Les autorités des deux pays sahéliens ont dû justifier leurs choix politiques pour lutter contre le terrorisme à l’occasion du passage d’un convoi militaire français, longtemps bloqué par les jeunes.
Parti le 14 novembre d’Abidjan, le convoi militaire français est finalement arrivé à Gao, sa destination finale, dimanche soir. Retardé par des manifestants à Bobo Dioulasso au Burkina Faso, bloqué durant deux jours à Kaya, plus à l’Est, ce convoi de 90 véhicules a été attaqué samedi à Téra, dans l’Ouest du Niger, par des jeunes qui comptaient inspecter le chargement. Les forces nigériennes et l’armée française ont dû intervenir. Bilan : au moins deux morts et 18 blessés. Lundi, le ministre nigérien de l’Intérieur a été limogé.… suite de l’article sur Autre presse
source: l’opinion