dans la salle de réunion de l’hôtel de Ville de Niamey. À l’occasion d’une cérémonie empreinte de sens, 173 femmes et jeunes ont reçu leurs attestations, marquant ainsi une étape décisive dans leur parcours vers l’indépendance et la valorisation de leurs talents. Cet événement s’inscrit dans la droite ligne de la vision du Président de la République, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, et concrétise l’axe 3 du Plan de Résilience pour la Sauvegarde de la Patrie.

Lors d'une cérémonie marquante, 173 bénéficiaires ont reçu leurs attestations à Niamey, incarnant la vision d’un Niger autonome et résilient porté par la jeunesse et l’entrepreneuriat féminin. Lors d'une cérémonie marquante, 173 femmes et jeunes ont reçu leurs attestations à Niamey, incarnant la vision d’un Niger autonome

Autonomisation des femmes et des jeunes : Un projet ambitieux tisse l’avenir du Niger

 

En effet, porté par un partenariat solide entre la Maison de la Femme Daru Mara’a, IT WOMEN et ZAMANY Lab, ce programme vise à former pas moins de 1129 femmes et jeunes de Niamey. Les domaines ciblés – industrie agroalimentaire, cosmétique, textile et stylisme – ne sont pas choisis au hasard : ils répondent à un double objectif. D’une part, doter les bénéficiaires de compétences concrètes ; d’autre part, poser les bases d’un développement économique inclusif et durable. L’enjeu est clair : permettre à ces nouveaux talents de devenir des acteurs majeurs de la transformation locale.

Lors d'une cérémonie marquante, 173 femmes et jeunes ont reçu leurs attestations à Niamey, incarnant la vision d’un Niger autonome

Parterre de personnalités pour une cérémonie marquante

 

L’événement a été honoré par la présence de figures clés. Ainsi, l’Administrateur délégué de la Ville de Niamey, également Président de l’association des Municipalités du Niger, a présidé la remise des certificats. À ses côtés, M. Maï Moussa, Directeur Général du Développement Industriel au Ministère du Commerce et de l’Industrie, le Vice-Président du Fonds de Solidarité pour la Sauvegarde de la Patrie, ainsi que Mme Nana Djoubi, responsable du projet, ont souligné l’importance de cette initiative. Les administrateurs communaux et plusieurs cadres de la ville étaient également présents, témoignant de l’élan collectif autour de cette cause nationale.

Lors d'une cérémonie marquante, 173 femmes et jeunes ont reçu leurs attestations à Niamey, incarnant la vision d’un Niger autonome

« Made in Niger » : Les créations qui enchantent et inspirent

 

La cérémonie ne s’est pas limitée à la remise des attestations. En outre, une visite guidée des stands a permis aux invités de découvrir les créations des bénéficiaires : produits agroalimentaires savoureux, cosmétiques innovants, textiles raffinés et pièces de stylisme uniques. Ces réalisations, toutes « made in Niger », illustrent le potentiel immense de ces femmes et jeunes formés, mais aussi la richesse d’un savoir-faire local à valoriser.

Lors d'une cérémonie marquante, 173 femmes et jeunes ont reçu leurs attestations à Niamey, incarnant la vision d’un Niger autonome

L’appel retentissant : « Privilégions le local ! »

 

Ce projet ne se contente pas de former : il incarne une vision plus large. De fait, en renforçant l’autonomie des femmes et des jeunes, il s’inscrit dans une dynamique de refondation nationale et met l’accent sur leur rôle central dans le progrès socio-économique du pays. L’Administrateur délégué de Niamey n’a pas manqué de réaffirmer son soutien indéfectible à cette démarche, tout en lançant un message fort : « Disons non aux importations, privilégions le local ! » Un cri de cœur pour encourager les Nigériens à soutenir leurs propres producteurs et artisans, contribuant ainsi à une économie plus résiliente.

Le Niger écrit son futur : L’autonomisation, clé de voûte de la croissance

 

En somme, cette cérémonie restera gravée comme un symbole d’espoir et de renouveau. En misant sur l’inclusion et la créativité des femmes et des jeunes, le Niger fait un pas audacieux vers un avenir où l’autonomisation et la production locale seront les moteurs d’une croissance durable. Cependant, ce n’est qu’un début. Ces 173 bénéficiaires ne sont que la première pierre d’un édifice bien plus grand, annonçant une ère de prospérité et d’indépendance pour tout le pays. Le message est clair : le Niger est en marche, porté par le talent et la détermination de sa jeunesse et de ses femmes.

 

Niamey- économique : le Sahel réunit pour bâtir la croissance

Niamey : un sommet décisif pour l’avenir économique de la Confédération des États du Sahel

Niamey, 21 juillet 2025 – Ce lundi 21 juillet 2025, la capitale nigérienne, surnommée « la ville des ponts et des cieux étoilés », s’est réveillée au rythme d’une rencontre d’envergure : la réunion des experts de la Confédération des États du Sahel. En effet , présidée par Mamane Sidi, Ministre délégué auprès du Premier Ministre, chargé de l’Économie, des Finances et du Budget, cette assemblée marque une étape clé dans la consolidation des ambitions économiques et sociales de la région. Dans une ambiance empreinte d’espoir, Niamey se positionne comme le cœur battant d’un Sahel uni et prospère.

Une hospitalité nigérienne chaleureuse au service de l’unité sahélienne

 

Par ailleurs, la cérémonie d’ouverture, tenue ce matin dans la capitale nigérienne, a enregistré la présence de l’Administrateur Délégué de la ville de Niamey, également président de l’Association des Municipalités du Niger. Dans son discours, il a chaleureusement salué les délégués, venus des différents pays de la Confédération, et célébré l’hospitalité légendaire de Niamey.

« Cette ville, carrefour de fraternité, est honorée d’accueillir cette rencontre. Que nos travaux portent des fruits concrets pour les peuples du Sahel », a-t-il déclaré, insufflant un élan d’optimisme aux participants.

La réunion a  rassemblé un parterre impressionnant de personnalités, incluant des membres du gouvernement nigérien, des experts de la Confédération des États du Sahel et des hauts responsables administratifs. Cette mobilisation reflète également  l’importance stratégique de l’événement pour l’avenir de la région.

Réunis à Niamey, les experts de la Confédération des États du Sahel dessinent une feuille de route économique et sociale ambitieuse, avec pour horizon un développement régional solidaire et durable.

Banque confédérale : les experts définissent la feuille de route d’un Sahel prospère

 

Au cœur des discussions figure la mise en œuvre de la feuille de route de la Banque Confédérale pour l’Investissement et le Développement de l’Alliance des États du Sahel (AES). En fait , cette institution, pilier économique de la Confédération, ambitionne de catalyser des projets structurants pour stimuler le développement durable et renforcer l’intégration régionale. Les experts réunis à Niamey planchent activement sur des stratégies concrètes pour traduire cette vision en actions tangibles, au bénéfice des populations sahéliennes.

« Cette rencontre est une opportunité unique pour poser les bases d’une coopération économique renforcée », a souligné un participant.

Les échanges, riches et dynamiques, visent aussi à identifier les priorités et à surmonter les défis qui freinent le développement harmonieux de la région.

Réunis à Niamey, les experts de la Confédération des États du Sahel dessinent une feuille de route économique et sociale ambitieuse, avec pour horizon un développement régional solidaire et durable. Réunis à Niamey, les experts de la Confédération des États du Sahel dessinent une feuille de route économique et sociale ambitieuse, avec pour horizon un développement régional solidaire et durable.

Niamey, nouveau cœur de l’Alliance des États du Sahel : Un symbole d’espoir

 

En accueillant cet événement, Niamey se réaffirme comme un carrefour de dialogue et de solidarité pour le Sahel. D’ailleurs, la ville, avec ses ponts emblématiques et son ciel étoilé, incarne parfaitement l’esprit de cette réunion : unir les forces vives de la région pour bâtir un avenir commun. Les participants, pleinement conscients des enjeux, travaillent à élaborer des solutions qui répondent aux besoins urgents des populations, tout en jetant les bases d’une prospérité partagée.

En somme, cette réunion, par son ambition et sa portée, pourrait marquer un tournant historique pour la Confédération des États du Sahel. En plaçant l’économie et le développement au cœur de ses priorités, elle envoie un message clair : le Sahel est prêt à écrire une nouvelle page de son histoire, portée par l’unité et la détermination de ses peuples. Le pari de Niamey est lancé : faire de l’unité sahélienne une réalité économique et sociale durable.

Crash d’un avion militaire sur une école : Dacca en deuil

Tragédie aérienne à Dacca : un avion militaire s’écrase sur une école, causant des pertes dévastatrices

Dacca, 21 juillet 2025 Dans l’après-midi ce lundi 21 juillet 2025, la capitale du Bangladesh, Dacca, a été le théâtre d’une catastrophe aérienne d’une ampleur sans précédent depuis des décennies. Un avion d’entraînement F-7 BGI de l’armée de l’air bangladaise, en mission de routine, s’est écrasé sur le campus du Milestone School and College, dans le quartier densément peuplé d’Uttara, au nord de la ville. Selon les sources officielles, le bilan est tragique : l’accident a coûté la vie à au moins 20 personnes, dont de nombreux enfants, et a blessé plus de 170 autres, certaines grièvement. Cet accident, l’un des plus meurtriers de l’histoire du pays, a plongé le Bangladesh dans une douleur nationale profonde.

Vol de routine, impact fatal : La chronologie de l’horreur

 

Vers 13 h 06, heure locale (7 h 06 GMT), l’avion, un chasseur F-7 BGI de fabrication chinoise, décolle de la base aérienne Bir Uttom A. K. Khandker pour un vol d’entraînement. Cependant, à peine quelques minutes après le décollage, une défaillance mécanique, dont la nature exacte reste à déterminer, rend l’appareil incontrôlable. Le pilote, le lieutenant d’aviation Mohammad Towkir Islam, a tenté courageusement de détourner l’avion vers une zone moins peuplée, selon un communiqué de l’Inter-Services Public Relations (ISPR), l’organe médiatique des forces armées bangladaises. Malgré ses efforts héroïques, l’appareil s’est écrasé à 13 h 18 sur un bâtiment de deux étages du Milestone School and College.

L’impact, suivi d’une explosion massive, a transformé l’école en un brasier infernal. Des images diffusées par les médias locaux montrent des flammes voraces et d’épaisses colonnes de fumée noire s’élevant du campus, tandis que des foules, mêlant curieux et proches désespérés, ont afflué vers le site. « J’étais à la cantine quand j’ai entendu un bruit assourdissant », raconte Ahmed, un élève du secondaire. « C’était comme si le sol tremblait. Ensuite, tout n’était que feu et cris. »

Un avion d'entraînement de l'armée bangladaise s’est écrasé sur une école à Dacca, faisant au moins 20 morts et 170 blessés, plongeant le pays dans une profonde douleur nationale. Un avion d'entraînement de l'armée bangladaise s’est écrasé sur une école à Dacca, faisant au moins 20 morts et 170 blessés, plongeant le pays dans une profonde douleur nationale.

Vies brisées, hôpitaux débordés : Le bilan humain d’une tragédie indicible

 

Le bilan, encore provisoire, fait état d’au moins 20 morts, dont le pilote et plusieurs élèves. Plus de 170 personnes, majoritairement des étudiants, ont été blessées, beaucoup souffrant de brûlures graves. Selon Bidhan Sarker, responsable de l’unité des brûlures à l’hôpital universitaire de Dacca, plusieurs victimes, dont des enfants de 12 à 16 ans, sont dans un état critique. Les hôpitaux locaux, notamment le National Institute of Burn and Plastic Surgery, sont submergés par l’afflux de blessés. « Le nombre de patients ne cesse d’augmenter », confie un médecin, témoignant de l’ampleur de la situation.

Les secours, composés de pompiers, de militaires et d’hélicoptères de l’armée de l’air, se sont mobilisés rapidement. Des ambulances, parfois insuffisantes face à l’ampleur de la tragédie, ont été suppléées par des rickshaws et des véhicules improvisés pour transporter les victimes. « On voyait des soldats porter des enfants dans leurs bras pour les emmener à l’hôpital », rapporte un témoin, soulignant la détresse de la scène. Les images de parents en pleurs, cherchant désespérément leurs enfants dans les décombres calcinés, ont bouleversé la nation.

Deuil national et solidarité internationale : Le Bangladesh pleure ses victimes

 

Le chef du gouvernement intérimaire, Muhammad Yunus, a exprimé sa « profonde tristesse » face à ce qu’il a qualifié de « moment de douleur nationale ». Dans un message publié sur X, il a promis une enquête approfondie pour déterminer les causes de l’accident et a annoncé une journée de deuil national le 22 juillet, avec drapeaux en berne dans tout le pays. « La perte subie par l’armée de l’air, les étudiants, les parents, les enseignants et le personnel est irréparable », a-t-il déclaré, mesurant l’étendue du drame.

Le Premier Ministre indien, Narendra Modi, a également réagi, exprimant sa solidarité : « Nos cœurs vont aux familles endeuillées. L’Inde est prête à offrir toute l’assistance possible. » Des numéros d’urgence, dont celui du National Institute of Burn and Plastic Surgery et du Combined Military Hospital, ont été mis en place pour aider les familles à retrouver leurs proches, offrant un maigre réconfort dans cette épreuve.

F-7 BGI : Un historique semé d’embûches, l’enquête en quête de vérité

 

L’appareil, un F-7 BGI, version avancée du chasseur chinois J-7 (inspiré du MiG-21 soviétique), était en service depuis 2013 dans l’armée de l’air bangladaise. Bien que considéré comme robuste, ce modèle a déjà été impliqué dans des accidents par le passé. En 2008, par exemple, un F-7 s’était écrasé près de Dacca, tuant son pilote après une défaillance technique. L’ISPR a confirmé la formation d’un comité d’enquête de haut niveau pour analyser les causes de ce drame. Parmi les hypothèses, les enquêteurs privilégient une défaillance mécanique, bien que des sources non officielles suggèrent que les autorités pourraient sous-estimer le bilan réel.

Les témoignages des survivants et des enseignants, comme celui de Mizanur Rahman, soulignent le courage du pilote, qui aurait tenté jusqu’au bout d’éviter une zone densément peuplée. « Il visait un terrain vague derrière l’école, mais il n’a pas réussi », explique-t-il. Cette tentative désespérée n’a pas suffi à éviter la tragédie, le campus étant situé dans une zone urbaine animée, à seulement 11 kilomètres de la base aérienne.

Un avion d'entraînement de l'armée bangladaise s’est écrasé sur une école à Dacca, faisant au moins 20 morts et 170 blessés, plongeant le pays dans une profonde douleur nationale. Un avion d'entraînement de l'armée bangladaise s’est écrasé sur une école à Dacca, faisant au moins 20 morts et 170 blessés, plongeant le pays dans une profonde douleur nationale.

Une blessure nationale à Dacca : Le Bangladesh face à un choc sans précédent pour sa jeunesse

 

Cette catastrophe, l’une des plus graves impliquant un avion militaire au Bangladesh, rappelle d’autres tragédies aériennes dans le pays. En 1984, un crash de ligne avait tué 49 personnes près de Dacca, et des incidents impliquant des avions d’entraînement ont ponctué les dernières décennies. Cependant, l’ampleur de cette tragédie, touchant majoritairement des enfants, marque profondément les esprits et laisse une blessure béante.

La douleur qui submerge le Bangladesh aujourd’hui est d’autant plus vive qu’elle frappe au cœur de sa jeunesse. Alors que les secours continuent leur travail et que l’enquête débute, le pays tout entier retient son souffle, espérant que les enquêteurs feront toute la lumière sur ce drame, afin qu’une telle catastrophe ne se reproduise plus jamais.

Le Niger lève le voile sur sa nouvelle politique migratoire

Agadez : un élan historique pour une nouvelle politique nationale migratoire

Agadez, 21 juillet 2025 –Ce lundi 21 juillet 2025, la Maison des Jeunes et de la Culture Laya à Agadez a été  le cadre d’un moment fort, empreint d’un élan collectif impressionnant : le lancement officiel de la Nouvelle Politique Nationale de Migration. Arrivé quelques heures plus tôt, le Ministre d’État en charge de l’Intérieur, de la Sécurité publique et de l’Administration du territoire, le Général de Division Mohamed Toumba, a présidé la cérémonie entouré d’une délégation de haut niveau.

Ce rendez-vous stratégique marque une étape majeure dans la refonte de la gestion migratoire au Niger. En effet, dans une salle pleine à craquer, la mobilisation exceptionnelle des autorités locales, des représentants institutionnels et des citoyens a témoigné de l’importance accordée à cette nouvelle vision. Un souffle de cohésion et d’engagement a traversé l’assemblée, soulignant l’attente forte d’une politique migratoire à la fois humaine, inclusive et adaptée aux réalités du terrain.

À Agadez, le lancement de la nouvelle politique migratoire marque un tournant stratégique pour le Niger, misant sur la sécurité, la coopération et le développement pour humaniser la gestion des flux migratoires.

Une ferveur populaire sans précédent : Agadez au rendez-vous de l’histoire

 

Par ailleurs, l’amphithéâtre de la MJC Laya a été le point de convergence d’une ferveur remarquable. Les habitants d’Agadez, pleinement conscients des enjeux migratoires dans leur région, ont répondu massivement présents, manifestant ainsi leur adhésion à cette nouvelle dynamique. Cette mobilisation témoigne de leur espoir pour une migration mieux encadrée et plus humaine. « C’est une bouffée d’espoir pour notre communauté », a déclaré un participant, ému par l’ambiance chaleureuse et la volonté politique affichée.

À Agadez, le lancement de la nouvelle politique migratoire marque un tournant stratégique pour le Niger, misant sur la sécurité, la coopération et le développement pour humaniser la gestion des flux migratoires.

Sécurité, Coopération et Développement : les trois piliers d’une migration repensée

 

En outre , la nouvelle politique nationale de migration, dévoilée lors de cette cérémonie, ambitionne de structurer et d’humaniser la gestion des flux migratoires au Niger, un pays au cœur des routes migratoires transsahariennes. En plaçant la sécurité, la coopération internationale et le développement au centre de ses priorités, cette stratégie vise  aussi à répondre aux défis complexes posés par la migration, tout en valorisant ses opportunités pour le pays.

Le ministre Toumba a souligné l’importance d’une approche concertée, impliquant les autorités locales, les partenaires internationaux comme l’OIM, et les communautés elles-mêmes. « Cette politique est un engagement pour un Niger plus stable, où la migration devient une force pour le développement, et non un défi insurmontable », a-t-il affirmé avec conviction.

À Agadez, le lancement de la nouvelle politique migratoire marque un tournant stratégique pour le Niger, misant sur la sécurité, la coopération et le développement pour humaniser la gestion des flux migratoires.

Agadez, carrefour stratégique : l’ancrage local d’une ambition nationale

 

En choisissant Agadez pour ce lancement, le gouvernement met en lumière le rôle stratégique de cette région, historiquement marquée par les dynamiques migratoires. La présence des autorités traditionnelles, telles que le sultan de l’Aïr, et des élus locaux, renforce l’ancrage de cette politique dans les réalités du terrain. Les échanges entre les officiels et les citoyens présents ont également permis d’esquisser les contours d’une collaboration renforcée pour la mise en œuvre de cette stratégie ambitieuse.

Vers un Niger plus stable et humain ? Le pari de la nouvelle politique migratoire

 

Le lancement de la politique nationale de migration à Agadez n’est pas seulement un événement administratif ; il incarne une vision d’un Niger uni, résilient et ouvert sur le monde. En fédérant les énergies des autorités, des partenaires internationaux et des populations locales, cette initiative pose aussi les bases d’une gestion migratoire plus efficace et humaine.

En somme, les habitants d’Agadez se tournent désormais vers l’avenir avec optimisme, convaincus que cette politique marquera un tournant décisif pour leur région et pour le Niger tout entier. Reste à voir si cette ambition se concrétisera pleinement sur le terrain, transformant le défi migratoire en un levier de développement durable pour le pays.

 

Agadez : Le Ministre Toumba débarque pour une mission cruciale

Agadez : une visite ministérielle d’envergure pour renforcer la sécurité et le développement régional

Agadez, 21 juillet 2025 – Ce lundi 21 juillet 2025, l’aéroport international Mano Dayak d’Agadez a été le théâtre d’un accueil solennel pour le Général de Division Mohamed Toumba, Ministre d’État chargé de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire. À la tête d’une imposante délégation, il entame une mission de travail cruciale dans la région, marquée par un vibrant hommage militaire et une mobilisation massive des autorités locales. Cette visite, placée sous le signe de la coopération et du progrès, illustre l’engagement du gouvernement nigérien à consolider la sécurité et le développement à Agadez.

Tapis rouge militaire : Le Général Toumba accueilli en grande pompe à Agadez

 

Dès sa descente de l’avion militaire, le Ministre d’État a été chaleureusement accueilli par le gouverneur de la région, le Général de Division Ibra Boulama Issa, accompagné du sultan de l’Aïr, de l’administrateur délégué de la commune urbaine d’Agadez, ainsi que des responsables des forces de défense et de sécurité (FDS). Les préfets des départements, les administrateurs des communes et les directeurs régionaux étaient également présents, témoignant de l’importance capitale de cette visite pour la région.

Un détachement de la Garde Nationale du Niger a rendu les honneurs militaires au Ministre, dans une cérémonie empreinte de discipline et de respect. Après cet accueil protocolaire, le Général Toumba et sa délégation ont échangé des salutations avec les responsables des FDS, renforçant ainsi les liens essentiels entre les autorités centrales et régionales.

Accueilli en grande pompe, le Ministre Mohamed Toumba entame une mission cruciale à Agadez pour renforcer sécurité, gouvernance et développement dans une région clé du Niger.

Ministres, généraux et partenaires : Une délégation XXL pour l’avenir d’Agadez

 

Le Ministre d’État ne voyage pas seul. Il est en fait accompagné d’une délégation prestigieuse, comprenant le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, le Ministre de l’Hydraulique et de l’Environnement, le haut commandant de la Gendarmerie Nationale, le haut commandant de la Garde Nationale, le directeur général de la Protection Civile, ainsi que le directeur général de la Police Nationale. Des cadres du ministère de l’Intérieur et des représentants de partenaires humanitaires, notamment de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM Niger), complètent cette équipe de choc.

Par ailleurs, cette délégation reflète la volonté de la mission de traiter de façon globale les questions liées à la sécurité, à la santé publique, à la protection de l’environnement et à la gouvernance administrative dans une zone stratégique du Niger. « Cette visite témoigne concrètement de l’engagement du gouvernement à coopérer étroitement avec les communautés locales pour répondre aux attentes des citoyens », a affirmé un responsable régional, mettant en avant la portée transversale de cette initiative.

Agadez : au cœur des enjeux nationaux, entre sécurité et développement

 

Bien que le Ministre Toumba n’ait pas encore détaillé son agenda, cette mission s’inscrit clairement dans une volonté de renforcer la gouvernance et la sécurité dans la région d’Agadez, un carrefour économique et culturel névralgique du Niger. Les discussions devraient porter sur de nombreuses thématiques clés.

La présence des autorités coutumières, à l’image du sultan de l’Aïr, et des élus locaux, souligne l’importance d’une approche inclusive, mêlant habilement tradition et modernité. « Nous sommes honorés d’accueillir une délégation aussi prestigieuse. » « C’est une opportunité concrète pour faire avancer les projets qui tiennent à cœur à notre région », a confié un chef coutumier, exprimant l’espoir de toute une communauté.

Accueilli en grande pompe, le Ministre Mohamed Toumba entame une mission cruciale à Agadez pour renforcer sécurité, gouvernance et développement dans une région clé du Niger.

Agadez, une priorité nationale ? L’engagement de l’État en pleine lumière

 

Cette visite ministérielle, orchestrée avec précision et un sens aigu de la coopération, envoie un message clair : Agadez fait partie des grandes priorités du gouvernement nigérien. En réunissant des acteurs de différents secteurs et en mobilisant les forces vives de la région, le Général Toumba et sa délégation posent les jalons d’une collaboration renforcée pour un avenir plus sûr et prospère.

En somme, les habitants d’Agadez attendent avec un espoir palpable des annonces concrètes qui viendront soutenir le développement de leur région. Ce déplacement officiel incarne un moment charnière dans la volonté de l’État de positionner Agadez comme un centre de stabilité et d’avancement durable au cœur du Niger. En brisant les stéréotypes associés à la région, il ouvre la voie à une dynamique nouvelle, tournée vers un avenir plus fort, plus solidaire et résolument résilient.

 

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Niamey : L’AES unit ses forces pour les femmes et la solidarité

AES en action : l’alliance place les femmes au cœur de son projet régional

Niamey, 18 juillet 2025 Dans un élan de coopération régionale sans précédent, le Général d’Armée Abdourahamane Tiani, Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie et Chef de l’État du Niger, a reçu, le jeudi 17 juillet 2025, une délégation de haut rang. En effet, cette délégation se compose des Ministres en charge de la Promotion de la Femme et de la Solidarité des pays de l’Alliance des États du Sahel (AES). Cette rencontre, empreinte de solennité, s’inscrit dans une volonté commune de renforcer les politiques en faveur de l’égalité de genre et de l’action sociale au sein de cet espace régional en pleine affirmation.

Par ailleurs, l’audience, qui s’est tenue au Palais présidentiel de Niamey, a réuni des figures clés de l’AES : Mme Kabore Passawende Pélagie, Ministre burkinabè de la Solidarité, de l’Action humanitaire, de la Réconciliation nationale, du Genre et de la Famille ; Mme Diarra Djénaba Sanogo, Ministre malienne de la Promotion de la femme, de l’Enfant et de la Famille ; et Mme Sidikou Ramatou Djermakoye Seyni, Ministre nigérienne de l’Action sociale et de la Protection de l’enfance. Ces trois personnalités, porteuses d’une vision commune, ont convergé vers la capitale nigérienne à l’occasion de la première Réunion des Ministres en charge de la promotion de la femme et du genre de l’AES, organisée du 14 au 17 juillet 2025.

À Niamey, le président Tiani reçoit les ministres des femmes du Burkina Faso, du Mali et du Niger pour lancer une dynamique régionale

Un sommet stratégique : L’AES met le genre au cœur de son projet confédéral

 

En outre, cette rencontre ministérielle, première du genre, marque une étape décisive dans l’opérationnalisation des ambitions de l’Alliance des États du Sahel, qui regroupe le Burkina Faso, le Mali et le Niger. L’événement vise en fait à poser les jalons de politiques concertées pour promouvoir l’autonomisation des femmes, protéger les droits des enfants et renforcer la cohésion sociale dans une région confrontée à des défis sécuritaires et socio-économiques majeurs. En plaçant la question du genre au cœur de ses priorités, l’AES affiche ainsi son ambition de bâtir une confédération inclusive, où l’égalité et la solidarité ne sont pas de vains mots.

Autour de la table, les discussions ont porté sur des stratégies concrètes pour amplifier l’impact des initiatives en faveur des femmes et des familles. Les ministres ont partagé leurs expériences nationales, tout en explorant des pistes de collaboration transfrontalière, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et de la lutte contre les violences basées sur le genre. Cette synergie, portée par une volonté politique affirmée, pourrait redessiner les dynamiques sociales au sein de l’espace sahélien.

 

Unité au sommet : le général Tiani engage le Niger pour les femmes du Sahel

 

Le Général Tiani, figure centrale de cette rencontre, a réaffirmé son engagement à faire de l’AES un modèle d’intégration régionale. Entouré de personnalités de premier plan, dont le Dr Soumana Boubacar, Ministre et directeur de cabinet du Président, et Mme Bayard Mariama Gamatié, conseillère spéciale et coordinatrice de la Plateforme Unique des Femmes de l’AES, le Chef de l’État a salué l’importance de cette initiative. La présence de ces figures témoigne de l’attention particulière portée par le Niger à la cause féminine, un levier stratégique pour le développement durable de la région.

Mme Gamatié, en sa qualité de coordinatrice, a souligné l’importance de la Plateforme Unique des Femmes de l’AES, un outil novateur destiné à fédérer les efforts des trois pays pour promouvoir l’égalité de genre. Ce mécanisme, encore à ses débuts, ambitionne de devenir un espace d’échange et de plaidoyer pour les droits des femmes, tout en valorisant leur rôle dans la construction d’un Sahel pacifié et prospère.

Un avenir solidaire : L’AES, un espoir nouveau pour l’émancipation des femmes

 

Cette audience, loin d’être un simple protocole, incarne un message fort : l’AES place les femmes et les familles au cœur de son projet de société. En réunissant ces trois ministres, le Général Tiani envoie un signal clair aux populations du Sahel : l’unité et la solidarité sont les piliers d’un avenir commun. Alors que la région fait face à des défis complexes, de l’insécurité aux crises humanitaires, cette première réunion ministérielle pourrait marquer le début d’une nouvelle ère pour l’émancipation féminine et la cohésion sociale.

Par conséquent, en quittant le Palais présidentiel, les membres de la délégation ont exprimé leur optimisme quant aux résultats de cette réunion, promettant des actions concrètes pour traduire ces engagements en réalités tangibles. Pour les populations du Burkina Faso, du Mali et du Niger, cet événement est une lueur d’espoir, un pas de plus vers un Sahel uni, équitable et résilient.

Selon vous, quels sont les principaux défis que la Plateforme Unique des Femmes de l’AES devra relever pour atteindre ses objectifs d’égalité de genre dans la région ?

AS Alheri triomphe dans une finale épique au Stade Municipal

Niamey explose de joie : AS Alheri couronné Champion dans une finale épique 

 

Niamey, 18 juillet 2025 Dans une ambiance électrisante, la capitale nigérienne a vibré ce jeudi 17 juillet 2025 au rythme de la grande finale du Championnat régional de football de Niamey  disputée au  Stade Municipal. Sous le patronage distingué du Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey, cet événement a couronné une saison palpitante, marquée par l’engagement et le talent des équipes locales.

La victoire d’AS Alheri en finale du championnat régional réunit Niamey dans une célébration vibrante du sport, de la cohésion sociale et du talent local.

Duel au sommet : Alheri arrache la victoire aux tirs au but contre Guerriers FC 

En effet, le choc final a opposé AS Alheri à Guerriers FC dans une rencontre d’une intensité rare. Les deux formations, portées par la ferveur de leurs supporters, se sont livrées à un combat acharné, achevé sur un score vierge (0-0) à l’issue du temps réglementaire. Par ailleurs,  c’est au bout du suspense, lors de la séance décisive des tirs au but, qu’AS Alheri a arraché la victoire avec un score serré de 9-8, faisant chavirer de joie ses partisans.

Le sport, vecteur d’unité : le colonel Garanké salue talents et cohésion

 

Le Colonel Garanké, figure centrale de cette édition, a salué la performance des deux équipes, ainsi que le travail remarquable des organisateurs pour faire de cette finale un moment mémorable. « Cette compétition illustre la vitalité du football nigérien et l’esprit de cohésion qui anime notre jeunesse », a-t-il déclaré. Il a félicité AS Alheri pour son sacre et Guerriers FC pour leur combativité exemplaire. Ce championnat, riche en émotions, a également mis en lumière des talents prometteurs, prêts à porter haut les couleurs de Niamey.

La victoire d’AS Alheri en finale du championnat régional réunit Niamey dans une célébration vibrante du sport, de la cohésion sociale et du talent local.

Au-delà du terrain : le football fédère Niamey et inspire l’avenir

 

Au-delà de l’exploit sportif, cette finale a rassemblé les habitants de la capitale autour d’une passion commune, renforçant le lien social et la fierté régionale. Le Stade Municipal, théâtre de cette bataille épique, a vibré au rythme des encouragements et des célébrations, rappelant l’importance du sport comme vecteur d’unité et d’espoir.

En somme, la journée du jeudi 17 juillet 2025 restera gravée comme un jour de gloire pour AS Alheri et pour le football nigérien. Tandis que la saison s’achève en apothéose, Niamey se tourne déjà vers l’avenir, promettant de nouvelles compétitions où l’esprit sportif continuera de briller, unissant encore davantage la communauté autour de cette passion partagée.

Comment les victoires sportives comme celle-ci peuvent-elles contribuer au moral et à la cohésion sociale dans la  ville de Niamey  ?

Une prière unie pour la paix et la prospérité du Niger

Niamey Unie dans la Prière : la capitale implore paix et prospérité pour le Niger

 

Niamey, 18 juillet 2025 Dans un élan de ferveur spirituelle et d’unité, la ville de Niamey s’est rassemblée ce vendredi 18 juillet 2025 pour une prière collective d’Al-Kunut à la mosquée du vendredi du petit marché.  Initiée par le Colonel Boubacar Soumana Garanké, Administrateur Délégué de la Ville de Niamey et président de l’Association des Municipalités du Niger, cette cérémonie a en fait réuni les cœurs et les espoirs des Nigériens dans une invocation commune pour un avenir apaisé et prospère.

Communion spirituelle : un message puissant de paix et de cohésion

 

En effet, sous les voûtes de la mosquée, les fidèles ont imploré la bénédiction divine pour une paix durable, une saison des pluies généreuse, la santé de la population et une coexistence harmonieuse au sein de la nation. Par ailleurs, Cet instant de recueillement, empreint de solennité, a été suivi d’une campagne de sensibilisation en langues nationales, axée sur la promotion de la cohésion sociale et de la concorde. Un message fort, porté par la conviction que l’unité est la clé d’un Niger résilient face aux défis contemporains.

La prière d’Al-Kunut à Niamey rassemble autorités et citoyens autour d’une invocation pour la paix, la prospérité et la cohésion sociale dans un contexte national exigeant.

Mobilisation générale : les leaders et les citoyens unis pour le Niger

 

En plus, l’événement a rassemblé un parterre impressionnant de personnalités, parmi lesquelles le Gouverneur de la région de Niamey, des membres du gouvernement, des représentants du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), ainsi que des responsables communaux et des acteurs de la société civile. La présence massive de la population a renforcé le caractère inclusif de cette initiative, témoignant de l’engagement collectif pour un Niger uni et prospère.

Fraternité en action : Bâtir un avenir de solidarité et de prospérité dans la prière 

 

En outre, cette prière collective, loin d’être un simple rituel, incarne un appel vibrant à la solidarité et à la responsabilité partagée. En réunissant des citoyens de tous horizons, le Colonel Garanké et les autorités locales ont rappelé l’importance de conjuguer spiritualité et action pour bâtir une société où la paix et la fraternité prévalent. Les vœux exprimés lors de cette cérémonie – stabilité, abondance et harmonie – résonnent comme un engagement collectif pour un avenir meilleur.

En somme, Niamey a vibré au rythme d’une aspiration commune : celle d’un Niger guidé par la foi, l’unité et la volonté de surmonter ensemble les défis. Nous exprimons l’espoir que ces invocations trouveront un écho dans les jours à venir, pour un pays résolument tourné vers la prospérité et la concorde.