Helene Sourou, Author at Journal du niger - Page 52 sur 88

Honneur pour les Panafricanistes Kemi Seba et Nathalie Yamb

Dans une rencontre historique, Kemi Seba et Nathalie Yamb ont été honorés par le président Tiani et le Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) pour leur engagement indéfectible dans la lutte anticolonialiste et leur leadership éclairé dans le mouvement panafricain du 21ème siècle. Accompagnés de l’éminent Abdourahamane Oumarou, figure de proue du panafricanisme au Niger, ils ont reçu des éloges pour leur combat contre le néocolonialisme, un fléau qui continue d’affecter le continent africain.

Honneur pour les Panafricanistes Kemi Seba et Nathalie Yamb dans leur lutte contre le néocolonialisme et leur leadership éclairéFraternité Transfrontalière: Bénin et Niger Unis dans la Lutte contre le Néocolonialisme

Lors de cette audience solennelle, Kemi Seba a souligné la fraternité séculaire entre les peuples du Bénin et du Niger, exprimant une détermination sans faille à éradiquer l’influence néocoloniale, exacerbée par la collaboration entre les dirigeants français et béninois, qui, selon lui, mine les relations diplomatiques entre ces deux nations voisines. Il a dénoncé la collaboration entre Emmanuel Macron et Patrice Talon comme un parasitage des liens diplomatiques, reprenant les termes du général Tiani.

Nathalie Yamb, quant à elle, a réitéré l’importance cruciale du CNSP dans la révolution panafricaine contemporaine, affirmant que l’organisation joue un rôle pivot dans l’éveil politique et social de la jeunesse africaine. Elle a rappelé que les actions et les idéaux du CNSP resteraient gravés dans la mémoire collective, inspirant les générations futures à poursuivre la lutte pour l’autodétermination et la souveraineté.

 Reconnaissance officielle des efforts des activistes panafricains Kemi Seba et Nathalie Yamb

Cette réception est un témoignage de la reconnaissance officielle des efforts de ces activistes panafricains et de leur influence sur le discours politique actuel. Elle marque également un moment significatif dans l’histoire du panafricanisme, soulignant l’unité et la solidarité entre les leaders africains dans leur quête commune pour la liberté et la justice.

Par ailleurs, le président Tiani et le CNSP ont réaffirmé leur soutien aux initiatives de Seba et Yamb, reconnaissant que leur travail a contribué à sensibiliser et à mobiliser les citoyens africains autour des enjeux de l’indépendance culturelle, économique et politique. Cette rencontre, riche en symbolisme, renforce l’engagement du CNSP à soutenir les mouvements sociaux qui aspirent à un avenir africain construit sur les fondements de l’équité et de l’autonomie.

En conclusion, la réception de Kemi Seba et Nathalie Yamb par le président Tiani et le CNSP constitue un chapitre marquant dans l’histoire du panafricanisme. Elle réaffirme l’urgence de la lutte contre le néocolonialisme et la nécessité d’un leadership panafricain fort pour guider le continent vers un avenir de prospérité partagée et de respect mutuel entre les nations.

Abuja, épicentre stratégique pour l’avenir du riz en Afrique

Au cœur de la capitale nigériane, un événement d’envergure se prépare à redéfinir le paysage rizicole de l’Afrique de l’Ouest. Du 21 au 23 mai 2024, l’Observatoire du riz de la CEDEAO inaugure sa première Assemblée générale, une initiative pionnière sous le signe de l’ambition et de la collaboration.

Sous les auspices de la CEDEAO, cette rencontre de haut niveau s’articule autour d’une vision : catalyser la transformation d’un secteur clé pour la sécurité alimentaire régionale. Les délégués convergent vers Abuja avec un objectif commun, celui de synchroniser leurs efforts pour surmonter les barrières qui freinent l’épanouissement de la filière riz.

Les Défis du secteur rizicole

L’allocution inaugurale de M. Alain SY Traoré, figure de proue de l’agriculture au sein de la CEDEAO, a mis en exergue l’importance cruciale de cette première assemblée. Représentant la Commissaire aux Affaires Economiques et à l’Agriculture, M. Traoré a salué l’engagement des membres de la CEDEAO et la présence significative de partenaires de renom. Parmi eux, la fondation philanthropique de Bill & Melinda Gates, l’institut AfricaRice, ainsi que des acteurs majeurs de la coopération internationale et du développement économique.

La problématique centrale, soulevée par la Commissaire Massandjé TOURE-LITSE, réside dans les défis multiples auxquels le secteur rizicole doit faire face. La productivité stagnante, les entraves au commerce, la coordination sectorielle lacunaire, les infrastructures déficientes et la menace constante du changement climatique sont autant de facteurs qui pèsent sur la compétitivité du riz ouest-africain.

Face à ces enjeux, la CEDEAO et ses partenaires esquissent une feuille de route stratégique. L’objectif est de  Fédérer les acteurs clés autour d’une table ronde pour élaborer des solutions concrètes. L’assemblée se veut être le creuset d’où émergeront des initiatives innovantes, capables de stimuler la productivité, d’optimiser l’accès aux marchés et de renforcer la résilience face aux aléas climatiques.

Vers une solution intégrée pour le riz en Afrique de l’ouest

En effet, Pour faire face aux défis du secteur rizicole en Afrique de l’Ouest, il est impératif de mobiliser les acteurs clés de l’ORCE, aligner les stratégies et élaborer un plan d’action pour stimuler la croissance du secteur. Cela implique l’amélioration des politiques, l’adoption de pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, la mise en lumière du rôle des gouvernements, des bailleurs de fonds et des partenaires de développement, l’augmentation de l’accès aux marchés, l’encouragement de la recherche et du développement, et le renforcement de l’intégration de la chaîne de valeur, conformément aux recommandations qui seront émises lors des engagements pris. Ces propos ont été tenus par le Commissaire aux Affaires Économiques et à l’Agriculture de la Commission de la CEDEAO.

En outre, lors de l’ouverture de la première Assemblée générale, M. Abdullahi Abubakar, en charge de l’Agriculture et représentant M. Abubakar KYARI, ministre fédéral de l’Agriculture et du Développement rural du Nigeria, a salué l’initiative de la CEDEAO qui a mené à la création de l’ERO. L’objectif de cette entité est de développer un secteur rizicole compétitif en Afrique de l’Ouest pour répondre aux besoins locaux, améliorer également les conditions de vie et favoriser le développement économique de la région.

L’Assemblée générale de l’Observatoire du riz de la CEDEAO se tient à Abuja, au Nigeria, pour aligner les stratégiesCréation de l’observatoire du Riz

Il est important de rappeler que l’ERO, institué par la CEDEAO, est le fruit d’un constat : malgré une amélioration de la production de riz dans les pays d’Afrique de l’Ouest depuis la crise alimentaire de 2008, la production ne couvre que 60 % de la demande croissante et des préférences régionales. Pour remédier à cette situation, la CEDEAO a lancé en 2015 l’Offensive riz de la CEDEAO, un cadre stratégique intégré dans la politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP) et aligné sur le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA). L’ambition est de susciter une reprise durable et robuste de la production rizicole en Afrique de l’Ouest et de soutenir les stratégies nationales de développement de la riziculture (SNDR).

Par ailleurs, en décembre 2021, la Commission de la CEDEAO, appuyée par ses partenaires, a inauguré l’Observatoire du riz de la CEDEAO (ORCE), une initiative née d’un plan d’action régional et enrichie par des ateliers consultatifs, des études de terrain et les recommandations de collaborateurs des domaines public et privé des États membres. Cet observatoire est un jalon crucial dans la quête d’amélioration de la production, de la distribution et de la sécurité alimentaire du riz en Afrique de l’Ouest.

Réunion des Acteurs Clés

L’Assemblée générale de l’ORCE, qui rassemble les acteurs clés de la filière rizicole, marque un moment significatif dans cette démarche. Elle voit la participation active des organisations paysannes, des transformateurs, des meuniers, des commerçants, des distributeurs, des fournisseurs d’intrants, des instituts de recherche, des représentants gouvernementaux et ministériels, des entités de développement, des ONG, des institutions financières, ainsi que des sections nationales de l’ORCE et des membres des groupes de travail sur le riz. Ensemble, ils œuvrent à forger un avenir où la sécurité alimentaire du riz est garantie, soutenant ainsi les populations et l’économie de la région.

En somme, Cette première Assemblée générale de l’Observatoire du riz de la CEDEAO marque un tournant décisif. Elle incarne l’espoir d’une ère nouvelle pour le riz en Afrique de l’Ouest, où la solidarité régionale et l’expertise collective s’unissent pour garantir un avenir prospère à la filière rizicole.

Le Président Tiani échange avec la société civile nigérienne

Son Excellence le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) et Chef de l’État du Niger, a reçu en audience les représentants des organisations de la société civile nigérienne le samedi 18 mai 2024. Ces organisations, considérées comme les véritables forces vives de la nation, sont engagées au premier plan dans la lutte pour la souveraineté du pays.

En effet, lors de cette importante rencontre, qui s’est déroulée en présence des membres du CNSP, le Président Tiani a échangé avec les acteurs de la société civile sur divers sujets d’intérêt national, notamment l’éducation, l’énergie et la sécurité. Les discussions ont permis d’aborder en profondeur les défis auxquels fait face la nation et d’explorer des solutions efficaces et durables.

Par ailleurs, Les représentants de la société civile ont saisi cette opportunité pour exprimer leurs préoccupations, leurs attentes et leurs propositions au Chef de l’État. Le Président Tiani a salué l’engagement et le dynamisme de ces organisations, qui œuvrent sans relâche pour la promotion des valeurs citoyennes, la défense des droits humains et le renforcement de l’État de droit.

Il a réaffirmé la détermination de son gouvernement à collaborer étroitement avec ces acteurs clés en vue de bâtir un Niger plus juste, plus prospère et plus solidaire. Cette audience a également souligné l’importance cruciale de l’éducation, de l’énergie et de la sécurité dans le processus de développement du pays. En somme, le Chef de l’État a réitéré son engagement à mettre en œuvre des politiques ambitieuses et innovantes dans ces domaines stratégiques, en concertation avec l’ensemble des partis.

Le général Tiani exprime ses condoléances à l’Iran

Dans un communiqué officiel publié le lundi 20 mai 2024, le Président du conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) et chef de l’État du Niger, le Général de Brigade Abdourrahmane Tiani, a exprimé sa profonde tristesse suite au décès du Président de la République Islamique d’Iran, Son Excellence Monsieur EBRAHIM RAÏSSI. Le président iranien a perdu la vie dans un tragique accident d’hélicoptère le 19 mai 2024, en compagnie de certaines personnalités iraniennes.

Le Chef de l’État nigérien a présenté ses condoléances les plus attristées au gouvernement et au peuple iraniens, ainsi qu’à la famille éplorée de l’illustre disparu et à toutes les familles endeuillées. Il a également assuré le peuple iranien de la solidarité et du soutien du peuple nigérien dans cette dure épreuve.

Le général de brigade Abdourahmane Tiani a conclu en priant pour le repos éternel de l’âme du Président RAÏSSI et des autres victimes, tout en exprimant sa très haute et fraternelle considération envers le Président et Cher frère. La foi en Allah et les valeurs profondes du grand peuple iranien lui permettront, selon lui, de surmonter cette situation pénible avec dignité et courage.

Il est important de noter que le décès soudain du Président Ebrahim Raïssi a provoqué une onde de choc à travers le monde, entraînant une série de condoléances de la part de dirigeants internationaux. En plus, cette tragédie survient trois ans après l’arrivée au pouvoir de Raïssi, un ultraconservateur considéré comme un successeur potentiel du Guide suprême Ali Khamenei. Le pays observe cinq jours de deuil, reflétant la profondeur du deuil national et le respect pour un président qui a été un fervent défenseur de la République islamique.

Niamey, pionnière de l’unité sahélienne: Une route vers l’avenir

Niamey, le 16 mai 2024 – Dans la capitale du Niger, une assemblée de haut niveau s’est tenue aujourd’hui, marquant ainsi une avancée déterminante pour l’édification d’une union entre trois nations du Sahel. En effet, les dignitaires du Burkina Faso, du Mali et du Niger ont convergé vers Niamey, non seulement dans l’optique de poser les jalons d’une confédération ambitieuse mais également pour consolider les liens de fraternité et de coopération.

Diplomatie en action : Les architectes du Sahel œuvrent pour l’intégration régionale à Niamey

Par ailleurs, la séance d’aujourd’hui avait pour dessein de peaufiner les préparatifs en vue de l’importante assemblée des Ministres des Affaires étrangères prévue pour le lendemain. Au cœur des échanges, ils ont  examiné non seulement la structure de la future entité régionale, mais ils ont  également accordé une attention particulière à l’ébauche du traité fondateur, aux directives qui régissent le conseil présidentiel et à la déclaration qui encadrera le sommet fondateur.

De surcroît, les éminences présentes ont œuvré à l’unification des documents stratégiques, veillant à ce qu’ils incarnent fidèlement non seulement les desseins des dirigeants mais aussi les espoirs des citoyens de l’Alliance. Adani Illo, à la tête de la délégation nigérienne, a mis en exergue l’importance cruciale de ces délibérations pour l’Alliance, soulignant par là même les enjeux colossaux dans les sphères de la défense, de la diplomatie et du développement.

Enfin, cette réunion s’insère dans un élan initié le 15 février à Ouagadougou, où les premiers dialogues entre les hauts fonctionnaires ont eu lieu. L’engagement des trois États se manifeste par une quête de consensus, visant non seulement à établir des fondations robustes pour une confédération unie et florissante, mais aussi à tracer une nouvelle voie pour la prospérité partagée dans la région du Sahel. Ainsi, l’assemblée de Niamey, riche en promesses, s’achève sur une note d’espoir, annonçant l’aube d’une ère nouvelle pour les peuples de cette dynamique alliance sahélienne.

Action citoyenne : Front Uni contre la corruption routière au Faso

Dans le but de stopper la corruption , le département gouvernemental responsable des Transports au Burkina Faso a émis une convocation solennelle à l’endroit de la population pour une implication directe dans l’éradication de la corruption qui sévit au sein de l’administration des transports.

Par le biais d’une annonce officielle diffusée ce jeudi, l’autorité a sollicité l’engagement des citoyens informés de manœuvres frauduleuses à les signaler sans délai aux instances habilitées, en composant le service d’assistance téléphonique gratuit 1010.

Cette démarche est la conséquence directe de révélations récentes concernant des agissements corrompus au sein de diverses entités du ministère, y compris l’Organisme national de sécurité routière (ONASER), l’Administration centrale des transports terrestres et maritimes (DGTTM), ainsi que les directions régionales supervisant les transports et leurs partenaires privés, y compris les écoles de conduite.

Face à cette situation, Roland Somda, ministre des Transports, a lancé un appel pressant aux habitants pour qu’ils résistent à l’intimidation et à la démoralisation potentielles des corrupteurs et qu’ils prennent l’initiative de rapporter tout incident suspect. Il a souligné avec force que la corruption constitue un cancer social entravant le progrès national.

En conclusion, le ministère des Transports incite avec ferveur les citoyens à s’engager pleinement dans cette campagne et à prendre part activement à l’assainissement du secteur des transports, essentiel à la bonne marche du pays.

Le Forum Schuman d’Abuja trace la route pour la Défense

Abuja, le carrefour de la sécurité, a brillamment accueilli, le 15 mai 2024, un événement précurseur d’envergure internationale : le Forum Schuman d’Abuja. Placé sous le thème « Renforcer la sécurité par le partenariat », cet événement a constitué un jalon essentiel dans le renforcement des liens entre l’Afrique de l’Ouest et l’Europe.

Par ailleurs, une pléiade d’experts en sécurité, d’universitaires et d’acteurs de la société civile s’est rassemblée au Centre national de lutte contre le terrorisme afin de débattre des défis sécuritaires régionaux, soulignant ainsi l’importance capitale des alliances avec l’Union Européenne pour le Nigeria et ses pays voisins.

En outre, le forum a été le théâtre de dialogues stratégiques, jetant les bases des discussions approfondies prévues lors du principal Forum Schuman à Bruxelles. L’objectif étant de forger une plateforme solide pour les enjeux sécuritaires pressants de l’Afrique de l’Ouest.

De plus, Charlie Stuart, représentant de l’UE, a éclairé l’assemblée sur la nécessité d’ajuster la coopération à chaque contexte national, mettant en exergue le développement économique comme fondement de la sécurité. Parallèlement, l’ambassadeur Abdel-Fatau Musah a évoqué les initiatives de la CEDEAO visant à contrer la menace terroriste.

De surcroît, les débats ont exploré la nécessité de redéfinir l’architecture sécuritaire face à l’escalade de la menace dans le Sahel et sa diffusion vers les États côtiers. L’Union Européenne s’est révélée être un partenaire indispensable dans l’élaboration de cette nouvelle dynamique sécuritaire.

En conclusion, les perspectives dégagées lors de ce forum d’Abuja constitueront un socle pour les échanges à Bruxelles, avec la ferme intention de renforcer les partenariats transcontinentaux pour une Afrique de l’Ouest plus sûre et plus stable. Cette rencontre a donc marqué un pas significatif vers une collaboration accrue, promettant des avancées notables dans la quête d’une sécurité durable pour la région.

Niger : Relance économique par la Banque Mondiale

Dans un élan de soutien sans précédent, la Banque Mondiale a annoncé une initiative majeure pour le Niger, marquant le début d’une ère nouvelle pour le développement national. En effet, Cette mesure, initiée par Han Fraeters, le Responsable des opérations pour le Niger, signale une relance significative des projets de développement et une préparation active de nouvelles initiatives.

La Banque Mondiale donne un coup d’accélérateur aux Projets du Niger

Par ailleurs, la Banque Mondiale a mis en lumière son plan d’action stratégique, visant à accélérer la mise en œuvre des projets existants et à en introduire de nouveaux. Parmi les mesures clés, l’institution a priorisé la finalisation rapide de 107 contrats en attente, ainsi que l’optimisation des procédures de remboursement et de financement.

Pour garantir une efficacité maximale, la Banque Mondiale insiste sur une coordination accrue et un suivi méticuleux des projets. Les équipes doivent fournir des rapports hebdomadaires qui détaillent les progrès réalisés, finalisent les contrats et effectuent les transactions financières, garantissant ainsi une transparence et une responsabilité exemplaires.

La reprise des décaissements par la Banque Mondiale constitue un engagement ferme envers le Niger, reflétant la volonté de l’institution de se tenir aux côtés du pays dans sa quête de progrès. En somme, cette décision promet de catalyser des avancées significatives dans des domaines essentiels tels que l’éducation, la santé, l’agriculture et les infrastructures, posant les jalons d’un avenir prospère pour le Niger.

Élan Africain : Innovation et unité pour l’Avenir

Lors de la retraite annuelle de la Division de la planification stratégique, de la surveillance et des résultats du SPORD, le Secrétaire exécutif Claver Gatete a rejoint le personnel pour réaffirmer l’engagement collectif envers le mandat de la Commission Économique pour l’Afrique (ECA).

L’unité et l’innovation : Un engagement renouvelé pour les Agendas 2030 et 2063

“Quels que soient nos titres, nous sommes unis pour réaliser le mandat principal de l’ECA pour le développement socio-économique de l’Afrique à travers les Agendas 2030 et 2063,” a déclaré Gatete. Cette déclaration souligne l’importance de la collaboration et de l’unité dans la poursuite des objectifs de développement durable et de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine.

Par ailleurs, Gatete a mis en lumière le rôle vital joué par chaque membre du SPORD dans le suivi de la mise en œuvre des projets, en garantissant la qualité et en favorisant la cohérence à l’échelle du système. “Vous jouez tous un rôle crucial… Favorisons des moyens innovants pour relever les défis et produire des résultats pour les États membres,” a-t-il encouragé.

L'unité et l'innovation sont devenues les moteurs du développement socio-économique de l'Afrique, guidés par l'ECA et les Agendas 2030/2063Le Secrétaire exécutif a également souligné le rôle du SPORD dans l’alignement des contributions de l’ECA au Sommet du futur et dans l’adressage des problèmes ayant un impact sur les pays. Il a mentionné les Régimes de Valeur Compétitive (RVC) comme un moyen d’attirer les investissements du secteur privé dans des domaines clés tels que la technologie, l’innovation, la gestion de la dette et la gouvernance mondiale.

En conclusion, Gatete a souligné l’importance de l’engagement individuel et de l’unité “dans nos divers rôles pour atteindre le mandat principal de l’ECA et le cheminement vers le développement socio-économique de l’Afrique.”

Cap sur l’avenir : un Niger uni et prospère

Dans la capitale du Niger, une réunion de haut niveau s’est tenue ce mercredi, marquant un moment clé dans l’administration territoriale du pays. Le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, à la tête de l’État, a accueilli avec solennité les dirigeants des huit régions nationales.

Renforcement des stratégies régionales

En effet, le Général de Brigade Mohamed Toumba, éminent Ministre d’État, a mené cette assemblée de gouverneurs récemment investis. Ils ont exposé un bilan de leurs initiatives et les obstacles rencontrés depuis leur nomination en août dernier.

La présence notable du commandement supérieur de la sécurité nationale souligne l’importance de cette audience. Elle reflète l’engagement des autorités à renforcer la gouvernance locale et le développement régional.

Le Président Tiani orchestre un dialogue stratégique avec les gouverneurs pour dynamiser la gouvernance pour l'avenir du NigerUn échange constructif pour l’avenir du Niger

L’initiative du Président Tiani vise à instaurer un échange continu avec les autorités régionales, afin d’assurer une compréhension approfondie des conditions locales et l’efficacité des politiques publiques. Par conséquent, l’accent est mis sur une gouvernance attentive aux besoins régionaux, avec l’objectif de valoriser les atouts locaux et de stimuler un progrès équilibré et pérenne à travers le pays.

En outre, les discussions ont permis de faire le point sur la situation actuelle des territoires, d’identifier les principaux enjeux de sécurité, de développement socio-économique et de gouvernance, et de tracer des lignes directrices pour l’avenir. Enfin, l’engagement du Président Tiani envers l’établissement d’une gouvernance participative souligne sa volonté de répondre avec efficacité aux aspirations des citoyens.