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Niger : Une célébration de l’Aïd El Fitr sous le sceau de l’unité et de la solennité

Un souffle de ferveur a enveloppé la grande mosquée de Niamey aujourd’hui, où le Général d’Armée Abdrahamane Tiani, président de la République et chef de l’État, s’est joint à la prière collective marquant l’Aïd El Fitr, point d’orgue du mois béni de Ramadan. En effet, cette célébration, empreinte d’une gravité sereine, a réuni les âmes de la capitale nigérienne dans un élan spirituel partagé, où la présence du dirigeant a conféré à l’événement une résonance autant politique que sacrée. En ce jour où l’abstinence cède la place à la gratitude, la nation s’est rassemblée pour sceller un mois de dévotion sous les voûtes d’un lieu devenu, le temps d’une matinée, le cœur battant du Niger.

Une communion dans la lumière de l’aube

Dès les premières lueurs du jour, la grande mosquée de Niamey, édifice majestueux aux minarets élancés, s’est parée d’une affluence exceptionnelle. Les fidèles, vêtus de tuniques éclatantes ou de boubous immaculés, ont convergé par milliers, leurs pas rythmés par une espérance commune. Aux côtés du président Tiani, les dignitaires du pays – parmi lesquels le Premier ministre Ali Mahaman Lamine Zeine et le ministre de la Défense nationale, le Général Salifou Mody – ont pris place, incarnant ainsi une unité de façade dans un contexte national marqué par les secousses de la transition. Cette prière, dirigée par un imam dont la voix a porté les invocations au-delà des murs, a transcendé les clivages, unissant dans un même souffle gouvernants et gouvernés dans la célébration de la rupture du jeûne.

Par ailleurs, l’Aïd El Fitr, fête de la félicité et du partage, ne se limite pas à un rituel ; il s’érige en une offrande collective où la piété s’entrelace avec la solidarité. Pour les Nigériens, ce moment consacre la fin d’un mois de renoncement, où le corps et l’esprit se sont pliés à une discipline austère pour mieux s’élever. La présence du chef de l’État a également ajouté une couche de symbolisme à cette communion, suggérant une volonté de raffermir les liens entre le pouvoir et le peuple dans une période de fragilité politique.

Aïd El Fitr 2025 : un ballet protocolaire au Palais de la Présidence

À l’issue de la prière, le Général Tiani s’est retiré au Palais de la Présidence, où s’est déroulé un rituel tout aussi empreint de tradition : la cérémonie des vœux. Entouré de ses proches collaborateurs, le président a reçu les salutations des sommités du pays dans une procession empreinte de déférence. Les anciens présidents, les membres du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), les figures du gouvernement, les diplomates accrédités et les gardiens des coutumes religieuses et traditionnelles ont défilé, chacun offrant des souhaits de prospérité et de paix. Ce ballet protocolaire, orchestré avec une précision quasi chorégraphique, a transformé le palais en une agora dans laquelle les voix du passé et du présent se sont entremêlées, témoignant d’une continuité dans la discontinuité d’un Niger en quête de repères.

Une nation à la croisée des chemins

Cette célébration intervient dans un contexte où le Niger, sous la houlette du Président Tiani, navigue entre ambitions de souveraineté et défis pressants.  L’Aïd El Fitr 2025, par-delà son éclat spirituel, offre ainsi au Général Tiani une tribune pour incarner une autorité apaisante, une figure capable de rassembler un peuple éprouvé par l’incertitude.

Un miroir tendu à l’avenir

En somme, la grande mosquée, baignée de soleil, a été bien plus qu’un lieu de culte ; elle s’est faite le reflet d’une nation oscillant entre ferveur et fragilité. La présence d’Abdrahamane Tiani, au milieu des siens, a voulu sceller une promesse implicite : celle d’un Niger où la foi et la gouvernance s’entrelacent pour conjurer les tempêtes.

 

Le Coran et les hadiths : une condamnation sans équivoque

L’islam, dans sa rigueur doctrinale, réprouve avec véhémence toute acquisition frauduleuse. La sourate Al-Baqarah (2:188) trace une frontière indélébile : « Ne dévorez pas vos biens mutuels par des moyens illicites, et ne vous en servez pas pour corrompre les juges afin de vous approprier injustement une partie des biens d’autrui. » Ce verset, tranchant comme une lame, ne laisse aucune ambiguïté : l’argent mal acquis ne saurait se parer des atours de la légitimité, même au service d’œuvres censées élever l’âme.

Le Prophète Mohammed (paix et salut sur lui), dans un hadith consigné par Al-Bukhari et Muslim, précise : « Lorsqu’Allah accorde une faveur à Son serviteur, Il attend de lui qu’il en use avec droiture. » Ici, la droiture n’est pas un idéal abstrait, mais un impératif catégorique : chaque dirham doit jaillir d’une source licite (halal), sous peine de vicier les actes d’adoration les plus nobles.

Mosquées et pèlerinages : les leurres d’une piété contrefaite  

Certains, aveuglés par l’ostentation, érigent des mosquées monumentales ou financent des caravanes de pèlerins avec des fonds souillés. Ces gestes, en apparence charitables, ressemblent à un verger luxuriant irrigué par une eau empoisonnée : les fruits, bien que séduisants, portent en eux la toxicité de leur origine. L’Islam, dans sa sagesse, rappelle que la valeur d’une action réside autant dans sa finalité que dans la probité de ses moyens.

La corruption : un péché sans absolution par les rites

Croire que le Hajj, acte d’effacement des péchés, pourrait blanchirdes biens mal acquis relève d’une dangereuse supercherie. Le Coran, sourate An-Nisa (4 :29), avertit : « Ô croyants ! « Ne consommez pas vos biens injustement entre vous. » Utiliser l’argent du peuple, extorqué via des détournements ou des pots-de-vin, pour se draper dans les oripeaux de la piété, c’est ajouter l’hypocrisie à la spoliation.

L’islam : le jugement d’Allah, au-delà des apparences

À ceux qui pensent échapper au regard divin en parant leurs forfaits de gestes sacrés, l’Islam oppose une vérité implacable : « Vous pouvez tromper les créatures, mais jamais le Créateur », souligne un adage coranique. Le jour du Jugement, chaque dinar détourné, chaque projet financé par la corruption sera exposé sans fard. Les millions de Nigériens ou de tout autre peuple lésés par ces malversations deviendront témoins d’une comptabilité spirituelle où nul artifice ne prévaudra.

En définitive, l’argent corrompu ne se transmute pas en grâce. Il reste, aux yeux de la loi islamique, un fardeau aggravant les péchés, jamais un passeport pour le salut. Car, comme le rappelle un autre hadith prophétique : « Allah est Bon et n’accepte que ce qui est bon. » Ainsi, le véritable acte de foi commence par la purification des gains, bien avant celle de l’âme.

 

Niamey : Ouverture des inscriptions pour le Hajj et la Omra 2025

Niamey, le 31 octobre 2024 – Les pèlerins nigériens désireux d’effectuer le Hajj ou la Oumra de l’année 2025 peuvent désormais s’inscrire. En effet, le Commissariat à l’Organisation du Hajj et de la Omra (COHO) a officiellement lancé, ce jeudi 31 octobre, la campagne d’inscription pour l’année 2025.

Cette année, les inscriptions se font exclusivement via le système de gestion automatisée du Hajj et de la Omra (GAHO). Les pèlerins peuvent ainsi effectuer leurs démarches en ligne. Le Commissaire du COHO, Cheick Ben Salah, a précisé que cette méthode permet de faciliter les procédures et d’optimiser la gestion des inscriptions. En plus, les candidats auront jusqu’au 31 décembre 2024 pour finaliser leur dossier en ligne.

 Hajj 2025 : Un accompagnement personnalisé 

Bien que l’inscription en ligne soit privilégiée, les agences de pèlerinage restent mobilisées pour accompagner les futurs pèlerins dans leurs démarches. Elles ont d’ailleurs déjà commencé à enregistrer les inscriptions depuis le 30 septembre dernier. Par ailleurs, les candidats auront jusqu’au 31 décembre 2024 pour finaliser leur dossier en ligne.

Un quota de 15 891 pèlerins fixé pour 2025

Les autorités nigérianes ont fixé un quota de 15 891 pèlerins pour l’année 2025. Le commissaire du COHO a appelé les futurs pèlerins à se manifester rapidement afin de garantir leur place.

Le Hajj est un événement religieux majeur pour les musulmans du Niger. Les autorités accordent une grande importance à son organisation et mettent tout en œuvre pour assurer le bon déroulement du pèlerinage. Le commissaire du COHO a rappelé que « les plus hautes autorités du Niger ont placé l’organisation du Hajj et sa réussite au rang des priorités nationales ».

Un Hajj réussi

Après l’inscription, les pèlerins devront procéder au paiement des frais de pèlerinage. Le montant exact pour l’année 2025 n’a pas encore été communiqué, mais il est probable qu’il soit légèrement supérieur à celui de 2024 qui était fixé à 3.250.822 FCFA.

En bref, le COHO met tout en œuvre pour assurer le bon déroulement du Hajj pour les pèlerins nigériens. La digitalisation des procédures d’inscription s’inscrit dans cette dynamique et devrait permettre une meilleure organisation et une plus grande transparence. Il organise également des séances d’information pour les futurs pèlerins afin de les préparer au mieux à ce voyage spirituel.

Tabaski 2024 au Niger : Prières pour la paix et l’unité

Niamey, Niger – Le Niger se prépare à célébrer la Tabaski, l’un des événements les plus importants du calendrier islamique, dans un esprit de foi et de solidarité. Cette année, la fête aura lieu le dimanche 16 juin 2024, marquant un moment de profonde dévotion et de communion pour la communauté musulmane du pays.

Confirmation de la date de la Tabaski 2024 et message du Conseil Islamique

En effet, le Conseil Islamique du Niger a confirmé la présence du croissant lunaire de Zul-Hijja 1445 de l’Hégire, qui marque l’approche de la fête, dans la soirée du vendredi 7 juin 2024. Dans un message adressé à la communauté musulmane, le Conseil a exprimé ses félicitations et a exhorté les fidèles à redoubler de prières et d’invocations envers Allah, implorant le salut et l’honneur pour la nation et ses habitants, en ces temps marqués par des épreuves et des menaces.

Prières pour la paix et la prospérité

En plus des prières traditionnelles liées à la Tabaski, les musulmans du Niger sont invités à s’unir pour prier pour la paix et la stabilité du pays, ainsi que pour un hivernage propice et abondant. Ces prières font écho à celles de leurs coreligionnaires du Togo, où la communauté musulmane s’est récemment rassemblée pour implorer la paix.

Soutien aux pèlerins et appel à l’unité

Le Conseil Islamique du Niger a également rédigé un message spécial aux pèlerins nigériens qui se rendent à La Mecque pour le Hajj. Il les a encouragés à prier pour la paix et la tranquillité au Niger, soulignant l’importance de la solidarité et de l’unité dans la prière pour le bien-être de la nation.

Une célébration riche en symboles

Cette année, la Tabaski ne sera pas seulement un moment de célébration religieuse, mais aussi une occasion pour la nation de se rassembler dans l’espoir et la prière pour un avenir meilleur. C’est dans cet esprit que le Niger, riche de sa diversité culturelle et de sa foi, avance vers la célébration de l’Aïd El-Kébir, avec la conviction que la paix et la prospérité sont à portée de main grâce à la force unificatrice de la prière et de la dévotion.

“Wa’azin Kassa” : L’écho de l’unité au Niger

Niamey, le 4 mai 2024 – Dans la capitale nigérienne, un événement d’une portée spirituelle et patriotique sans précédent s’est déroulé sous la présidence de Son Excellence Monsieur Ali Mahaman Lamine Zeine, Premier Ministre et Ministre de l’Économie et des Finances. La cérémonie d’ouverture de la pêche nationale, mieux connue sous le nom de “Wa’azin Kassa”, a marqué les esprits par son ampleur et sa profondeur.

“Wa’azin Kassa” : Un rassemblement sous le signe de la fraternité

Organisé par le Rassemblement des Associations Islamiques pour le Développement et l’Appel (RAIDA), le “Wa’azin Kassa” a vu la participation d’éminents oulémas de la sous-région. En effet, ces derniers ont convergé vers Niamey pour une cause commune : rappeler l’importance de l’amour de la patrie et renforcer les liens de fraternité entre les peuples.

Par ailleurs, le “Wa’azin Kassa” s’est distingué comme un moment privilégié de partage et de réflexion. Ainsi, les savants musulmans ont transmis leur sagesse et leurs enseignements, exhortant les fidèles à œuvrer pour le bien commun et à contribuer au développement harmonieux de leurs nations.

L’engagement des autorités pour la paix et le dialogue

La présence du Premier Ministre Zeine a souligné l’engagement des autorités nigériennes envers les valeurs de paix, de tolérance et de dialogue interreligieux. Cet engagement est perçu comme un pilier pour la promotion d’une citoyenneté exemplaire et le service de la patrie.

Des membres éminents du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) ont également assisté à l’événement, démontrant l’importance de la dimension spirituelle et de la cohésion sociale pour la stabilité et le progrès du Niger.

Cette prêche nationale acquiert une signification particulière dans le contexte de refondation de l’État et de consolidation de la souveraineté du Niger. Elle représente une opportunité de mobiliser les consciences autour des valeurs de patriotisme et d’unité.

Le RAIDA, à travers cette initiative, mérite des éloges pour son rôle dans le renforcement du tissu social et la promotion d’une citoyenneté responsable, contribuant ainsi au bien-être de la nation nigérienne.

En conclusion, la cérémonie du “Wa’azin Kassa” s’est imposée comme un vecteur de paix et de développement, reflétant l’esprit de résilience et d’unité indispensable à la prospérité future du Niger.

Niger célèbre l’Aïd El-Fitr dans un esprit de fraternité et de prière

Niamey, le 9 avril 2024 – Dans une atmosphère empreinte de piété et de communion, la République du Niger a marqué la fin du mois sacré de Ramadan par la célébration de l’Aïd El-Fitr, une fête qui symbolise la joie et le partage après une période d’introspection et de jeûne.

Le Chef de l’État participe à la prière solennelle de l’Aïd

Le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, Chef de l’État et Président du Conseil National pour la sauvegarde de la Patrie, a rejoint les fidèles à la Mosquée des Grandes prières de Niamey pour accomplir les deux rakats traditionnels, signifiant la clôture du Ramadan. Dans son sermon, l’Iman de la Grande mosquée a exhorté la communauté à cultiver l’amour de la patrie et à œuvrer pour la paix, particulièrement en ces temps difficiles pour la nation.

Les fidèles ont récité une prière spéciale, la ‘Fatiha’, pour implorer la clémence et la miséricorde d’Allah sur le Niger et ses habitants. Ils ont exprimé des vœux fervents afin que la paix et la sécurité règnent sur tout le territoire.

Après la cérémonie religieuse, le Chef de l’État s’est rendu au Palais de la Présidence pour recevoir les vœux de l’Aïd de diverses personnalités, affirmant ainsi l’unité nationale. Le Général de Brigade Mohamed Toumba, ministre d’État, ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique et de l’Administration du Territoire, a appelé à la cohésion et à la vigilance, soulignant l’importance de la paix pour le développement et la prospérité du pays.

Dans un message d’unité et d’espoir, le ministre d’État a invité toutes les strates de la société, y compris les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), à collaborer étroitement avec la population afin de renforcer la sécurité nationale et de favoriser un environnement propice au développement durable.

Cette journée de l’Aïd El-Fitr restera gravée dans les mémoires comme un moment de solidarité et de dévotion, reflétant les valeurs profondes de la communauté musulmane du Niger et son engagement indéfectible envers la paix et la fraternité.

Zinder célèbre l’Aïd El-Fitr : Unis pour la paix et la prospérité

Dans une atmosphère empreinte de solennité et de recueillement, la communauté musulmane de Zinder a marqué, ce mardi 9 avril 2024, la célébration de l’Aïd El-Fitr, clôturant ainsi le mois sacré du Ramadan.

La place de la grande prière : Un rassemblement pour la paix

Dès l’aube, une marée humaine, composée d’hommes, de femmes et d’enfants vêtus de leurs plus beaux atours, a afflué vers la Place de la Grande Prière du quartier Birni. Là, sous un ciel clément, ils ont accompli aussi les deux Rakat, dirigés par l’Imam, en présence de notables et de dignitaires, parmi lesquels figuraient le Colonel Issoufou Labo, Gouverneur de la Région, et l’illustre Sultan du Damagaram, Elhadj Aboubacar Sanda Oumarou.

Le message central, porté par l’Imam et relayé par les autorités régionales, a été un appel vibrant à la paix et à la sécurité nationale. Le Premier Ministre, Mahaman Ali Lamine Zeine, ayant participé également à la prière à la mosquée Laouali Balla, s’est fait l’écho de ces aspirations en adressant ses vœux à la population de Zinder, au nom du Chef de l’État, le Général Abdourahamane Tiani. Il a exprimé le désir ardent de voir la paix, la prospérité et la stabilité régner sur le pays.

“Les Nigériens, dès l’entame de cette journée bénie, se sont dévoués à la prière et à la communion fraternelle. Puisse cette ferveur perdurer ; comme vous avez pu l’entendre, l’Imam a imploré la bénédiction divine. Nous formulons le souhait, par la grâce d’Allah, de bénéficier de pluies abondantes cette année, et aspirons à ce que notre nation jouisse d’une stabilité pérenne, que la sécurité soit pleinement rétablie, et que la prospérité, que nous entrevoyons, soit partagée par tous les Nigériens,” a souligné le Chef du Gouvernement.

En prélude à cette fête, une récitation collective du Saint Coran a résonné dans plusieurs mosquées de la ville, dans un élan de piété, pour implorer la clémence et la miséricorde du Tout-Puissant sur le Niger.

Ramadan 2024 : L’Afrique de l’Ouest Accueille le Mois Sacré

Dans plusieurs régions d’Afrique de l’Ouest, les musulmans ont pu observer le croissant lunaire marquant le début du Ramadan, annonçant le commencement du mois sacré pour l’année 1445 de l’Hégire.

Le 10 mars 2024, les Nigériens ont constaté l’apparition du croissant à Zinder, ce qui a incité les autorités à lancer l’entame du jeûne dès le 11 mars. Au Mali, les observations faites à Bougouni et Yanfolila ont également confirmé le début du ramadan pour le 11 mars.

Parallèlement, au Burkina Faso, la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a déclaré, après une session d’observation à la grande mosquée de Ouagadougou, que le jeûne débuterait le même jour.

Cette synchronisation des observations souligne l’importance de la tradition et de l’unité au sein de la communauté musulmane, qui s’apprête à observer un mois de jeûne, de dévotion et de réflexion spirituelle.

À cet effet, la rédaction du Journal du Niger souhaite à tous ses lecteurs musulmans un excellent mois de Ramadan.