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Minna : Pont supérieur en construction

 Minna, État du Niger, Nigéria – 11 juin 2024 – La construction du pont supérieur de Minna a franchi une étape importante avec le coulage de la culée, témoignant de l’engagement du gouverneur Umaru Muhammad Bago à améliorer les infrastructures et à stimuler la croissance économique de la ville.

Ce projet ambitieux, qui ne se contente pas de construire un pont, symbolise un engagement plus large visant à améliorer la connectivité, à réduire les embouteillages et à améliorer la qualité de vie des résidents. Par ailleurs, le pont aérien de 1,5 km et comportera quatre voies de circulation, une fois terminé, facilitera la circulation des biens et des personnes, stimulera le commerce local et attirant les investissements.

Le gouverneur Bago a fait des infrastructures une priorité de son programme de développement, reconnaissant leur rôle crucial dans le progrès socio-économique. Le pont supérieur de Minna créera également des opportunités d’emploi pendant sa construction, contribuant à l’économie locale.

Minna : Le pont supérieur en construction marque une étape importante dans le développement des infrastructuresLe leadership du gouverneur Bago se caractérise par une approche pratique et une compréhension des besoins de la communauté. Son administration met l’accent sur le développement durable, garantissant que les projets répondent aux demandes actuelles tout en anticipant la croissance future.

En somme, Le coulage de la culée du pont supérieur de Minna marque le début d’un voyage transformateur pour Minna, la transformant en un centre de connectivité et de vitalité économique, incarnant l’esprit du nouveau Niger.

Pour rappel , Le gouvernement de l’État du Niger et la Banque africaine de développement financent le projet, qui doit prendre fin en 2025.

Un nouveau chapitre de développement s’ouvre dans l’État du  Niger

Dans une démarche audacieuse vers la prospérité, le gouvernement de l’État du Niger a franchi un pas décisif en signant un protocole d’accord avec la Banque d’Investissement et de Développement de la CEDEAO. Ce pacte financier, d’une envergure de 114 millions de dollars, est destiné à catalyser quatre projets d’envergure qui promettent de transformer le visage socio-économique de la région.

Le Forum d’investissement de la CEDEAO: Un terreau fertile pour les projets d’avenir

C’est lors du prestigieux Forum d’Investissement de la CEDEAO, tenu dans la capitale togolaise Lomé, que la CEDEAO et l’État du Niger ont scellé cet accord. Cette rencontre de haut niveau, qui s’est déroulée les 4 et 5 avril 2024, a été le théâtre de cette alliance stratégique, ouvrant ainsi la voie à un avenir radieux pour le Niger.

Les projets concernés par cet investissement colossal sont d’une importance capitale pour l’essor de l’État:

  1. La Route de la Renaissance: La construction de la route à deux voies Madalla-Suleja -Maje, un investissement de 30 millions de dollars, promet de révolutionner le réseau de transport.
  2. Le Marché de l’Innovation: Avec 11 millions de dollars alloués, le marché économique vert de Madalla sera un modèle de développement durable.
  3. Le Temple du Savoir: L’ancien Secrétariat se métamorphosera en une École de Sciences médicales et de la santé grâce à un financement de 40 millions de dollars.
  4. Les Caravanes de la Connaissance: La construction de 8 caravanes internationales, pour un montant de 43 millions de dollars, s’annonce comme un vecteur de culture et d’échange.

Un accord de développement de 114 millions de dollars signé par l'État du  Niger et la BIDC, promettant une transformation socio-économiqueDes acteurs engagés pour le développement de l’ l’État du Niger

En outre, la délégation du Niger, menée par le commissaire aux finances, Lawal Adamu Maikano, et Sammy Adigun, président de Niger Foods, a fait preuve d’une vision stratégique. Face à eux, les éminents représentants de la Banque, Dr Olagunju M. Olalekan ASHIMOLOWO, George Agyekum DONKOR, et Dr Mory SOUMAHORO, ont scellé cet engagement mutuel.

Cette initiative s’inscrit dans une vision globale de transformation de l’État du Niger, visant à stimuler l’investissement, accélérer le développement des infrastructures, et générer des emplois. Elle reflète la quête d’un ‘Nouveau Niger’ envisagé par Son Excellence, le gouverneur Umaru Bago, et marque une étape cruciale vers la réalisation de cette ambition.

La BIDC: Un pilier de l’intégration Ouest-Africaine

La BIDC, pilier de la coopération régionale, continue de jouer un rôle clé dans l’intégration et le développement économique de l’Afrique de l’Ouest, renforçant ainsi les liens entre ses quinze États membres.

En résumé, cet accord historique est un témoignage de la détermination de l’Etat du Niger à forger son propre destin économique et à s’élever en tant que leader régional dans le concert des nations africaines.

L’écho du drame à Okuama suscite des analyses approfondies au sénat

Dans un élan de consternation nationale, le président du Sénat, Godswill Akpabio, a récemment mis en lumière une tragédie qui secoue les fondements de la paix civile. Lors d’une séance plénière, il a évoqué le massacre inhumain de dix-sept vaillants officiers et hommes du 181e bataillon amphibie à Okuama, dans la zone de gouvernement local d’Ughelli Sud. Avec une fermeté remarquable, il a rejeté l’idée que les auteurs de ce carnage soient des fils du delta du Niger, suggérant plutôt l’intervention de mercenaires étrangers à la région.

Une Quête de Justice du Sénat

 Le Sénat, sous l’impulsion de deux motions convergentes présentées par les sénateurs Abdulaziz Yar’Adua et Edeh Dafinone, a pris l’initiative d’ouvrir une enquête exhaustive. Cette démarche vise à collaborer étroitement avec les autorités militaires pour démêler l’écheveau des causes profondes et immédiates de cet acte que l’on peut qualifier d’ignoble.

Hommage et Devoir de Mémoire 

Dans un geste solennel, le Sénat a invité le gouvernement fédéral à déployer tous les efforts nécessaires pour capturer et traduire en justice les responsables de ce massacre. Un hommage poignant a été rendu aux disparus, matérialisé par une minute de silence observée en leur honneur, soulignant ainsi la gravité de la perte subie par la nation.

La haute assemblée a également plaidé pour un renforcement des effectifs policiers, afin de limiter l’implication des forces armées dans les affaires civiles, une mesure qui pourrait prévenir de futurs incidents de cette nature.

Cependant, une ombre plane sur cette journée de deuil national : le Sénat a choisi de ne pas étendre son empathie aux familles des civils innocents fauchés par cette vague de violence, laissant leurs meurtriers dans l’anonymat et sans justice.