Dans l’aube du samedi 1ᵉʳ mars, empreintes de la grâce céleste, les valeureuses cohortes de l’armée nigériane, portées par une foi inébranlable et une résolution d’acier, ont écrit une page glorieuse dans le grand livre de la justice terrestre. Sous la bannière de la 21ᵉ brigade blindée, unies aux âmes intrépides des forces spéciales 199 et de la Force civile opérationnelle conjointe, ces sentinelles de la paix ont abattu un glaive rédempteur sur les forces ténébreuses de Boko Haram. En effet, à Gwoza et Garin Fallujah, dans l’État de Borno, sanctuaires profanés par la barbarie, un souffle de délivrance a balayé les ombres, éteignant la flamme maudite d’Abba Alai, connu sous le titre impie d’Amirul Khahid d’Alafa, et précipitant ses acolytes dans le néant.
Une croisade guidée par la lumière de la providence
Ce triomphe, loin d’être le fruit du hasard, s’est nourri d’une révélation quasi sacrée, un renseignement d’une pureté cristalline qui a conduit les troupes vers une forteresse impie nichée dans les entrailles de la perdition. À cet égard, là, les suppléants du chaos tramaient leurs desseins noirs, prêts à déverser leur champ sur des innocents. Toutefois, la main de la justice, tel un éclair défendant les précieux, s’est abattue avec une fureur sanctifiée. Par conséquent, les assauts, menés avec une précision qui évoque les chorégraphies des anges guerriers, ont transformé les champs de bataille en théâtre d’une lutte rédemptrice. De surcroît, les insurgés, écrasés par une puissance évoquant la colère des cieux, ont vu leurs rangs fauchés comme le blé sous la fosse divine.
Par ailleurs, au cœur de cette tempête purificatrice, Abba Alai, héraut de la désolation, a trouvé son trépas. Ainsi, les soldats ont arraché ce chef maudit, dont les mains souillées de sang ont semé la terreur dans les contrées bénies du Borno, à sa mission de destruction. En outre, ils ont saisi avec lui une moisson d’armes impies : un fusil AK-47, tel un sceptre de mort brisé, un chargeur et des munitions de 7,62 mm, un canon de mitrailleuse lourde DSHK, une motocyclette, stigmate de leurs cavalcades infernales, et des remèdes profanés par leur usage sacrilège.
Une seconde épiphanie à Gwoza : la rédemption au bout du glaive
Ensuite, dans une autre enclave, celle de Gwoza, les troupes, tels des remparts vivants dressés contre les ténèbres, ont barré la route aux fuyards cherchant refuge dans la forêt maudite de Sambisa. De plus, à Gobara, un village devenu champ de martyre, une lutte titanesque à l’opposé des gardiens de l’ordre, contre les égarés de la foi pervertie. Subséquemment, le fracas des armes a résonné comme un hymne à la délivrance, forçant les impies à une débandade pitoyable. Par la suite, de leurs mains vaincues, les soldats ont recueilli un arsenal profane : 57 cartouches de 12,7 mm, 30 autres de 7,62 mm, des chargeurs d’AK-47, un pistolet artisanal et des simulacres d’armes, vestiges d’un entraînement voué à l’abîme.
Cependant, dans ce tumulte, une lueur d’espérance a jailli, aussi pure qu’une source dans le désert. Effectivement, une femme âgée, captive des griffes impitoyables de ces apostats depuis une décennie, a été arrachée aux chaînes de l’oppression. Par conséquent, sa libération, tel un miracle tissé dans le filigrane de cette victoire, témoigne de la miséricorde qui guide les justes, même au cœur de la tourmente.
Gwoza : une voix d’autorité et un serment éternel
Dès lors, le lieutenant-général Olufemi Oluyede, chef d’état-major et héraut de cette croisade, a élevé sa voix en un cantique de louange pour saluer l’ardeur inflexible des troupes. À cet égard, dans ses paroles résonne la promesse solennelle d’un Nigeria libéré des chaînes de l’insurrection, un vœu porté par la foi en un avenir où la paix régnera en souveraine incontestée. En d’autres termes, cette victoire, bien plus qu’un fait d’armes, est une offrande à la concorde, un pas vers la rédemption d’une terre sanctifiée par le courage de ses fils.
Un horizon de grâce et de renouveau
En conclusion, ainsi, par la bravoure des soldats nigériens, un voile de lumière s’est déployé sur les terres martyrisées du Borno. Ainsi, l’élimination d’Abba Alai et la déroute de ses légions marquent une étape cardinale dans cette quête sacrée pour la paix. Pour l’avenir, que cette prouesse, gravée dans les annales de la lutte contre le mal, inspire les cœurs et fortifie les âmes. En effet, dans chaque coup porté contre l’injustice, dans chaque vie arrachée à la servitude, se dessine la promesse d’un demain où la clameur des armes cèdera la place au chant des louanges et où la terre, enfin apaisée, portera les fruits d’une harmonie retrouvée.