Helene Sourou, Author at Journal du niger - Page 30 sur 125

Niger : 2 millions de dollars pour la santé mondiale

Niamey, le 16 décembre 2024 – Le Niger vient de marquer un tournant dans sa coopération avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, le ministre de la Santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales, Dr Garba Hakimi, a annoncé une contribution de 2 millions de dollars américains au Fonds d’investissement de l’OMS.

Cette décision place le Niger en première ligne des pays africains engagés dans le renforcement des capacités de l’OMS à faire face aux défis sanitaires mondiaux. En effet, cette contribution s’inscrit dans le cadre d’un appel lancé par l’organisation pour un financement durable et piloté par les États membres.

Un signal fort pour la santé mondiale

L’engagement du Niger est d’autant plus significatif qu’il intervient dans un contexte où les besoins en matière de santé publique n’ont jamais été aussi importants. La pandémie de Covid-19 a mis en évidence les fragilités des systèmes de santé à travers le monde, soulignant la nécessité d’investir davantage dans la prévention, la préparation et la réponse aux crises sanitaires.

En contribuant au fonds d’investissement de l’OMS, le Niger démontre sa volonté de jouer un rôle actif dans la construction d’un avenir plus sain pour tous. Cette contribution permettra à l’OMS de renforcer ses programmes dans des domaines clés tels que la lutte contre les maladies infectieuses, la promotion de la santé maternelle et infantile et l’accès aux médicaments essentiels.

Les enjeux du financement de la santé mondiale

Le financement de la santé est un enjeu majeur pour le développement durable. Les pays à faibles revenus, comme le Niger, sont particulièrement vulnérables aux chocs sanitaires et ont besoin d’un soutien international accumulé pour renforcer leurs systèmes de santé.

En somme, cette annonce ouvre de nouvelles perspectives de coopération entre le Niger et l’OMS. Les deux parties vont désormais travailler ensemble pour définir les modalités de mise en œuvre de cette contribution et identifier les domaines prioritaires d’intervention.

 

Niamey célèbre l’éclosion d’un pôle d’excellence pour les jeunes filles

Niamey, le 16 décembre 2024 Une nouvelle ère s’ouvre pour l’éducation des jeunes filles au Niger. En effet, le Lycée Scientifique des Filles, fruit d’un investissement conséquent de l’État, a été officiellement inauguré ce jour à Koira Kano. Cet événement marque une étape importante dans la promotion de l’excellence académique et de l’émancipation de la gent féminine.

Née il y a deux ans, cette institution, initialement hébergée au sein du Lycée d’Excellence, dispose désormais de ses propres locaux flambant neufs. Doté d’infrastructures modernes et accueillantes, le lycée offre à 110 élèves, répartis en quatre classes, un environnement propice à l’apprentissage et à l’épanouissement.

Le Niger franchit une nouvelle étape dans l'émancipation des femmes  avec l'inauguration du Lycée Scientifique des jeunes Filles à Niamey, Un engagement fort pour l’éducation des jeunes filles

En inaugurant ce lycée, le gouvernement nigérien a démontré une fois de plus sa volonté de promouvoir l’égalité des chances et de renforcer le système éducatif. La Ministre de l’Éducation Nationale, Dr Élisabeth Shérif, a souligné l’importance de cet établissement pour l’avenir du pays : « Ces jeunes filles viennent de toutes les régions du Niger. » «En concevant ces filières scientifiques, elles nous donnent l’espoir d’une société sensibilisée à l’importance du savoir et également du savoir-faire, mis au service du développement de la nation. »

Un modèle pour l’avenir

Par ailleurs, le Lycée Scientifique des Filles est bien plus qu’une école, c’est un symbole. Il incarne l’ambition du Niger d’enseigner une nouvelle génération de femmes scientifiques capables de relever les défis de demain. Les élèves de ce lycée sont les pionnières d’un avenir prometteur.

Le Niger franchit une nouvelle étape dans l'émancipation des femmes avec l'inauguration du Lycée Scientifique des Filles à Niamey, Un écosystème propice à l’épanouissement

Les dortoirs, la cuisine, l’infirmerie et les salles de classe, tous les équipements sont conçus pour offrir aux élèves un cadre de vie confortable et sécurisé. Les professeurs, tous des spécialistes dans leur domaine, accompagnent les jeunes filles dans leur parcours scolaire et les encouragent à atteindre l’excellence.

Un événement marquant

La cérémonie d’inauguration a été un moment fort, marqué par la présence de nombreuses personnalités et par l’enthousiasme des élèves. Cet événement témoigne aussi de l’attachement du gouvernement et de la société civile à la cause de l’éducation des filles.

En conclusion, l’ouverture du Lycée Scientifique des Filles est une excellente nouvelle pour le Niger. Ce projet ambitieux est un investissement pour l’avenir et un signe d’espoir pour les générations futures.

Yako(Faso) : Une nouvelle usine de transformation de tomates

Yako, le 16 décembre 2024 –Le Burkina Faso franchit une nouvelle étape dans son développement économique. Ce matin, le Président du Faso, Ibrahim Traoré, a inauguré avec fierté la deuxième usine de transformation de tomates du pays, à Yako. Ce projet ambitieux, fruit de l’actionnariat populaire, témoigne de la volonté du peuple burkinabè de prendre son destin en main.

L’usine SOFATO, portée par la SCOOP-CA « Bâtir l’avenir », vient s’ajouter à celle de Bobo-Dioulasso, inaugurée il y a quelques semaines. Ces deux unités de production, symboles de l’industrialisation du secteur agricole, vont non seulement créer de l’emploi, mais aussi valoriser la production locale de tomates, renforçant ainsi la filière et les revenus des producteurs.

Lors de son discours, le Président Traoré s’est réjoui de cette majeure avancée : « Cette usine est plus qu’une simple infrastructure, c’est un espoir pour notre pays. Elle incarne notre volonté de bâtir un fort burkinabé, prospère et indépendant.» Le Chef de l’État a également salué l’engagement des acteurs de ce projet, soulignant que l’actionnariat populaire est un modèle à suivre pour le développement de notre pays.

Avec l’inauguration de cette nouvelle usine, le Burkina Faso se positionne comme un acteur de plus en plus important dans le secteur agroalimentaire en Afrique de l’Ouest. Ce succès est le fruit d’une politique volontariste en faveur de l’industrialisation et de l’autonomisation des populations.

Le Burkina Faso est en marche vers l’autosuffisance alimentaire et la diversification de son économie. Ce succès doit être une source d’inspiration pour toute l’Afrique.

En somme, cette journée historique a marqué un tournant pour le Burkina Faso. Le pays s’engage résolument sur la voie de l’émergence, portée par l’énergie et la détermination de son peuple. Ce projet ambitieux est aussi un symbole d’espoir et de renouveau pour le pays.

La CEDEAO accorde un sursis de six mois aux pays de l’AES

Abuja, le 16 décembre 2024 – Dans une décision qui pourrait relancer le dialogue, les dirigeants de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont accordé un délai supplémentaire de six mois aux gouvernements militaires du Burkina Faso, du Mali et du Niger pour reconsidérer leur retrait de l’organisation régionale. LA CEDEAO a pris cette décision lors d’un sommet extraordinaire tenu à Abuja ce dimanche.

Ultimatum repoussé : la CEDEAO donne une nouvelle chance à l’AES

Les trois pays avaient annoncé en janvier dernier leur intention de quitter la CEDEAO, une décision qu’ils avaient qualifiée d' »irréversible ». Ils avaient justifié leur choix par des divergences profondes avec les orientations de l’organisation, notamment sur les questions de gouvernance démocratique et d’intervention militaire.

Malgré cette annonce initiale, les dirigeants de la CEDEAO ont décidé de maintenir la porte ouverte à un retour de ces États membres. La CEDEAO a demandé au président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, nommé médiateur dans ce conflit, de poursuivre les négociations avec les autorités des trois pays. Les progrès réalisés jusqu’à présent ont encouragé les dirigeants de la CEDEAO à accorder un délai supplémentaire.

« Nous croyons en la possibilité d’un retour de ces pays au sein de notre communauté », a déclaré Omar Alieu Touray, président de la commission de la Cédéao. « Les défis auxquels nous sommes confrontés sont communs et nous sommes convaincus que nous pouvons les relever ensemble. »

De leur côté, les pays du Sahel ont réaffirmé leur volonté de poursuivre leur propre trajectoire, notamment en renforçant leur coopération au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES). Cependant, ils n’ont pas exclu la possibilité de reprendre le dialogue avec la CEDEAO.

En somme, la décision de la CEDEAO laisse la région perplexe, les avis étant partagés quant à ses implications futures. Si certains observateurs saluent cette volonté de dialogue, d’autres s’inquiètent des conséquences de cette crise sur l’intégration régionale et la stabilité du Sahel.

Les prochains mois s’annoncent donc déterminants pour l’avenir des relations entre la CEDEAO et les pays du Sahel. Les négociations seront complexes et délicates, mais elles offrent une lueur d’espoir pour une résolution pacifique de cette crise.

Le Mali, nouvel eldorado du lithium en Afrique

Bamako, le 16 décembre 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour le secteur minier malien. En effet, la mine de lithium de Goulamina, située à environ 180 kilomètres au sud de Bamako, est désormais opérationnelle. Ce projet, fruit d’un partenariat entre le gouvernement malien, la société australienne Leo Lithium et le géant chinois des batteries, Ganfeng Lithium, marque une étape décisive dans la diversification de l’économie malienne.

Le Mali fait son entrée dans l'ère du lithium, créant des milliers d'emplois et générant des revenus considérables pour l'économie nationale.Lithium : un tournant pour l’économie malienne

Grâce à ce projet, le Mali devient le premier producteur de spodumène en Afrique de l’Ouest, un minéral essentiel à la fabrication des batteries lithium-ion qui équipent les véhicules électriques et les appareils électroniques. Cette nouvelle activité minière va créer des milliers d’emplois directs et indirects, stimulant ainsi l’économie locale et nationale.

L’application concrète du nouveau code minier

La mise en exploitation de la mine de Goulamina est une illustration parfaite de l’application du nouveau code minier malien, adopté en 2023. Ce texte de loi prévoit notamment une participation de l’État malien de 30 % dans les projets miniers, garantissant ainsi une répartition équitable des bénéfices. Cette mine générera environ cent milliards de FCFA par an en recettes, renforçant ainsi les finances publiques du Mali.

Un partenariat gagnant-gagnant

Ce partenariat entre le Mali, l’Australie et la Chine est un modèle de coopération Sud-Sud. Il démontre que l’Afrique dispose de ressources naturelles considérables et que le développement de ces ressources peut se faire dans le respect des intérêts des populations locales et en tenant compte des enjeux environnementaux.

Les défis à relever

Si ce projet est une excellente nouvelle pour le Mali, il ne faut pas oublier les défis qui restent à relever. Le gouvernement devra prendre en compte les enjeux majeurs de la gestion des impacts environnementaux, de la formation des travailleurs et du développement des infrastructures pour assurer la pérennité de cette activité.

En somme, le lancement de la mine de lithium de Goulamina marque une étape importante pour le Mali, qui se positionne ainsi comme un acteur clé de la transition énergétique mondiale. Ce projet offre de belles perspectives de développement économique et social, mais il est essentiel de veiller à ce que les bénéfices soient équitablement répartis et que les impacts environnementaux soient maîtrisés.

Libre circulation : un pas de plus vers l’intégration sahélienne

Niamey, 14 décembre 2024 – Les ministres des Affaires étrangères des pays du Sahel se sont réunis hier à Niamey, capitale du Niger, pour discuter des moyens de renforcer la coopération régionale et, en particulier, de faciliter la libre circulation des personnes et des biens au sein de leur espace.

Dans un contexte marqué par les défis sécuritaires et les aspirations de développement des populations, les chefs de délégation ont réaffirmé leur engagement à œuvrer pour une intégration régionale plus poussée. Ils ont salué les décisions prises par les chefs d’État de la coalition, visant à répondre aux attentes de leurs citoyens en matière de mobilité et d’échanges économiques.

Harmonisation des documents et facilitation des échanges pour une libre circulation

Les ministres ont souligné l’importance de l’harmonisation des documents de voyage et d’identité, ainsi que la simplification des procédures douanières. Les ministres ont salué les conclusions des réunions à Bamako et à Niamey sur ces sujets, marquant ainsi une avancée significative vers une plus grande fluidité des échanges commerciaux.

Une sortie négociée de la CEDEAO

Tout en réaffirmant leur décision de se retirer de la CEDEAO, les ministres ont souligné leur volonté de trouver des modalités de sortie négociées, dans l’intérêt des populations concernées. Des commissions multidisciplinaires ont été mises en place pour examiner les différents aspects de cette transition.

La lutte contre le terrorisme

Les ministres ont également évoqué la question de la sécurité, saluant les succès remportés par les forces armées conjointes dans la lutte contre le terrorisme. Ils ont souligné l’importance de poursuivre la coopération en matière de défense et de sécurité pour garantir la stabilité de la région.

Une coopération renforcée au service des populations

En somme, cette rencontre ministérielle témoigne de la volonté des pays du Sahel de renforcer leur coopération et de construire un avenir commun. Les décisions prises lors de cette réunion devraient contribuer à améliorer les conditions de vie des populations, à stimuler les échanges économiques et à renforcer la stabilité régionale.

Comment le programme d’affiliation 1xBet aide à changer des vies : le cas d’un partenaire du Cameroun

Le succès dans le marketing d’affiliation est possible pour quiconque est prêt à travailler de manière systématique et persistante. L’histoire de notre héros camerounais Franck Ytch est un exemple qui montre que même sans grandes opportunités initiales, il est possible d’obtenir des résultats impressionnants, de construire un revenu stable et de réaliser ses projets ambitieux.

Premiers pas : motivation et choix d’une orientation

Ingénieur systèmes et réseaux, notre héros combinait son emploi principal avec la recherche de sources de revenus supplémentaires. La connaissance du programme d’affiliation 1xBet a commencé après qu’il a vu le compte de son ami et ses résultats.

« J’ai été choqué par les revenus de mon ami et j’ai décidé d’essayer. C’était difficile au début, mais j’ai compris que la patience et la persévérance mèneraient au succès. »

Outils et stratégies de promotion clés

Ayant travaillé pendant plus de quatre ans dans le programme d’affiliation, Franck a fait un usage intensif des canaux et des ressources numériques. Les étapes clés qui l’ont mené au succès sont :

  1. Approche multicanal de la promotion.

Il utilise Facebook, Instagram, Twitter, YouTube et Telegram pour attirer son public. Cependant, il se concentre surtout sur Telegram, qui lui permet d’établir une communication directe avec des clients du monde entier.

  1. La confiance et l’honnêteté comme base de la promotion.

Sur sa chaîne Telegram, il partage son expérience personnelle, parle des possibilités de gain et discute ouvertement avec ses abonnés. Cela lui permet d’établir des relations de confiance et de créer un public fidèle.

  1. Travail quotidien et persévérance.

Aujourd’hui, il atteint 5 à 10 inscriptions par jour, mais cela a nécessité des mois de travail acharné.

Les résultats : des revenus réguliers aux nouveaux projets

À l’heure actuelle, son revenu hebdomadaire moyen est de 200 dollars, et le montant maximal atteint 800 dollars en une semaine. Ces résultats lui ont permis d’ouvrir un magasin de vêtements, première étape vers la réalisation de projets plus ambitieux.

Commentaire direct :

« Le programme d’affiliation a radicalement changé ma vie. Même si mes revenus ne sont pas encore énormes, je me débrouille bien et je construis mon avenir. »

Conseils pour les nouveaux affiliés

Son parcours vers le succès met en lumière quelques recommandations essentielles à l’intention des débutants :

  1. Travaillez sans relâche.

Les débuts sont toujours difficiles, mais des efforts constants au fil du temps donnent des résultats.

  1. Étudiez votre public.

Comprendre les intérêts et les préférences de vos clients vous aidera à créer des campagnes plus efficaces.

  1. Soyez patient.

Comme le dit notre héros, la patience est la clé du succès.

  1. Utilisez activement les outils à votre disposition.

En prêtant attention aux analyses, en testant différents canaux et en vous engageant auprès de votre public, vous optimiserez votre approche.

Des projets pour l’avenir

Franck Ytch ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Son objectif est d’ouvrir des salles de jeux dans différentes régions du Cameroun. Ce projet ne vise pas seulement à promouvoir 1xBet, mais aussi à créer des emplois, ce qui réduira le chômage dans le pays.

« Je veux que mon succès aide les autres. Les salles de jeux ne seront pas uniquement un moyen de gagner de l’argent, mais aussi de contribuer au développement de l’économie de ma région. »

Conclusion

L’histoire de Franck Ytch est un exemple de la façon dont le programme d’affiliation 1xBet peut être un tremplin pour réaliser ses ambitions et atteindre la stabilité financière. Son expérience est inspirante et montre que le succès dépend de l’honnêteté, du travail acharné et de la volonté d’apprendre.

Si vous voulez en faire autant, commencez à vous renseigner sur le programme d’affiliation 1xBet dès aujourd’hui et faites le premier pas vers la réalisation de vos objectifs.

La lutte contre la drogue se poursuit à Tahoua

Tahoua, le 13 décembre 2024 – Une opération conjointe menée par les éléments de l’Office Central de Répression des Trafics Illicites des Stupéfiants (OCRTIS) a permis de démanteler un réseau de trafic de drogue à Tahoua. Lors d’une cérémonie organisée ce vendredi 13 décembre 2024 au sein de la direction régionale de la Police nationale, le gouverneur de la région, le Colonel-Major Oumarou Tawayé Moussa, a félicité les forces de l’ordre pour cette importante saisie.

Une saisie record de drogue

Les deux trafiquants interpellés, de nationalité nigérienne, ont été appréhendés séparément les 7 et 11 décembre dernier à la barrière de Konni. Les forces de l’ordre ont mis la main sur une quantité impressionnante de stupéfiants : 39 briques de cannabis (44 kg), dont 4 boules de type amnesia (la plus chère), de 11.000 comprimés de diazepam D5, de 4 grammes de crack (cocaïne) dissimulés dans des sacs d’arachide ainsi que 3 téléphones portables et une somme de 125.000 FCFA.

Une vigilance accumulée des forces de l’ordre

Le gouverneur de Tahoua salue la perspicacité des forces de l’ordre qui ont réussi à déjouer les stratagèmes des trafiquants. Il a souligné la nécessité d’une vigilance constante face à ces individus qui mettent en danger la jeunesse et la sécurité de la région.

Les autorités ont également appelé la population à jouer un rôle actif dans la lutte contre le trafic de drogue en signalant tout comportement suspect. Le directeur régional de la Police nationale, le commissaire-divisionnaire Mamadou Doumbia, a rappelé l’importance d’une collaboration étroite entre les forces de l’ordre et la population.

Les défis de la lutte contre le trafic de drogue

Le procureur près du tribunal de grande instance de Tahoua a pour sa part souligné l’importance de doter l’OCRTIS des moyens nécessaires pour mener à bien ses missions. Il a aussi appelé à une meilleure coordination entre les différents acteurs impliqués dans la lutte contre le trafic de drogue.

En conclusion, cette saisie démontre l’importance de la détermination des autorités à lutter contre le trafic de drogue à Tahoua. Cependant, la victoire dans ce combat exige l’engagement de tous les acteurs de la société.

 

Un jeune talent sacré lauréat de la première édition de « La Plume Humanitaire »

Niamey, le 13 décembre 2024 – La première édition du concours « La Plume Humanitaire » s’est clôturée en beauté, jeudi dernier, au Centre International des Conférences Mahatma Gandhi de Niamey. En effet, cet événement, placé sous le haut patronage du Ministre de la Justice, a rassemblé les meilleurs étudiants, jeunes magistrats et auditeurs de justice du pays autour de la question du droit international humanitaire (DIH).

Boubacar Abdou Abdoul Djalilou, grand vainqueur de « La Plume Humanitaire »

C’est finalement Boubacar Abdou Abdoul Djalilou de l’université UASTM qui a remporté le premier prix de ce concours, récompensant ainsi l’excellence de son travail et sa profonde compréhension du DIH. Les deux autres lauréats, Ali Adamou Abdou la Malik de Swiss UMEF et Youssouf Ousmane Islam de l’université de Tahoua, ont également été salués pour la qualité de leurs essais.

Douze candidats, sélectionnés parmi les plus brillants étudiants et jeunes juristes du pays, ont participé à cette première édition. Ils ont tous démontré un intérêt marqué pour le DIH et une capacité à mener des recherches approfondies sur des sujets complexes.

Un événement marquant pour le 75ᵉ anniversaire des Conventions de Genève

Organisé dans le cadre de la célébration du 75ᵉ anniversaire des Conventions de Genève, ce concours a permis de mettre en lumière l’importance de ces textes fondamentaux du droit international humanitaire. Les participants ont ainsi pu approfondir leurs connaissances sur les règles de la guerre et les protections accordées aux civils en temps de conflit armé.

Un écosystème favorable à la promotion du DIH

Le Niger, partie aux Conventions de Genève, s’est engagé à promouvoir et à mettre en œuvre le DIH. Le concours « La Plume Humanitaire » s’inscrit pleinement dans cette dynamique, en offrant aux jeunes générations une plateforme pour exprimer leurs idées et contribuer au développement d’une culture du respect du droit international humanitaire.

Le RASAPRES DIH DH, la coopération suisse et le ministère de la Justice ont joué un rôle essentiel dans le succès de cette première édition. Leurs efforts conjugués ont permis aussi de créer un événement de qualité, qui a suscité un vif intérêt auprès des jeunes et des acteurs de la société civile.

 

Barsik offre l’eau de la vie aux villages nigériens

Dohe, le 13 décembre 2024 –Dans une région où l’accès à l’eau potable reste un défi majeur, l’association Barsik a entamé un projet d’envergure : la construction de cinq puits dans des villages nigériens.  En effet, ce geste humanitaire va transformer la vie de centaines, voire de milliers de personnes, en leur offrant un accès vital à une ressource essentielle.

 L'association Barsik transforme la vie de milliers de Nigériens en leur fourniture de l'eau potable grâce à la construction de 5 puits.Un premier puits déjà en fonction

Par ailleurs, le premier puits est déjà opérationnel et fournit de l’eau potable à une communauté de Dohe depuis hier. La population est soulagée de voir ses besoins les plus fondamentaux enfin satisfaits. Les quatre autres puits seront en service dans les semaines à venir, à raison d’un par semaine, multipliant ainsi l’impact de ce projet.

Un partenariat fructueux

Ce projet ambitieux a vu le jour grâce à la collaboration fructueuse entre l’association caritative Abode of Goodness et les partenaires locaux. Ensemble, ils ont travaillé d’arrache-pied pour construire des infrastructures durables, conçues pour durer des générations.

Un espoir renouvelé

En offrant un accès à l’eau potable, Barsik ne fournit pas seulement une ressource essentielle, mais offre également de nouvelles perspectives. Ces puits permettront d’améliorer les conditions de vie, de favoriser le développement économique et de renforcer la résilience des communautés face aux sécheresses et aux pénuries d’eau.

Un appel à la solidarité

L’accès à l’eau potable est un enjeu de santé publique majeur. Face à cette réalité, Barsik s’efforce de combler le fossé en fournissant des puits, pierre angulaire d’une meilleure qualité de vie. Barsik invite chacun à se joindre à cette initiative en soutenant leurs actions. Chaque don, aussi petit soit-il, contribue à changer des vies et à construire un meilleur avenir pour les populations les plus vulnérables.