Dans une démarche résolue pour la préservation de l’intégrité morale, le gouvernement du Burkina Faso, sous la houlette de son président, Ibrahim Traoré, a promulgué une législation intransigeante. Cette loi vise à réprimer la diffusion de contenus jugés “indécents” sur les réseaux sociaux, une initiative qui s’inscrit dans la lutte contre l’érosion des valeurs éthiques traditionnelles.
La nouvelle réglementation impose des sanctions rigoureuses à l’encontre des influenceurs qui s’aventurent à publier des images ou des vidéos de nature suggestive, exposant leur intimité corporelle. Les contrevenants s’exposent désormais à des peines pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et des amendes substantielles atteignant trois millions de Francs CFA.
Cette mesure législative constitue un virage significatif dans la politique de gestion des médias numériques au Burkina Faso. Elle reflète la détermination du gouvernement à sauvegarder les fondements culturels et à contrer l’impact pernicieux des plateformes virtuelles sur la cohésion sociale et les principes moraux de la nation.